L’accord conclu ce jour entre le SNEP et NJJ est le plus ambitieux jamais signé entre les producteurs de musique et un service de télévision : le projet SIX entend présenter au public la richesse et la diversité de la production musicale française dans son ensemble, des labels TPE aux grandes entreprises.

En assurant une exposition optimale de la musique aux heures de grande écoute et dans les programmes d’information, en œuvrant à une représentation équilibrée des artistes féminines et des artistes masculins, en faisant toute leur place aux jeunes talents dans tous les genres musicaux, cet accord vient compléter les engagements pris par NJJ dans le cadre de sa candidature à l’obtention d’une fréquence TNT. A cet égard, NJJ surclasse très nettement les annonces faites par son concurrent direct.

La musique a toute sa place au sein de l’offre de télévision, elle est l’art fédérateur par excellence et doit permettre aux médias linéaires de renouer avec tous leurs publics. Cette ambition partagée avec Xavier Niel et son équipe ne se traduit pas par des promesses mais par des actes et des engagements concrets.

Dans ces conditions, les producteurs de musique du SNEP ont fait savoir à l’Arcom qu’ils soutenaient sans réserve le projet SIX proposé par NJJ, qui laisse entrevoir la possibilité d’un retour à l’esprit de la loi de 1986 et d’un dialogue respectueux.

 

 

 

Le Groupe M6, partenaire historique de l’industrie musicale, et le SNEP / la SCPP / la SPPF, annoncent qu’ils signent le renouvellement de leurs accords en cours, auxquels s’associe désormais l’UPFI. Le Groupe M6 affiche ainsi son engagement vis-à-vis des artistes de la musique et des entreprises qui les accompagnent.

Dans les prochaines années : M6 et W9 prolongent avec la SCPP et la SPPF l’accord sur les vidéomusiques. M6 et W9 prolongent avec le SNEP l’accord sur au moins 9 émissions musicales par an en première partie de soirée, consacrées aux variétés, à la musique interprétée et aux nouveautés de l’année. L’UPFI est pleinement associée à ces accords.

Concernant les musiques, M6, W9, le SNEP, la SCPP, la SPPF et l’UPFI continueront de veiller à l’exposition de la production musicale des labels dans toute leur diversité ; en tant que diffuseurs et producteurs, ils affichent aussi des ambitions communes sur la présence des artistes féminines à l’antenne et leur représentation au sein des diffusions musicales dans leur ensemble.

Les 100 titres les plus diffusés en radio ont cumulé plus de 3,8 millions de diffusions sur l’ensemble de l’année, soit 20% du total de l’offre musicale du média radio et un quart du nombre total des contacts musicaux.

Le single de Camila Cabello feat. Ed Sheeran « Bam Bam » (RCA) décroche la 1ère place du Top 100. Le tube aux sonorités latines a été joué près de 90.000 fois sur les stations du panel et a généré, en termes d’audience, 1,3 milliard de contacts.

Rema « Calm down » (Virgin Records) occupe la 2ème place du Top avec quelque 82.000 diffusions et 1,2 milliard de contacts suivi de très près par The Weeknd classé 3ème avec « Sacrifice » (Island-Def Jam). On soulignera que l’artiste canadien est un habitué du classement radio. Il est le seul artiste à avoir réussi l’exploit du figurer, pour la 3ème année consécutive, dans le haut des Tops annuels. Classé N°1 l’an passé avec « Save your tears », The Weeknd a surtout réussi l’exploit de se positionner, en 2020, aux 2 premières places du Top 100 radio avec « Blinding lights » et « In your eyes ». Une performance jamais observée depuis la mise en place des bilans radio.

