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• « Engaging with Music 2023 » de l’IFPI : la plus grande étude de ce type sur la consommation de musique
• Le temps passé à écouter de la musique passe à 20,7 heures par semaine
• Les fans utilisent en moyenne sept méthodes différentes pour consommer la musique

 

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L’IFPI, qui représente l’industrie du disque dans le monde, publie aujourd’hui « Engaging with Music 2023 », décryptage à l’échelle internationale de l’évolution des modes de consommation et de la relation que le public entretient avec musique.
Basé sur les réponses de plus de 43 000 personnes interrogées dans 26 pays, ce rapport est la plus grande étude du genre.

Principales conclusions du rapport 2023 :

– Nous écoutons plus de musique que jamais.
20,7 heures – C’est le temps que les gens passent en moyenne à écouter de la musique chaque semaine (contre 20,1 heures en 2022). Cela équivaut à écouter treize chansons         supplémentaires de    trois minutes par semaine en 2023.

– Nos modes de consommation se diversifient de plus en plus
Selon 79 % des personnes interrogées, les façons d’écouter de la musique n’ont jamais été aussi nombreuses (vs 76 % en 2022). En moyenne, on utilise plus de sept méthodes différentes pour écouter la musique.

– L’IA est un concept très établi chez les amateurs de musique, mais presque tous pensent que la créativité humaine doit être respectée.

79 % des personnes interrogées estiment que la créativité humaine est essentielle à la création musicale.
74 % des personnes sensibilisées aux potentialités de l’IA en matière de musique conviennent que l’IA ne devrait pas être utilisée pour cloner ou imiter les artistes sans autorisation.

Le streaming audio continue sa progression, tiré par l’abonnement.
73% des consommateurs déclarent écouter de la musique via des services légaux de streaming audio (par abonnement ou financés par la publicité).

+7% le temps passé à écouter de la musique sur des services de streaming audio par abonnement a augmenté.

La pop reste le genre musical le plus populaire aux quatre coins du monde, mais globalement les personnes interrogées écoutent plus de 700 styles musicaux. Les genres locaux sont pour leur part de plus en plus plébiscités.

57 % des répondants déclarent qu’il est important pour eux de pouvoir accéder à de la musique provenant de n’importe où dans le monde – 65 % chez les 16-24 ans. En moyenne, les fans du monde entier ont écouté plus de huit genres musicaux différents.

– La musique joue un rôle essentiel dans notre bien-être mental et physique

   71 % des personnes interrogées déclarent que la musique est importante pour leur santé mentale.
   78 % déclarent que la musique les aide à se détendre et à faire face au stress.

– La musique illicite reste un problème important.
   29 % des personnes interrogées utilisent des méthodes illégales ou sans licence pour écouter ou télécharger de la musique.

Frances Moore, directrice générale de l’IFPI, a déclaré : « La musique occupe une place majeure dans nos vies. Le rapport « Engaging with Music » montre à quel point les nouvelles opportunités ont été saisies par les fans pour découvrir toujours plus de musique, de façons toujours plus diverses.
« Cependant, les usages illicites restent un problème important pour la communauté musicale, en particulier parce que les technologies continuent d’évoluer. Nous devons continuer à faire tout ce qui est en notre pouvoir pour soutenir et protéger la valeur de la musique.

Comme annoncé la semaine dernière, ce rapport comprend pour la première fois cette année une section consacrée à l’intelligence artificielle (IA), car les progrès rapides de cette technologie continuent de présenter à la fois des opportunités et des défis pour la communauté musicale et les artistes. Ce qui est certain, c’est que les consommateurs sont profondément attachés à l’authenticité – près de huit fans de musique sur dix (79 %) estiment que la créativité humaine reste essentielle à la création musicale.
Pour les fans conscients des capacités de l’IA générative à s’approprier et à copier le répertoire d’artistes existants, l’autorisation d’utiliser la musique d’un artiste est considérée comme absolument non négociable : 76 % estiment que la musique ou les voix d’un artiste ne devraient pas être utilisées ou ingérées par l’IA sans autorisation. En outre, 74 % des personnes interrogées estiment que l’IA ne devrait pas être utilisée pour cloner ou usurper l’identité d’un artiste sans autorisation. La grande majorité des fans soutient également le besoin de transparence, 73 % d’entre eux estimant qu’un système d’IA devrait clairement énumérer toutes les musiques qu’il a utilisées.

 

Pour de plus amples informations – E mail: press@ifpi.org – Tél : +44 (0) 20 7878 7979

L’IFPI est le porte-parole de l’industrie du disque dans le monde, représentant plus de 8 000 maisons de disques. Nous nous efforçons de promouvoir la valeur de la musique enregistrée, de faire campagne pour les droits des producteurs et de développer les utilisations commerciales de la production musicale partout dans le monde.

