After 100 million piracy notices, it’s time for Google to take meaningful action to help curb online copyright infringement

By Frances Moore, CEO, IFPI
13th January 2014
This week marks a key milestone for the global recording industry in our efforts to develop a thriving licensed digital music business – we have sent our 100 millionth piracy notice to Google.

 

In the last two and a half years, we have informed the world’s leading search engine more than 100 million times that it is supplying links to sites providing copyright infringing music that pay nothing to artists, songwriters or record producers.

 

And this represents only a fraction of the infringing links supplied by Google, because the search engine caps the amount of piracy notices that rights holders can send.
Google, with its market capitalisation of more than US$370 billion, is directing internet users to illegal sources of music. This is not only harming a recording industry whose revenues have fallen by 40 per cent in the last decade to US$16.5 billion, but it is also harming the more than 500 licensed digital music services worldwide that offer up to 30 million tracks to internet users. How can these legitimate businesses reach their full potential when the world’s largest search engine doesn’t place them above pirate services in its search results?

 

Google has given public commitments that it wants to play its role in tackling copyright infringement online. In August 2012, it said it would take into account the number of valid copyright removal notices it receives for any given site leading them to be potentially placed lower in search results.
Unfortunately, the recording industry has seen no demonstrable demotion of sites that receive a high volume of piracy notices. If you search for an artist’s name and the term “mp3” on Google, the first page of results you get is still dominated by links to infringing sites.

 

The truth is that, whatever Google’s claims to be helping tackle infringement, they are not showing convincing results. Research indicates that search engines are a major gateway to illegal music. The Digital Entertainment Survey 2013, from law firm Wiggins, noted that 65 per cent of internet users accessing infringing content regularly use search engines to locate it.

 

We would like to see Google and other search engines play a more responsible role in encouraging safe and legal use of the internet. Our research suggests consumers share this view – 60 per cent of internet users worldwide believing that search engines should prioritise licensed music services over pirate sites in their search results according to Ipsos MediaCT.

 

IFPI and its affiliated organisations, including RIAA in the US and BPI in the UK, are calling on search engines to take meaningful action to address online copyright infringement. The recording industry has five requests:

 

  • Fulfill the admirable promise to demote sites receiving extensive numbers of piracy notices.
  • Make sure that the “take down” of a song is effective and does not mean temporary removal, to be replaced 2 seconds later.
  • Better help consumers to find legitimate sources of music – for example by using an icon to indicate authorised sites
  • Change the way the auto-complete search function works so that it no longer directs users to pirate sites
  • Make sure your stated policy on repeat offenders has teeth – why is it that, after millions of copyright notices to the same site, this is not having an impact on search results?

 

Google has a role to play in helping to make the internet a safer place for legal commerce. Indeed, it has launched its own music streaming service, licensed by record companies, which has attracted many plaudits. It has taken some steps to improve its reaction to anti-piracy notices from rights holders.
But it has the technological expertise to do more and it has a duty to its users to stop overwhelming them with links to infringing content when they search for music online.

The recording industry worldwide invests US$4.5 billion a year in nurturing, discovering and promoting artists. This ensures a continuous supply of new content that keeps people engaged with digital services and using the latest consumer electronics.

To enable it to continue to do that, leading technology players such as Google need to show a greater respect for copyright law. If they can take that step, then together we can build a sustainable digital marketplace that will continue to provide great music and a fantastic user experience for consumers around the world.

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Tags   :  #Musique / #Radio / #Quotas

 

COMMUNIQUE

 

En finir avec la mauvaise foi des radios pour l’application des quotas !

 

Alors que l’efficacité des quotas de chansons francophones à la radio a permis à de très nombreux artistes d’expression française de rencontrer leur public, les producteurs du SNEP s’alarment de la grave remise en cause de ce dispositif, sous la pression des radios.

 

Selon certaines stations musicales, le prétexte est tout trouvé : la baisse de la production francophone serait si forte qu’elle ne leur permettrait plus de respecter les quotas. Pire, la production locale serait désormais majoritairement composée d’artistes français chantant en anglais !

 

Ces arguments mensongers et provocants pour justifier la pauvreté de la diversité musicale sur les ondes sont en totale contradiction avec la réalité des chiffres de la production locale.

 

Sur l’année 2013, celle-ci est restée très majoritairement chantée en français tandis que les artistes  français chantant en anglais  demeurent  des exceptions : au sein des 200 meilleures ventes d’albums de l’année passée, 92% des artistes francophones chantent en français. La part des artistes français présents dans le top album 2013 chantant en anglais est donc résiduelle. Le constat est identique sur les plus gros succès de l’année : 17 artistes dans le TOP 20 sont francophones.