S’agissant des artistes francophones, la meilleure performance revient à Stromae classé 6ème du Top avec « L’enfer » (Polydor). Le titre cumule plus de 66.000 diffusions et 1 milliard de contacts. Mis en radio début janvier, « L’enfer » s’est positionné directement à la 42eme place de l’airplay lors de sa sortie. Le single de Stromae, très attendu par les programmateurs, a été joué par la quasi-totalité des stations du Panel. Une vingtaine de radios, essentiellement des stations locales, ont joué le titre plus de 1.000 fois sur l’ensemble de l’année dont Lorfm, la radio lorraine qui a programmé « l’enfer » 1.350 fois sur son antenne. Europe 2 est le réseau national qui a le plus joué le titre de Stromae avec 1.134 passages. La station a, à elle seule, contribué à 10% de l’audience totale du titre en radio.

Sur l’ensemble du Top 100, la performance globale des titres francophones progresse à nouveau cette année pour représenter 40% de l’audience totale du classement radio. Une progression continue amorcée depuis 2018. En 5 ans, la part de marché des titres francophones dans le Top 100 a gagné +10 points (40% vs 30% en 2018). On compte cette année 43 titres francophones classés dans le Top 100 radio dont 16 dans les 50 premiers. Parmi les meilleures performances, Amir (Parlophone) se distingue avec 2 tubes classés dans le Top 30, « Ce soir » 11ème et « Rétine » 28ème.

S’agissant des artistes internationaux, Imagine Dragons (Polydor) signe la meilleure performance avec 4 tubes classés dans le Top 100 « Enemy » 25ème , « Sharks » 29ème , « Bones » 30ème et « Wrecked » 86ème. Ed Sheeran (Wea) s’illustre également avec 3 tubes classés « 2step » 10ème , « Shivers » 21ème et « Bad habits » 80ème. En comptabilisant les duos, Ed Sheeran compterait 2 tubes de plus dont le duo avec Camila Cabello « Bam Bam » N°1 du Top 100 et celui avec Vianney « Call on me » (Tôt ou tard) classé 52ème.

10 productions françaises au Top 10 des meilleures ventes d’albums de l’année

Avec 17 des 20 meilleures ventes d’albums 2022, les projets des artistes produits en France – et chantant en français – confirment cette année encore leur succès auprès des fans, toutes générations et toutes esthétiques musicales confondues.

Bravo à eux, à toutes les équipes qui les entourent et merci au public!

Décryptage de ces performances remarquables à travers les 200 meilleures ventes

  • 17 albums du TOP 20 sont des productions françaises.
  • 154 productions françaises sont classées dans les 200 meilleures ventes 2022, soit 77%

Ces scores confirment une tendance forte constatée dans la durée : depuis près de 10 ans, 17 à 19 productions françaises figurent systématiquement dans les 20 meilleurs scores annuels. 

Indicateur de la vitalité de la production française : la jeune génération toujours très présente aux côtés des artistes confirmés.

  • 32 premiers albums se classent au TOP 200, -dont 26 productions françaises.

Des artistes encore peu connu(e)s du grand public il y a encore 3 ans sont à fin décembre bien installé(e)s au TOP :

  • Une douzaine de ces jeunes artistes placent même 2 albums dans le classement annuel: Gazo, Harry Styles, Soolking, Laylow, SDM, Timal, Dinos, ZKR, Pomme, Sofiane Pamart, Franglish et Enhypen.

Les artistes féminines classent 29 albums au TOP 200 dont 17 sont des productions Françaises

La présence des femmes en tête des meilleures performances musicales de l’année n’est certes toujours pas à l’image du potentiel des artistes féminines mais elles sont bien là, les jeunes talents côtoyant les artistes confirmées (Angèle, Clara Luciani, Juliette Armanet, Pomme, Ronisia, Amel Bent, Hoshi, Zaz, Mylène Farmer, Adèle, Beyonce, Billie Eilish, Taylor Swift, Doja Cat, Aya Nakamura, Camelia Cabello, Ava Max, Dua Lipa, Rosalia, Imen es etc.)