Méthodologie
Les données sont basées sur un travail de terrain mené entre août et octobre 2023 dans 26 pays réunissant les opinions de plus de 43 000 répondants âgés de 16 à 64 ans. Les panels étaient représentatifs au niveau national dans chaque pays. Pour connaître la méthodologie complète du rapport, veuillez consulter la page quatre du rapport.

A l’heure de l’intelligence artificielle, les amateurs de musique du monde entier estiment que la création humaine est essentielle Le point de vue des fans de musique sur l’IA, révélés pour la première fois dans l’étude consommation internationale conduite par l’IFPI

 

 

79 % des personnes interrogées estiment que la créativité humaine reste essentielle à la création musicale
Pour 76 % d’entre elles, la musique ou la voix d’un artiste ne devraient pas être utilisées ou ingérées par l’IA sans autorisation
• 74 % des répondants estiment que l’IA ne devrait pas être utilisée pour cloner ou usurper l’identité d’un artiste sans autorisation

Aujourd’hui, l’IFPI, qui représente l’industrie du disque dans le monde, partage les conclusions de la plus grande étude réalisée à l’échelle internationale auprès des fans de musique sur leurs points de vue concernant l’intelligence artificielle.
Cette étude est extraite du rapport « Engaging with Music 2023 », publié par l’IFPI et qui décrypte chaque année l’évolution des modes de consommation de musique dans le monde. Avec les réponses de plus de 43 000 personnes interrogées dans 26 pays, ce rapport est la plus grande étude de ce type et l’aperçu le plus détaillé de la réaction des fans.
Cette année, pour la première fois, le rapport comprend une section consacrée à l’intelligence artificielle (IA), car les progrès rapides de cette technologie continuent de présenter à la fois des opportunités et des défis pour le secteur de la musique et pour les artistes. Ce qui est clair, c’est que les fans accordent une grande importance à l’authenticité – près de huit fans de musique sur dix (79 %) estiment que la créativité humaine reste essentielle à la création musicale.

Pour les consommateurs conscients de la capacité de l’IA générative à s’approprier et à copier le répertoire d’artistes existants, l’autorisation d’utiliser la musique d’un artiste est considérée comme absolument non négociable : 76 % estiment que la musique ou la voix d’un artiste ne devraient pas être utilisées ou ingérées par l’IA sans autorisation. En outre, 74 % des personnes interrogées estiment que l’IA ne devrait pas être utilisée pour cloner ou usurper l’identité d’un artiste sans autorisation. La grande majorité des fans soutient également le besoin de transparence, puisque 73 % d’entre eux estiment qu’un système d’IA devrait clairement afficher toutes les musiques qu’il a utilisées.

Frances Moore, directrice générale de l’IFPI, déclare : « Si les amateurs de musique du monde entier voient dans l’intelligence artificielle à la fois des opportunités et des menaces pour la musique, leur message est clair : l’authenticité est essentielle. En particulier, ils estiment que les systèmes d’intelligence artificielle ne devraient utiliser de la musique qu’avec une autorisation préalable et être tout à fait transparents quant au contenu ingéré par leurs systèmes d’entraînement. Ce sont là des rappels opportuns pour les décideurs politiques qui réfléchissent à la manière de mettre en œuvre des normes pour une IA responsable et sûre ».

Les conclusions du rapport « Engaging with Music 2023 » en matière d’IA :

– L’IA est déjà bien connue des amateurs de musique, qui sont nombreux à l’utiliser et à s’intéresser aux opportunités qu’elle offre.

    89 % connaissent l’IA

– Près de huit amateurs de musique sur dix (79 %) estiment que la créativité humaine reste essentielle à la création musicale.
Pour les consommateurs familiers avec les capacités de l’IA :

– L’autorisation d’utilisation de la musique est considérée comme extrêmement importante : 76 % estiment que la musique ou la voix d’un artiste ne devraient pas être utilisées ou ingérées par l’IA sans autorisation.

74 % sont d’accord pour dire que l’IA ne devrait pas être utilisée pour cloner ou usurper l’identité d’un artiste sans autorisation.

– La grande majorité des fans soutient également le besoin de transparence : 73 % sont d’accord pour dire qu’un système d’IA devrait clairement indiquer toute la musique qu’il a ingérée ou utilisée pour s’entraîner.

– Les personnes interrogées reconnaissent également la nécessité de fixer des règles pour les systèmes d’IA :  70 % sont d’accord pour dire qu’il devrait y avoir des restrictions sur ce que l‘IA peut faire  64 % estiment que les gouvernements devraient jouer un rôle dans l’établissement de restrictions sur ce que l’IA peut faire.

 

À propos de l’IFPI
L’IFPI est le porte-parole de l’industrie du disque dans le monde, représentant plus de 8 000 maisons de disques. Nous nous efforçons de promouvoir la valeur de la musique enregistrée, de faire campagne pour les droits des producteurs et de développer les utilisations commerciales de la production musicale partout dans le monde.