 

Alors qu’avec 100 albums internationaux, les radios musicales privées arrivent à programmer sans difficulté leur 65% de titres internationaux, pourquoi ne parviendraient-elles pas à programmer  les 35 % de musique français sur 100 albums français imposées par les quotas ? De qui se moque-t-on ?

 

L’entreprise de désinformation menée par quelques radios pour saper un dispositif protecteur de la création ne doit plus tromper personne, et notamment le régulateur. Oui, les radios ont les moyens de respecter les quotas de chansons francophones puisque la production francophone est plus vivante que jamais !

 

En cette année de vingtième anniversaire de la loi sur les quotas et dans l’attente des conclusions  de la mission Bordes, les producteurs du SNEP en appellent à la responsabilité et à la clairvoyance  de la ministre de la Culture et de la communication afin que ce dispositif, si précieux pour la vitalité de la production musicale française, soit préservé et renforcé.

Contact : Guillaume LEBLANC : 01 47 38 04 04

 

SNEP/ADMAI/SACEM

Twitter : @ADAMI_Artistes – @sacem – @snep

Tags CSA / radios / Musique  

                                  Le 8 janvier 2014

COMMUNIQUE
 

Les propositions du CSA pour  améliorer l’exposition de la musique à la radio ratent leur cible

 

L’ADAMI, la SACEM et le SNEP  ont pris connaissance avec intérêt du rapport rendu public aujourd’hui par  le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) sur « l’exposition des musiques actuelles par les radios privées ».

Les artistes interprètes, les auteurs, compositeurs, éditeurs et producteurs de musique, saluent l’état des lieux dressé par le Conseil qui  reconnait le déficit d’exposition de la production francophone à  la radio, la concentration et  l’absence de diversité des play-lists. Ce constat confirme clairement les dérives dénoncées depuis des années par les professionnels de la musique.

En revanche ils sont  profondément déçus  par les solutions préconisées, qui éludent les trois obstacles majeurs auxquels est confrontée la filière musicale: la surexposition extrême de certains titres, l’uniformisation des programmations  et l’absence de diversité musicale au sein des radios jeunes.

Le rapport du CSA n’apporte pas de réponse aux effets pervers des très fortes rotations sur les nouvelles productions francophones. A titre d’illustration, les réseaux jeunes concentrent les deux tiers de leur diffusion de nouveautés sur 10 titres et  une radio musicale peut aujourd’hui réaliser un tiers de ses obligations de quotas de chanson française avec seulement la diffusion de 3 titres !

Introduire de manière facultative dans les conventions des radios, des critères généraux concernant la variété des interprètes ou des œuvres ne résoudra certainement pas  la problématique de diversité sur les ondes qui met chaque année davantage en difficulté la production de chanson francophone. Celle-ci demeure, contrairement aux idées reçues, riche, diversifiée et très largement majoritaire au sein de la production française, les titres d’artistes francophones ne chantant pas en français représentant une infime part de la production locale.

Par ailleurs, la proposition principale du rapport du CSA, qui consiste à prévoir des mesures alternatives aux quotas, constitue un véritable dévoiement la loi de 1986 qui imposait des mesures de diversité aux radios musicales. Ces mesures ne sauraient être une alternative au cadre juridique actuel.

L’ADAMI, le SNEP et la SACEM expriment donc leur plus vive inquiétude à la lecture de ces préconisations inappropriées et demeurent convaincus de la nécessité d’établir un plafonnement de diffusions d’un titre pour sa prise en compte dans le périmètre des quotas, proposition simple et directement efficace pour résoudre la problématique de la surexposition des titres.

Gageons que la mission Bordes saura  proposer des solutions courageuses et innovantes afin d’assurer une réelle amélioration de l’exposition des chansons d’expression francophone  à la radio, qui reste pour les Français le principal média de découverte de la musique

 

Contacts :

ADAMI / Benjamin Sauzay : 01 44 63 10 12

SACEM / Elisabeth Anselin : 01 47 15 45 32

SNEP / Patricia Sarrant : 01 47 38 04 04

 

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COMMUNIQUE

 

Le SNEP et l’UPFI  se félicitent de l’appel du CSA en faveur d’une meilleure exposition de la musique à la télévision

Les producteurs de musique membres du SNEP et de l’UPFI  saluent le rapport du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) publié aujourd’hui, qui déplore le manque d’exposition de la musique à la télévision, tout particulièrement aux heures de grande écoute.

Ce constat met en avant la double peine infligée à la musique : d’une part une très forte concentration des programmes musicaux sur les chaînes spécialisées (D17, W9 et M6) et  ce, sous forme de vidéoclips en grande majorité ; d’autre part une quasi-disparition de la musique aux heures de forte audience : qu’il s’agisse des chaînes du service public ou des chaînes privées, la musique ne représente en moyenne que 3.5%  des programmes entre 20h30 et 23h.