3 artistes féminines figurent parmi les 20 meilleures ventes: Angèle avec Nonante cinq, Clara Luciani avec Cœur et Mylène Farmer avec L’emprise. 

Les répertoires

Les musiques urbaines dans toute leur diversité se taillent encore la part du lion dans le classement annuel. Pour ne citer que le TOP 20 :  Orelsan, Ninho, Gazo, Lomepal, Vald, Tiakola, Jul (avec 2 projets), Niska, Bigflo & Oli, Tayc et PLK s’imposent en tête des meilleurs scores de l’année.

Pour autant, la chanson et la pop, avec les jeunes talents comme avec les artistes consacrés rencontrent également un franc succès : Stromae, Angèle, Clara Luciani, Mylène Farmer, Vianney, Grand corps malade, Indochine, Renaud, Juliette Armanet, Patrick Bruel, Julien Doré, Keen V, Ben Mazué ou Michel Polnareff ont été parmi bien d’autres, au rendez-vous.

Enfin, les productions françaises dominent aussi dans le classement des meilleures ventes pour les répertoires classique et Jazz avec en tête du premier, Sofiane Pamart – également en 2° position – Gautier Capuçon à la 3° place, tandis que les albums de Melody Gardot & P. Baden Powell, de Gregory Porter ou d’Ibrahim Maalouf tiennent la tête du second.

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RAPPORT 2022 DE l’IFPI SUR LA CONSOMMATION DE MUSIQUE DANS LE MONDE

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17 novembre 2022 – L’IFPI, représentante de l’industrie du disque dans le monde, publie aujourd’hui son rapport 2022 « Engaging in Music » – la plus vaste étude menée sur la consommation de musique, qui décrypte les usages de 44 000 personnes dans 22 pays.

Parmi les points forts du rapport 2022

  • L’écoute hebdomadaire de musique en progression à 20,1 heures.
    Les amateurs de musique n’ont jamais dédié autant de temps à son écoute, y consacrant en moyenne 20,1 heures par semaine (versus 18,4 heures en 2021). Cette hausse représente l’équivalent de 34 chansons de 3 minutes supplémentaires par semaine en 2022.
  • Plus de 45 % des consommateurs choisissent les services d’abonnement payants
    46 % des personnes interrogées utilisent des services de streaming audio par abonnement, qui offrent un accès ininterrompu et à la demande, à des millions de titres.
  • La musique est indissociable du bien-être psychologique et physique.
    Elle joue un rôle essentiel dans la santé mentale et l’activité physique. Alors que 69 % des répondants déclarent que la musique est importante pour leur bien-être psychologique, 68 % affirment que la musique est importante pour eux lorsqu’ils font de l’exercice.
  • Aujourd’hui plus que jamais, le choix des modes de consommation de musique est multiple.
    Plus des trois quarts des personnes interrogées apprécient la musique sous des formes extrêmement variées. En moyenne, les consommateurs utilisent plus de six méthodes différentes pour écouter ou se servir de la musique : du streaming vidéo en passant par la radio, la télévision, les films, les bandes sonores de jeux vidéo, ou la création de vidéos courtes et bien d’autres usages.
  • La musique est au cœur de l’engagement des utilisateurs des applications de vidéos courtes
    63 % des personnes interrogées reconnaissent le rôle majeur de la musique dans leur intérêt et le temps passé à regarder des vidéos courtes.
  • Les consommateurs écoutent un large éventail de genres musicaux – Outre les genres populaires tels que le hip-hop, le rock et la pop, plus de 500 genres différents ont été identifiés par au moins une personne interrogée, dont le « sertanejo », la « samba », le « disco-polo » et le « dangdut », offrant ainsi un riche mélange de musique locale et internationale aux amateurs de musique du monde entier.
  • La musique reste un moteur essentiel de l’écoute de la radio
    La popularité historique de la radio se maintient, 73% des personnes interrogées déclarant qu’elles écoutent la radio principalement pour la musique qu’elle diffuse.
  •  les usages illicites restent une menace pour l’écosystème de la musique
    Près d’un répondant sur trois (30 %) utilise des méthodes illicites pour écouter ou télécharger de la musique.