Pour de plus amples informations, veuillez contacter
press@ifpi.org | +44 (0)20 7878 7979

Alors que l’Union européenne se détermine dans les jours à venir sur les grands principes de l’intelligence artificielle, nous réaffirmons l’absolue nécessité de placer l’éthique au cœur de l’action des pouvoirs publics dans l’encadrement de ces nouvelles technologies. Notre avenir en dépend. À ce titre et s’agissant en particulier des modèles d’intelligences artificielles génératives, seul le principe intangible d’une transparence sur les données d’entraînement et sur les contenus générés pourra apporter des garanties aux citoyens et aux créateurs sur le respect de leurs droits.

Nous soutenons pleinement l’émergence de champions européens vertueux qui seront demain des acteurs de notre souveraineté et des partenaires de notre rayonnement. L’innovation et la création ont besoin l’une de l’autre pour grandir au bénéfice de tous. La transparence est un prérequis, pas un frein. Elle est même une condition du développement serein des jeunes pousses françaises et européennes qui pourraient sinon être confrontées à la multiplication de contentieux juridiques. Cette transparence fait partie de l’ADN des développeurs : l’argument selon lequel ce serait un obstacle technique ou un fardeau disproportionné n’est pas crédible.

Dans ce contexte, la position de la France, dont la presse se fait le relais et qui s’opposerait à toute réglementation des modèles d’IA entraînés sur de vastes volumes de données (dits de fondation), nous étonne tant elle est contraire aux propos du président de la République à Villers-Cotterêts rappelant que « nous avons raison de défendre le droit d’auteur dans l’intelligence artificielle ». Il n’y aura pas d’IA générative qualitative sans industries créatives fortes ! Garantir la transparence, c’est non seulement protéger nos industries qui représentent une économie de la création durablement pourvoyeuse d’emplois et une part importante du PIB de notre pays ; mais c’est aussi assurer la fiabilité des contenus qui façonnent le développement des IA génératives pour éviter les comportements manipulatoires menaçant nos libertés fondamentales et nos principes démocratiques.

La position de la France nous oblige donc à réagir. D’abord parce que, même sans une réglementation spécifique des modèles de fondation, on ne peut pas sacrifier une obligation de transparence sans laquelle rien de solide ne peut être construit. Ensuite parce qu’on ne saurait imaginer une seule seconde que la France renonce à préserver les acquis communautaires auxquels elle a elle-même œuvré, en matière de soutien à l’innovation, de respect du droit d’auteur et des données personnelles ou de lutte contre les fausses informations.

Dans la dernière ligne droite des débats à Bruxelles, nous demandons au Gouvernement de retrouver une position claire, équilibrée et ambitieuse, garante des intérêts partagés des Européens, des créateurs et des entreprises innovantes.

LISTE DES 80 SIGNATAIRES : 