 Cette situation alarmante est paradoxale. Alors que la place de la musique et l’exposition des artistes sont de plus en plus réduites sur les chaînes, et notamment sur les antennes du service public, les Français la citent comme leur troisième activité culturelle préférée, et les 15-24 ans comme leur activité favorite. La télévision reste le premier média prescripteur de nouveautés musicales auprès du public, et notamment des jeunes.

 Dans ce contexte, les producteurs de musique prennent acte du souhait du CSA de voir « repensée » l’exposition de la musique à la télévision, en appelant les chaînes et les professionnels de la musique à se rapprocher pour y réfléchir.

 Ils espèrent qu’à l’appui de ce rapport, les pouvoirs publics entameront une démarche volontariste pour remédier à cette situation intolérable. La prochaine mission consacrée à la place de la musique dans les médias annoncée par la Ministre de la Culture et de la Communication doit en ce sens déboucher rapidement sur des résultats concrets et significatifs pour que la musique ne devienne pas le parent pauvre du paysage audiovisuel français.

 Contacts :

UPFI : 01 53 77 66 40 – Jérôme ROGER

SNEP : 01 47 38 38 04 – Guillaume LEBLANC

Paris : Le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) a appelé à « repenser l’exposition de la musique aux heures de forte audience » à la télévision, dans un rapport publié vendredi, déplorant que l’offre musicale sur les chaînes gratuites entre 20H30 et 23H ait baissé de 66% depuis 2007.

Continue reading « 21 JUIN AFP: Le CSA appelle à repenser la place de la musique à la Télé le soir »

logo_snep_newEn cette semaine de Fête de la musique, le SNEP publie l’édition 2013 de « L’économie de la production musicale« .

Vous y retrouverez les principales informations économiques qui ont marqué l’année 2012 pour le marché de la musique enregistrée en France et dans le monde, ainsi que les évolutions notables qui l’ont caractérisé : synthèse des ventes locales et internationales, panorama des modes de consommation et des nouveaux usages liées à la musique numérique, état des lieux sur la place de la musique dans les médias, évolution des acteurs de la distribution et succès musicaux de l’année.

Continue reading « Le Snep publie l’édition 2013 de « l’économie de la production musicale » »

Nomination du directeur général du SNEP

COMMUNIQUE DE PRESSE

NOMINATION DU DIRECTEUR GENERAL DU SNEP

Le Conseil syndical du SNEP a le plaisir d’annoncer la nomination de Guillaume Leblanc aux fonctions de directeur général du SNEP.
Agé de 29 ans, Guillaume Leblanc est depuis quatre ans collaborateur parlementaire auprès du député de Seine et Marne, Franck Riester, membre de la Commission des Affaires Culturelles et de l’Education de l’Assemblée Nationale. Il avait préalablement collaboré avec le député Bruno Le Maire (2007-2008).
Guillaume Leblanc est diplômé de l’institut d’Etudes Politiques de Toulouse et d’un master II Presse et Communication économique et sociale de l’Université Paris-Dauphine.
Par ailleurs, Alexandre Lasch, en poste depuis quatre ans au SNEP, en devient le directeur juridique.
Le président du SNEP, Stéphane Le Tavernier, remercie David El Sayegh au nom du Conseil Syndical, pour son action remarquable à la tête du SNEP depuis quatre ans.

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NOMINATION DU DIRECTEUR GENERAL DU SNEP

 

Le Conseil syndical du SNEP a le plaisir d’annoncer la nomination de Guillaume Leblanc aux fonctions de directeur général du SNEP.

Agé de 29 ans, Guillaume Leblanc est depuis quatre ans collaborateur parlementaire auprès du député de Seine et Marne, Franck Riester, membre de la Commission des Affaires Culturelles et de l’Education de l’Assemblée Nationale. Il avait préalablement  collaboré avec le député Bruno Le Maire (2007-2008).

Guillaume Leblanc est diplômé de l’institut d’Etudes Politiques de Toulouse et d’un master II Presse et Communication économique et sociale de l’Université Paris-Dauphine.

Par ailleurs, Alexandre Lasch, en poste depuis quatre ans au SNEP, en devient le directeur juridique.

Le président du SNEP, Stéphane Le Tavernier, remercie David El Sayegh au nom du Conseil Syndical, pour son action remarquable à la tête du SNEP depuis quatre ans.

 

 

 

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Un rapport publié par l’Institut pour les Etudes Prospectives Technologiques, financé par La Commission Européenne, présente une estimation des effets du téléchargement illégal sur les achats de musique légale.

Continue reading « 20/03/2013 – Le Rapport JRC sur la consommation de musique sur Internet : une étude biaisée et déconnectée du principe de réalité »