Frances Moore, directrice générale de l’IFPI, déclare : « Cette année, le rapport « Engaging with Music » dresse un tableau enthousiasmant de la manière dont les fans du monde entier écoutent et multiplient les usages de la musique aujourd’hui. Il montre le résultat fructueux du partenariat entre les maisons de disques et les artistes, ainsi que les efforts accomplis pour renforcer les techniques innovantes qui permettent aux fans de se connecter avec leurs artistes et morceaux préférés de manière toujours plus diversifiée.
« Nous continuons à travailler d’arrache-pied pour faire en sorte que ceux qui cherchent à tirer profit de la musique sans licence et sans autorisation ne soient plus en mesure de menacer le dynamisme d’un écosystème musical essentiel pour les artistes et les fans. « Engaging 2022 » est un rappel utile et divertissant de l’importance réelle de la musique dans le monde, de sa valeur et de la nécessité de la protéger et de la soutenir. »

Pour de plus amples informations, contacter
Mail : press@ifpi.org
Tel. +44 (0)20 7878 7979

À propos de l’IFPI
L’IFPI est le porte-parole de l’industrie du disque dans le monde, représentant plus de 8 000 maisons de disques membres dans le monde. Nous nous efforçons de promouvoir la valeur de la musique enregistrée, de faire campagne pour les droits des producteurs de musique enregistrée et de développer les utilisations commerciales de la musique enregistrée sur tous les territoires.

Méthodologie

Les données sont basées sur un travail de terrain mené en juin et juillet 2022 dans 22 pays qui a permis de recueillir les opinions de plus de 44 000 personnes âgées de 16 à 64 ans. Les panels étaient représentatifs au niveau national dans chaque pays.

 

Avec une progression de 8.2% au 1er semestre et un chiffre d’affaires de 364,4 M€ le marché de la musique enregistrée affiche une nouvelle fois un résultat positif

Télécharger le bilan marché de la musique enregistrée du 1er semestre 2022

 

Si le vinyle continue de réaliser de beaux scores (+15%), c’est le streaming par abonnement qui porte l’essentiel de cette croissance (12.8%).

A noter également la progression sensible des revenus du streaming vidéo (+37.6%) qui réalise pour la première fois 10% des ventes de musique. Ce résultat appréciable ne doit néanmoins pas masquer le fait que les revenus générés par les plateformes de streaming vidéo ne concourent pas encore aux revenus du secteur à la hauteur de l’usage massif qu’en font les Français.

Par ailleurs, le CD, qui fête son 40ème anniversaire, reste la deuxième source de revenus au cours des 6 premiers mois de cette année. La baisse constatée de son chiffre d’affaires au cours du premier semestre doit être appréciée au regard de la saisonnalité marquée des ventes physiques, traditionnellement concentrées sur la fin de l’année.

Satisfaisante, la progression globale du marché doit néanmoins être mise en perspective avec la conjoncture inflationniste actuelle dont on ne peut encore mesurer les conséquences sur notre secteur.

Alexandre Lasch, directeur général déclare : « dans le contexte actuel, les producteurs de musique seront très attentifs à ce que des éléments extérieurs ne viennent pas perturber cette dynamique tout juste retrouvée. Notre vigilance s’attachera particulièrement au respect par le gouvernement de son engagement à ne pas créer de nouvelle taxe.