ACID Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion
ADAGP Société des auteurs dans les arts graphiques et plastiques
ADAMI Société Civile pour l’Administration des Droits des Artistes et Musiciens Interprètes
AGrAF Auteurs Groupés de l’Animation Française
AnimFrance Syndicat exclusivement dédié au secteur de la production audiovisuelle et cinématographique indépendante d’animation
API Association des Producteurs Indépendants
ATAA Association des Traducteurs Adaptateurs de l’Audiovisuel
ATLF Association des traducteurs littéraires de France
CEMF Chambre syndicale des Éditeurs de Musique de France
CFC Centre Français d’exploitation du droit de Copie
CFDC Coalition Française pour la Diversité Culturelle
CISA Coordination Inter-Syndicale de l’Audiovisuel
COSE-CALCRE Information et Défense des Auteurs
CPE Conseil Permanent des Ecrivains
CSDEM Chambre Syndicale de L’Edition Musicale
DIRE Distributeurs Indépendants Réunis Européens
DVP Droits Voisins de la Presse
EAT Écrivains Associés du Théâtre
EIFEIL Fédération des éditeurs indépendants en France
EUROCINEMA Association de Producteurs, de Cinéma et de Télévision
F3C-CFDT Fédération Conseil, Communication, Culture CFDT (F3C-CFDT)
FASAP-FO Fédération des Arts, du Spectacle, de l’Audiovisuel et de la Presse Force Ouvrière
FCCS CFE-CGC Fédération Culture Communication Spectacle (CFE-CGC)
FFAP Fédération Française des Agences de Presse
FNAPPI Fédération Nationale des Agences de Presse Photo et d’Information
FNSAC-CGT Fédération Nationale des Syndicats du Spectacle, de l’Audiovisuel et de l’Action Culturelle
GESTE Les Editeurs de Contenus et Services en ligne
La Guilde Française des Scénaristes
LA GAM Guilde des Artistes de la Musique
LA MAISON DE POESIE La Maison de Poésie
LAP Ligue des Auteurs Professionnels
L’ARP Société Civile des Auteurs, Réalisateurs et Producteurs
LES VOIX Association Professionnelles des Comédiens Artistes-Interprètes de la Voix Enregistrée
PEN CLUB Pen Club
PROCIREP Société des Producteurs de Cinéma et de Télévision
SACD Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques
SACEM Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique
SAIF Société des Auteurs des arts visuels et de l’Image Fixe
SAJ Société des Auteurs de Jeux
SAMVA CFE-CGC Syndicat des Artistes Musiciens de Variétés et Arrangeurs (CFE-CGC)
SAPHIR Syndicat des Agences de Presse Photographiques
SAPIG Syndicat des Agences de Presse d’Informations (Générales)
SATEV Syndicat des Agences de Presse Audiovisuelles
SCA Scénaristes de cinéma associés
SCAM Société Civile des Auteurs Multimédia
SCFP Syndicat des Catalogues de Films de Patrimoine
SCPP Société Civile des Producteurs Phonographiques
SDI Syndicat des Distributeurs Indépendants
SDLC Syndicat des Distributeurs de Loisirs Culturels
SEAM Société des Éditeurs et Auteurs de Musique
SEDPA Syndicat des Distributeurs de Programmes Audiovisuels
SELF Syndicat des écrivains de langue française
SEPM Le Syndicat des Éditeurs de la Presse Magazine
SFA-CGT Syndicat français des artistes-interprètes
SGDL Société des Gens de Lettres
SLF Syndicat de la Librairie Française
SN3M – FO Syndicat National des Musiciens et du Monde de la Musique
SNAC Syndicat National des Auteurs et des Compositeurs
SNAM-CGT Union Nationale des Syndicats d’Artistes Musiciens de France
SNAPSA CFE-CGC Syndicat National des Artistes, des Professions du spectacle et de l’Audiovisuel (CFE-CGC)
SNE Syndicat national de l’Edition
SNEP Syndicat National de l’Edition Phonographique
SOFIA Société Française des Intérêts des Auteurs de l’écrit
SPCS Syndicat de la Presse Culturelle et scientifique
SPECT Syndicat des Producteurs et Créateurs de Programmes Audiovisuels
SPI Syndicat des Producteurs Indépendants
SPIAC-CGT Syndicat des Professionnels des Industries de l’Audiovisuel et du Cinéma
SPIIL Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne
SPPF Société Civile des Producteurs de Phonogrammes en France
SRF Société des réalisatrices et réalisateurs de films
U2C Union des Compositrices et Compositeurs
U2R Union des réalisatrices et des réalisateurs
ULM Union des Librairies Musicales
UNAC Union Nationale des Auteurs et Compositeurs
UNIFAB Union des Fabricants
Union des Poètes et Cie 
UPC Union des Producteurs de Cinéma
UPFI Union des Producteurs Phonographiques Français Indépendants
UPP Union des Photographes Professionnels
USPA Union Syndicale de la Production Audiovisuelle

 

A l’occasion de l’examen du budget pour 2024, la commission des Finances du Sénat a voté, hier, à huis clos, un amendement créant une nouvelle taxe sur le streaming pour financer le Centre national de la musique.

Nous ne comprenons pas :
• que le Sénat renonce aux principes qu’il a toujours défendus : réduire les impôts de production et refuser de créer de nouvelle taxe ;
• que le Sénat en appelle à l’exception culturelle quand ce nouvel impôt s’acharne sur les acteurs français et européens qui sont les plus vertueux mais aussi les plus fragiles économiquement ;
• que le Sénat s’en prenne aux usages musicaux les plus plébiscités par les jeunes générations ;
• que le Sénat saborde l’attractivité du marché et la capacité des plateformes européennes à investir dans la promotion et la mise en avant des artistes français ;
• que le Sénat ose parler d’« impasse des négociations » quand le ministère de la culture s’emploie à les faire aboutir.

Ces choix traduisent une vision dépassée de notre industrie et un prisme anti-innovation. Nous regrettons profondément l’adoption de cet amendement dont la mise en œuvre aurait un impact très négatif sur la croissance de notre marché, au détriment des créateurs et du public.

CONTACT : Alexandre LASCH – 06 62 52 19 81

EXPORT SUCCESS STORIES

Un nouveau rendez-vous proposé par le SNEP, pour saluer au fil de l’actualité, le rayonnement des artistes qui portent haut les couleurs de la production musicale française à l’international et le travail des équipes qui les entourent.

Portés par l’essor du streaming dans le monde, les artistes produits en France, talents confirmés ou de la nouvelle génération, sont de plus en plus nombreux à rencontrer des succès spectaculaires aux quatre coins du monde.

Ils sont le symbole de la diversité des genres musicaux et des générations, ils sont programmés dans les plus grands festivals du monde, de Coachella au Reeperbahn, et leurs titres parviennent au Top des plateformes de streaming en Allemagne, aux Pays-Bas, en Grande-Bretagne, en Italie, aux USA mais aussi en Asie ou en Amérique du Sud.

Dans l’ombre de ces succès : le travail des labels pour développer des featuring avec les stars locales, les synchros dans les séries les plus populaires sur Netflix, Amazon Prime ou Disney+, dans les campagnes publicitaires mondiales ou dans les jeux vidéo et qui participe très largement à la mondialisation de l’audience des artistes produits en France. 

Avec la sortie de son deuxième album « Nonante Cinq » sorti fin 2021, ANGELE continue à séduire l’audience internationale en 2023 avec sa première tournée nord-américaine.
Elle passe par le festival américain Coachella où son set est plébiscité par la presse locale (Rolling Stone, LA Times, NY Times, Consequence…), par New York où elle joue 3 soirs de suite (sold-out) au Terminal 5, par Los Angeles avec un concert complet au mythique Novo ou encore 2 shows au Centre Bell de Montréal.
En plus de ces dates à guichets fermés, l’artiste crée l’engouement au printemps avec sa participation au MET Gala.
Elle est également conviée au Billboard Women in Music Awards en mars et une fresque à son effigie est créée dans le quartier populaire new yorkais de Soho au moment de son passage dans la ville.
Après l’Amérique du Nord, Angèle continue sur sa lancée internationale avec une date à Londres (Wembley Arena) et Amsterdam (AFAS) en mai 2023. L’album ‘’Nonante-Cinq’’ passe le seuil platine export cette année avec plus de 100 000 exemplaires vendus à l’étranger et son premier album ‘’Brol ‘’ devient triple platine dépassant les 350 000 équivalent ventes.

 

 

Première tournée internationale pour AYA NAKAMURA
Alors que son album DNK (Rec. 118, Warner Music France) entré #1 du Top en janvier dernier, vient d’être certifié Platine et augmenté de 3 titres inédits dont le single ‘Chérie’, AYA NAKAMURA –  de retour de sa première tournée en Afrique – s’est produite aussi pour la première fois à Londres dans le cadre de la reprise de sa tournée le 13 Octobre.

Elle s’est ensuite produite aux Antilles, en Côte d’Ivoire et au Mali. Ambassadrice monde de Lancôme, on la retrouve dans la dernière campagne en collaboration avec le Louvre.
‘Baby’, single issu de l’album DNK est certifié Diamant en France, alors que son single ‘T’as Peur’ en collaboration avec la star portoricaine Myke Towers est officiellement Platine en Espagne. C’est sa deuxième collaboration latino après ‘Djadja feat. Maluma’ (700M de streams dans le monde).
Enfin, et là encore c’est une expérience inédite pour une artiste française, Aya a été invitée par Fornite à collaborer avec le jeu vidéo via un concert « in game », pour le plus grand plaisir des joueurs et des fans du monde entier.

 

Le tube mondial de l’été 2023 est français, et il est sorti en 2015.
Alors que ‘The Fool’, titre extrait du troisième album studio éponyme de l’artiste française JAIN, résonne sur toutes les radios, une nouvelle génération, via les réseaux sociaux, s’empare de « Makeba » (extrait de son premier album Zanaka (2015) sorti chez Spookland Records / Sony Music France), propulsant de nouveau ce titre sur le devant de la scène, plus de 8 ans après sa sortie.
Les équipes de l’artiste et du label ont réussi à transformer ce succès viral en phénomène planétaire. Le titre cumule désormais 429 Millions de streams dans le monde dont 200 M depuis mai 2023 et près de 60 milliards de vues sur TikTok.

Il est resté en première place du Global Shazam Chart pendant 6 semaines avec un immense succès en radio et en club à travers le monde, atteignant la première place aux États-Unis (classement dance), la 1re place en Allemagne (classement club), la 2e place au Mexique, la 7e place en Italie ou la 10e place au Mexique).
« Makeba » est désormais certifiée single d’or en Pologne et en Afrique du Sud, single de platine en Italie, au Canada, en Suisse et en Irlande, single de diamant en France, entre autres.
Ce titre est un hommage à la chanteuse sud-africaine et militante des droits civiques Miriam Makeba. Il mêle une rythmique implacable et un gimmick puissant, « oheee » qui en a fait un hymne intemporel.

 

NINHO s’ouvre à l’international  
NINHO vient de passer 8 semaines numéro 1 du top album cet été avec ‘NI’, son cinquième album (Jefe Productions/ Rec. 118 / Warner France) sorti le 30 juin dernier et signe la certification Platine album la plus rapide de l’année.

Alors que son précédent album JEFE vient de passer Diamant (le 4ème de sa carrière), pour la première fois, NINHO collabore avec des artistes d’envergure venus des US (Lil Baby ‘Blue Story’), UK (Central Cee ‘Eurostar’) et du Nigéria (Ayra Starr, NO LOVE certifié OR, Omah lay ‘BAD’. EUROSTAR feat. Central Cee est aussi entré directement #1 du Top Single et déjà certifié OR en France.