A la veille des débats budgétaires au parlement, les réflexions en cours sur le financement du CNM ne doivent pas conduire à l’accroissement de la pression fiscale sur les revenus du streaming. Cette éventualité ferait peser des risques lourds de répercussions sur les consommateurs au détriment de l’usage et du développement de ce marché. »

 

Contact : Patricia Sarrant – 01 47 38 04 04

155 productions françaises sur les 200 meilleures ventes d’albums du 1er semestre 2022.
En tête l’album « Civilisation » d’Orelsan avec plus de 215 000 eq. ventes, devant Ninho et Stromae.
Les jeunes talents se distinguent aux côtés des artistes confirmés : 34 jeunes artistes classent un premier album dans le TOP 200 dont 31 produits en France.
Ces scores se confirment aussi dans les répertoires classique et jazz, tout comme dans le classement des titres  les plus écoutés en streaming audio (premium)
QUANT AUX PERFORMANCES DE LA PRODUCTION FRANCOPHONE EN RADIO, ELLES SE MAINTIENNENT A PLUS DE 40% DES MEILLEURES DIFFUSIONS DU SEMESTRE, 3 TITRES FRANCAIS DANS LE TOP 10 (5 en 2021)

TOP ALBUMS
17 productions françaises dans les 20 meilleures ventes du semestre

78% de productions françaises dans le TOP 20

Les 200 meilleures ventes représentent 28% de la consommation totale dont 34 premiers albums

 

TOP STREAMING
14 titres produits en France au TOP 20
71% de productions françaises au TOP 200 (+5 points vs 1er semestre 2021)
Les 200 titres les plus écoutés en streaming audio payant représentent 7% du nombre  total des écoutes payantes
51,4 milliards de streams audios, + 31% vs 2021 dont 82% de streams issus des abonnement payants 
TOPS ALBUMS « CLASSIQUE » & « JAZZ »
Les artistes français ou produits en France en tête des classements
TOP RADIOS
46 titres francophones classés dans le TOP 100 des meilleures diffusions radios du premier semestre
Avec 24 titres classés au TOP 100, la variété francophone est le genre dominant de ce classement

Le Centre national de la musique annonce 62 nouveautés certifiées à l’export en 2021, en hausse de 22 % par rapport à 2020

En 2021, la vitalité de la production française, fortement présente au sein des meilleures ventes du marché de la musique enregistrée en France, lui-même en hausse, se confirme également à l’international avec des chiffres traduisant un rayonnement remarquable. Le nombre de nouveautés certifiées est ainsi en croissance de +22% par rapport à l’année 2020, le nombre de collaborations artistiques à l’international ne cesse de s’accroître (+15% par rapport à l’année précédente) et les labels continuent de s’adapter aux nouveaux moyens de diffusion, les réseaux sociaux notamment, à l’origine de nombreux succès à l’export. Le résultat est là : 237 certifications, dont 212 singles et 25 albums. Au total, 107 artistes différents obtiennent une certification or, platine ou diamant pour un ou plusieurs de leurs singles et albums.

(Les certifications Export sont réalisées par le CNM en collaboration avec le SNEP).

Cette année encore, le genre qui s’exporte le mieux à l’international est la Dance-Electro (43% des nouveautés), suivi par le Rap (33%). 54% des nouvelles sorties sont par ailleurs chantées en Français, ce qui confirme l’attractivité de francophonie.

Le retour de Stromae [Universal Music France] en fin d’année 2021 avec son single « Santé », lui a valu d’être certifié Or quelques semaines après sa sortie. Indochine et Julien Doré [Sony Music France] s’imposent comme des artistes français emblématiques ayant un rayonnement hors de nos frontières. David Guetta [Warner Music France] et ses 20 certifications ou encore Petit Biscuit [Believe] et son titre « Sunset Lover » qui cumule plus de 700 M de streams à l’export, figurent parmi les artistes français incontournables à l’export.

Enfin, parmi les 62 nouveautés certifiées à l’export cette année (albums ou singles sortis après 2020 ayant respectivement dépassé les 50 000 ventes hors France ou 15M de streams hors France), 23% ont atteint un nouveau seuil de certification en moins d’un an (passage du seuil or à platine ou de platine à diamant).

La scène électro française continue son ascension

Depuis plus d’une dizaine d’années, les artistes français de musiques électroniques sont présents dans les clubs et festivals du monde entier. Les certifications de cette année démontrent que le streaming affiche également cette tendance.

En mai 2021, Kungs [Universal Music France], sort son nouveau single « Never Going Home » et l’effet est immédiat. Il deviendra le hit électro de l’été à l’international et obtient directement une certification 2x Diamant à l’export.

Le duo Ofenbach [Warner Music France] continue son expansion à l’international et s’impose progressivement comme l’une des figures de la scène électro française. Il est certifié à travers toute l’Europe (Allemagne, Pays-Bas, Belgique, Italie, Autriche…) avec « Head Shoulders Knees & Toes », single 6x Diamant à l’export et « Wasted Love » sorti en 2021 et déjà 4x Diamant à l’export.

Enfin, le titre « The Sun » de Myd [Because Music], bande son de l’été 2021 sur les réseaux sociaux, « Tender Love » de Mounika. [I.O.T records / Maju. records] et « Salzburg » de Worakls [Sonate / Hungry Music], qui est connu pour ses productions électro-mélodiques, sont certifiés Or à l’export.

Le rap français séduit le monde

Le rap montre également sa vitalité à l’ère du streaming à travers son rayonnement en Europe et en Afrique.

Ninho [Warner Music France] et son album « Destin » sont certifiés Platine à l’export, tandis que « Tout en Gucci », issu de sa mixtape « M.I.L.S 3 » (Or), est le titre le plus streamé sur Apple Music en Afrique de l’Ouest en 2021.

Fort de la sortie de nouveaux titres l’année dernière, Soolking [Universal Music France] voit son deuxième album « Vintage » passer la certification Platine.

Les beatmakers français commencent également à rayonner hors de nos frontières comme le démontre le succès du titre « Tonight » produit par Ghost Killer Track [Sony Music France] sur lequel il invite l’artiste français Oboy et les figures montantes du rap anglais D-Block Europe.

Enfin, le 13 Organisé [Believe] devient Or avec son titre « Bande organisée ».

Les collaborations internationales, un véritable levier pour accroitre sa notoriété

Les beaux succès des artistes français hors France trouvent notamment leur explication dans des collaborations artistiques donnant une nouvelle dimension à leurs titres, à l’image de Lous and The Yakuza [Sony Music France] avec tha Supreme et Mara Sattei sur une autre version de « Dilemme » qui atteint le niveau Platine, ou avec Sfera Ebbasta sur le titre « Je Ne Sais Pas » certifié Or, permettant ainsi à son premier album « Gore » d’être certifié Or également.

« Jerusalema » de Master KG [Warner Music France] (8x Diamant single et 2x Platine pour l’album éponyme) en featuring avec Nomcebo Zikode a conquis toute la planète, de l’Afrique du Sud aux Etats-Unis en passant par l’Allemagne, le Canada et bien d’autres pays. Avec notamment un remix de Burna Boy (Diamant) ou sa version latine avec Micro TDH et Greeicy (Or), le titre s’est imposé comme l’un des plus gros tubes de ces dernières années (#1 Shazam monde).

Le DJ et producteur français Feder [Warner Music France] continue d’exporter sa musique à travers le monde. Après des collaborations (remixes) avec de grands noms tels que David Guetta, Master KG ou encore Dua Lipa, c’est notamment en Chine que la carrière de Feder se développe encore cette année, où son titre « Lordly » (4x Diamant) est un véritable phénomène viral presque 6 ans après sa sortie.

Enfin, après sa collaboration avec Dua Lipa et un documentaire sur Netflix, Angèle [Universal Music France] a sorti son 2ème album « Nonante-Cinq » et continue à séduire l’audience internationale, ce qui permet à ses singles de franchir de nouveaux paliers.