Le morceau est annoncé sur la bande son officielle du jeu vidéo EA FC 24, la franchise de football la plus populaire dans le monde, sorti ce 29 Septembre.
Ninho est aussi nouvelle égérie d’Adidas depuis juillet.

 

SOOLKING , l’artiste multi facettes continue son ascension internationale !
Ses influences musicales riches et ses nombreuses collaborations avec des artistes du monde entier ces dernières années lui ont permis de construire une audience fidèle dans de nombreux pays. Il a entre autres collaboré avec Mero (Allemagne), Boro Boro (Italie), Reynmen (Turquie), Diplo (USA), Dhurata Dora (Albanie), Ghali (Italie), Khaled (Algérie)…


Il dévoile début 2022 son single « Suavemente »: un hit imparable grâce auquel il continue à séduire son audience internationale. Le titre cumule aujourd’hui plus de 100 M de streams à l’international. En Italie, le morceau est réadapté avec le rappeur local Boro Boro et permet au single de se hisser dans le top 40 tout au long de l’été.
La success story continue ensuite avec la sortie de son 3ème album « Sans Visa » (juin 2022) aujourd’hui équivalent platine avec plus de 100 000 albums vendus à l’export.
Il continue de développer sa carrière internationale via le live également. 2022 a marqué le début d’une tournée mondiale à guichets fermés aux USA, Canada, UK, Allemagne, Pays-Bas, Italie…


Quant à son dernier single « Casanova » feat. Gazo, sorti début juillet 2023, il cumule déjà plus de 100 M de streams dans le monde. Le titre est rapidement devenu viral sur TikTok grâce à sa mélodie et ses gimmicks imparables. En parallèle, les diffusions radios ne cessent de progresser. Essai également transformé sur les plateformes de streaming, où le titre est largement écouté.
Il culmine aujourd’hui dans les tops singles en Italie, Allemagne, Espagne, Pays-Bas, Autriche, Belgique, Suisse, Maroc, République Tchèque….

 

 

 

TRIBUNE PUBLIEE PAR

Né en 2020 de la volonté de réunir l’ensemble des protagonistes de la musique au sein d’une même maison, le Centre national de la musique a été immédiatement confronté à la crise sanitaire. Il a fait face, sécurisé les entreprises immobilisées du spectacle, soutenu l’investissement fragilisé de la musique enregistrée. Il a passé son baptême du feu grâce à un « quoi qu’il en coûte » qui a multiplié son budget théorique par quatre. Mais, en trois ans et demi d’existence, il n’a jamais appliqué le rythme de croisière initialement programmé par le législateur. C’est pourquoi la question de sa vocation, de ses besoins, de sa surface d’action, au moment où sont consommés les derniers fonds exceptionnels, se pose encore aujourd’hui. Comme si l’établissement était sorti de sa toise sans pouvoir se résigner à y rentrer, l’Etat se retourne vers le secteur pour financer son redimensionnement.

S’exprimant lors de la Fête de la musique, le 21 juin dernier, le Président de la République donne l’été à la « filière » pour trouver un accord. Est-ce parce que le calendrier est irréaliste qu’il annonce dans le même temps, qu’à défaut, le Gouvernement proposera une taxe sur le streaming ? Chargée de mener la concertation, la ministre de la Culture a organisé en juillet une réunion par métier, interrogeant en silo la production de spectacle, la production de musique enregistrée, les organismes de gestion collective, les plateformes… Mais pas la moindre confrontation des points de vue susceptible de faire émerger des positions partagées, comme si chaque catégorie d’acteurs était par nature insensible à l’idée d’intérêt général, comme si le compromis était impossible.

On pourrait reprocher à l’Etat de gouverner par ultimatum, d’annoncer la recherche d’un accord sans organiser de négociation et finalement de s’imaginer infaillible tout seul, en un mot comme en cent, d’être jupitérien.

Pourtant, nous pouvons encore maîtriser notre destin collectivement et construire un CNM à la hauteur des enjeux, comme nos prédécesseurs l’avaient fait en créant, aux côtés de l’Etat, le Fonds pour la Création Musicale dans les années 80, le Fonds de Soutien à la Chanson, aux Variétés et au Jazz dans les années 90 et enfin le Centre national des Variétés en 2001.

Sur la méthode, la date butoir du 30 septembre n’est pas justifiée : le gouvernement a la possibilité durant l’automne de proposer au Parlement un amendement au projet de loi de Finances portant création d’une nouvelle taxe. Elle n’est pas non plus réaliste, puisque celle-ci ne produirait pas de rendement avant au moins deux ans, entre l’impérative notification aux autorités européennes et le temps nécessaire à sa collecte. L’industrie musicale a fait la preuve encore très récemment de sa capacité à conclure des accords sur des sujets sensibles qui semblaient voués à l’échec, comme la rémunération du streaming pour les artistes-interprètes. Un accord fondateur sur le financement du CNM est encore possible, avec la volonté des partenaires, l’appui des pouvoirs publics et le temps nécessaire à l’émergence de compromis.