Les réseaux sociaux, un tremplin pour les artistes à l’export

À l’aube de la coupe d’Europe de football 2021, le single de Vegedream « Ramenez la coupe à la maison » [Universal Music France] resurgit sur TikTok en Allemagne et devient viral. Les tiktokeurs du monde entier s’en emparent et permettent au titre de rentrer dans les charts mondiaux pendant plusieurs semaines et d’atteindre une certification 4x Diamant.

De façon similaire, le titre « Copines » (4x Diamant) d’Aya Nakamura [Warner Music France], parti d’une chorégraphie TikTok devenue virale aux Philippines, s’est imposé en Asie mais également en Amérique latine. C’est un total de 13 certifications en 2021 pour la chanteuse francophone.

Maxence Cyrin [Kwaidan Records] a lui conquis le monde entier avec la version sensible d’un des plus grands tubes des Pixies : « Where Is My Mind ». De TikTok à Instagram en passant par YouTube, cette relecture du titre culte a ému la terre entière, y compris Frank Black (Pixies), et cela se voit sur les plateformes audios puisqu’il est 3x Diamant à l’export.

Le titre « Lil Mama » de Jain [Sony Music France] dépasse le milliard de stream. Cet engouement s’observe particulièrement en Chine, suite à une forte viralité du titre sur l’application Douyin.

Enfin, « Paris » du duo électro Else [L’Ordre Music] séduit et nourrit toujours les tendances sur les réseaux sociaux du monde entier. Le groupe continue sa conquête du monde avec la certification Or du titre « Ambre ».

Le live, un relai de l’export malgré la crise sanitaire

Le live joue aussi un rôle important dans les succès à l’international de la production française.

Depuis la sortie de son premier album « Matahari » et une tournée physique et en livestream qui emmène le groupe sur les scènes du monde entier, tout s’est accéléré pour L’Impératrice [Microqlima], qui a 3 titres certifiés cette année.

De la même façon, portés notamment par une tournée aux États-Unis en décembre 2021 avec son deuxième album « Cyclorama », le duo Polo & Pan [Ekleroshock & Hamburger Records / Universal Music France] confirme son ascension internationale. Les singles « Ani Kuni » et « Feel Good » sont certifiés Or et les désormais classiques « Canopée » et « Nanã » passent le palier Diamant.

Les vikings de Skáld [Universal Music France], qui ont défendu leur projet sur les scènes de toute l’Europe, voient leur premier album « Le chant des Vikings » atteindre la certification Or.

Enfin, Zaz [Warner Music France], seule artiste de chanson française à avoir 3 albums certifiés Diamant à l’export, a déjà obtenu la certification Or export pour son dernier album « Isa » sorti en octobre 2021, grâce à un public fidèle en Allemagne, au Canada, en Espagne et en Europe de l’Est notamment.

Les certifications export de l’année 2021 démontrent également que l’Eurovision offre une belle exposition aux productions françaises.

En 2019, le chanteur Gjon’s Tears [Jo&Co] se fait connaître en participant au télécrochet « The Voice : La Plus Belle Voix ». En 2021, il représente la Suisse au concours de l’Eurovision avec le titre « Tout l’univers » et se hisse à la première place grâce aux votes du public atteignant ainsi la certification Or à l’export.

Suite à la promotion européenne de son titre « Voilà », l’artiste de chanson française Barbara Pravi [Universal Music France] permet à la France de terminer 2ème à l’Eurovision 2021 et son single décolle dans les charts européens pour être certifié Platine.

Enfin, les artistes iconiques sont toujours portés par un engouement mondial grâce au streaming. C’est notamment le cas de Joe Dassin ou encore Françoise Hardy [Sony Music France] dont le titre « Le temps de l’amour » porté en 2021 par une reprise du groupe Bon Entendeur, est certifié Or.