Sur le fond, l’injonction de l’exécutif à trouver de nouvelles ressources dans l’urgence ne doit pas mettre en risque nos modèles économiques divers, déjà éprouvés par des crises multiples :

Pour le spectacle d’abord, il convient de maintenir les équilibres actuels de la taxe billetterie. En contrepartie de cette taxe, les entreprises imposées en France perçoivent des aides automatiques qui mériteraient demain d’être conditionnées à l’investissement dans la production de spectacles et l’emploi d’artistes.

Pour la musique enregistrée ensuite, déjà soumise à une TVA de 20%, si le gouvernement tient absolument à créer un nouvel impôt, il ne devrait pas s’agir d’une ponction supplémentaire sur les revenus des auteurs, artistes et producteurs. Ce débat devrait être au contraire l’opportunité de mieux rétribuer l’utilisation de la musique par les services financés par la publicité tels que les réseaux sociaux, gratuits pour le consommateur et qui ne rémunèrent pas la création à sa juste valeur. Dans le même temps, il faut encourager le développement de l’abonnement, car il porte le renouveau du marché de la musique tout en restant un pari fragile.

Et pour la musique dans son ensemble, cela implique l’ouverture d’un débat franc avec le CNC sur le rapatriement, vers le CNM et l’Association pour le soutien du Théâtre Privé, des ressources et des missions dédiées à la musique et au spectacle vivant, comme la Cour des comptes vient de le suggérer à l’Etat.

Enfin, et au-delà même des intérêts catégoriels, ces nouveaux moyens doivent être à la hauteur de l’ambition : porter la musique vivante auprès des habitants des villes, des banlieues et des campagnes, alors que le service public n’a pas aujourd’hui les moyens de le faire et que la rentabilité est aléatoire pour le secteur marchand ; créer un effet levier pour les artistes professionnels dans toutes les esthétiques, y compris pour des répertoires qui, bien que populaires, ne trouvent pas leur compte aujourd’hui sur les plateformes de streaming ; plus généralement, permettre aux artistes de trouver le soutien nécessaire à leurs projets d’enregistrements ou de concerts, au bénéfice de tous les mélomanes. Cette ambition, c’est encore de prendre part aux grands défis de notre époque, notamment en conjuguant le rayonnement de la création avec les impératifs de la transition écologique.

Artistes, musiciens, producteurs de spectacles et de musique enregistrée sont prêts à y travailler de concert.

Signataires
Jean-Luc Bernard, musicien et secrétaire général du syndicat national des musiciens et du monde de musique FO
Anne Bouvier, actrice et présidente de l’Adami, organisme de gestion collective des droits des artistes-interprètes
Sophie Bollich, violoniste et présidente du syndicat CGT des artistes musiciens et musiciennes
Bertrand Burgalat, musicien, producteur et président du Snep, syndicat national de l’édition phonographique
Laure Desbre, chanteuse, musicienne et vice-présidente de la Fédération CFE-CGC de la Culture de la Communication et du Spectacle
Rémi Lourdelle, secrétaire national de la Fédération communication, conseil, culture de la CFDT
Fabrice Roux, producteur, directeur de salle et président de La Scène Indépendante, syndicat national des entrepreneurs de spectacles

A NE PAS MANQUER AU MaMA 2023

ALL ACCESS AU MAMA 2023

Mercredi 11 octobre à 15 h 30 – Théâtre du lycée Jacques Decour

Comme chaque année le MaMA sera l’opportunité d’échanger concrètement les points de vue, les expériences et les bonnes pratiques sur la parité et l’inclusion :

Comment accélérer la progression de la place des femmes dans les entreprises de la musique et dans le monde de l’entreprise en général ?
Quelles solutions et sources d’inspiration pour faire de la musique un univers professionnel inclusif ?

Merci à Anne Méaux et à Marc Bernardin de venir partager leur vision et les enseignements de leurs parcours.

L’association All Access Musique rassemble les initiatives communes des producteurs en faveur de l’égalité femmes hommes, de l’égalité des chances et de l’inclusion dans les entreprises de la musique enregistrée et de l’édition musicale.
Avec le partenariat de Audiens

CONFERENCE SCPP : TOUT SAVOIR SUR LES DROITS DU PRODUCTEUR DE MUSIQUE

12 octobre à 14h30 – Scène de l’Elysée Montmartre
Quels sont les droits du producteur de musique ? Comment sont-ils perçus? Comment sont-ils répartis ?
Par Marc Guez (Directeur Général de la SCPP), Marie-Charlotte Lachaize (Directrice des Répartitions et du Répertoire social), Kristel Michel (Responsable des Attentes téléphoniques). Animation par Romain Berrod (NewsTank Culture).

« CONVERSATION AVEC » OLIVIER NUSSE

13 octobre à 17h15 – Scène de l’Elysée Montmartre
Une discussion avec Olivier Nusse qui reviendra sur sa carrière et les moments clefs de son parcours, son poste de Président du Directoire d’Universal Music France et Président de la SCPP. Une occasion aussi d’aborder avec lui les sujets d’actualité et sa constante préoccupation pour une meilleure valorisation de la musique.

CONCERTS SCPP : La SCPP SERA A LA BOULE NOIRE TOUS LES SOIRS !

11, 12, 13 octobre de 19h30 à 22h. 3 sets tous les soirs : 19h30, 20h45, 22h00
Neuf artistes en développement sont invités à se produire à la Boule Noire dans le cadre des « Concerts SCPP » .
Avec :

  • le 11 / 10 : Isia Marie, Sicario 78, Charlotte Fever –
  • le 12 /10 : Ravage Club, Alien, Ysé –
  • le 13 / 10 : LORD$, Laure Briard, Alice & Moi

Comme chaque année le MaMA sera l’opportunité d’échanger concrètement les points de vue , les expériences et les bonnes pratiques sur la parité et l’inclusion :

Comment accélérer la progression de la place des femmes dans les entreprises de la musique et dans le monde de l’entreprise en général ?

Quelles solutions et sources d’inspiration pour faire de la musique un univers professionnel inclusif ?

Nous serons heureux de vous recevoir mercredi 11 octobre au théâtre du lycée Jacques Decour pour mettre en lumière ces ambitions.

Merci à Anne Méaux et à Marc Bernardin de venir partager leur vision et les enseignements de leurs parcours.

 

 

L’association All Access Musique rassemble les initiatives communes des producteurs en faveur de l’égalité femmes hommes, de l’égalité des chances et de l’inclusion dans les entreprises de la musique enregistrée et de l’édition musicale.

Avec le partenariat de Audiens 

 

CROISSANCE DU MARCHÉ FRANÇAIS DE LA MUSIQUE ENREGISTRÉE AU 1ER SEMESTRE 2023

Télécharger le bilan

Avec un chiffre d’affaires de 397 M€, le marché physique et numérique affiche une progression de 9,4% au 1er semestre 2023.

Si la plupart des indicateurs sont au vert tant pour les ventes physiques (+7,3%) que pour les exploitations numériques (+10 %) – hormis le téléchargement dont l’usage poursuit son déclin – ils doivent être interprétés à l’aune de la progression des autres grands marchés européens et de l’évolution des différents segments de consommation sur notre territoire.

Dans ce contexte, les performances sont relatives :

  • S’il montre encore des résultats positifs (+7,9%), le phénomène du vinyle se tasse, sous l’effet de l’inflation et de l’arbitrage des dépenses par les consommateurs.
  •  Le sursaut des ventes de CD, comparé à la tendance baissière constatée lors des 1ers semestres de ces dernières années est conjoncturel, du fait d’un calendrier de sorties commerciales très populaires (Indochine, Jul, Aya, Ninho).
  • Quant à la progression du revenu de l’abonnement (10%), elle reste insuffisante du fait d’un taux de conversion encore trop faible dans notre pays, alors que l’usage même du streaming s’est très largement installé et que nous devrions observer une phase de croissance plus rapide pour rattraper le niveau des grands marchés occidentaux de la musique enregistrée.

Alexandre Lasch, directeur général, déclare : « l’anomalie vient du fait que le streaming audio freemium et vidéo qui réalise désormais près de 20% du marché, contribue davantage à la progression des revenus du streaming que les offres payantes. La part de marché de ces segments dont le modèle s’appuie sur la publicité démontre la difficulté à développer en France un marché solide de l’abonnement et handicape la création de valeur. »

Alors que l’écosystème musical négocie, à la demande du chef de l’État, un modèle de financement du Centre National de la Musique, le SNEP rappelle qu’un nouvel impôt de production ciblant l’abonnement en France, ne peut pas être une option.

 

À propos du SNEP : Le syndicat national de l’édition phonographique, est la principale organisation patronale regroupant les producteurs, éditeurs et distributeurs de musique enregistrée, partenaires des artistes de la musique. Il représente les intérêts de l’ensemble des labels français, de toutes tailles et de tous horizons musicaux, dont le chiffre d’affaires s’est élevé en 2022 à 920 millions d’Euros. Le SNEP est membre de la Fédération internationale de l’industrie phonographique (IFPI), du MEDEF, de l’UNIFAB et de la Fédération des entreprises du spectacle, de la musique, de l’audiovisuel et du cinéma (FESAC). Son conseil d’administration est composé des dirigeants des sociétés Antipodes MusicSony Music France , TricatelUniversal Music FranceVerycords et Warner Music France.

Contact : Patricia Sarrant – 06 46 39 40 31 – patricia.sarrant@snepmusique.com