 Voir toutes  les Certifications Export 2021

 

 

LES REVENUS MONDIAUX DE LA MUSIQUE ENREGISTRÉE

ONT AUGMENTÉ DE 18,5 % EN 2021

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22 mars 2022 – L’IFPI, qui représente l’industrie mondiale de la musique enregistrée annonce à l’occasion de la publication du Global Music Report, une progression du marché mondial de 18,5 % en 2021, avec un résultat total de 25,9 milliards de dollars. Ce sont essentiellement les scores du streaming par abonnement payant qui porte cette croissance.

Les revenus du streaming par abonnement payant ont augmenté de 21,9 %, soit 12,3 milliards de dollars.  Il y avait 523 millions d’utilisateurs de comptes d’abonnement payants dans le monde fin 2021.

Le chiffre d’affaire total du streaming (par abonnement payant et financé par la publicité) a augmenté de 24,3 % pour atteindre 16,9 milliards de dollars US, soit 65 % du total des revenus mondiaux de la musique enregistrée. Outre le streaming, la croissance a été soutenue par les bonnes performances d’autres exploitations, notamment les ventes de supports physiques (+16,1%) et les droits voisins (+4%).

Les maisons de disques s’efforcent de renforcer cette croissance pérenne pour l’ensemble de l’écosystème musical.  Grâce à des équipes et des expertises locales aux quatre coins du globe, , elles investissent dans les projets, les carrières des artistes et les genres musicaux de chaque territoire et elle soutiennent leur développement. Tant sur les marchés à fort potentiel de croissance comme l’Asie, l’Amérique latine et l’Afrique, que sur les marchés plus matures, en Europe ou en Amérique du Nord, les maisons de disques s’implantent en profondeur et contribuent localement à l’essor permanent d’écosystèmes musicaux dynamiques et diversifiés.

En ouverture de la conférence de presse donnée pour la présentation de ce rapport annuel, Frances Moore, directrice générale de l’IFPI, a exprimé son inquiétude concernant les événements en Ukraine et la crise humanitaire qui en résulte, en déclarant : « L’IFPI se tient aux côtés de ses collègues de la communauté musicale pour soutenir l’aide humanitaire d’urgence aux réfugiés et appeler à la fin de la violence. »

Commentant le Global Music Report, Moore a poursuivi : « Partout dans le monde, les maisons de disques s’engagent à un niveau très local, pour conforter les cultures musicales et favoriser le développement d’écosystèmes musicaux émergents en défendant la musique de chaque territoire et en créant les conditions pour qu’elle atteigne un public mondial. Au fur et à mesure que les marchés arrivent à maturité, ils rejoignent et contribuent à la richesse du monde musical interconnecté à l’échelle internationale.

« Par conséquent, le marché de la musique d’aujourd’hui est devenu plus compétitif qu’il n’a jamais été.  Les fans apprécient et consomment plus de musique que jamais, et leurs modes de consommations sont très divers et innovants.  Cela crée d’immenses opportunités pour les artistes. Ceux qui choisissent de s’associer à une maison de disques le font pour bénéficier du soutien d’équipes d’experts à travers le monde, des équipes agiles et très réactives, qui ont pour mission de les aider à obtenir un succès créatif et commercial mais aussi à construire leur carrière sur le long terme.

« Les technologies et l’environnement numérique continuent d’évoluer et de s’étendre, tout comme les possibilités créatives de partager des expériences musicales.  Du métavers à l’insertion dans les jeux vidéo, les maisons de disques ont investi dans les ressources humaines et les technologies pour offrir de nouvelles expériences hautement interactives  s’ajoutant aux moyens en constante évolution pour permettre aux artistes de créer des liens avec leurs fans. »

 

Croissance dans les régions du monde

Les revenus de la musique enregistrée ont augmenté dans toutes les régions du monde en 2021 :

  • L’Asie a affiché une croissance de 16,1 %, avec son plus grand marché, le Japon, en progression de 9,3 %. Hors Japon, la région a connu une hausse de 24,6 % de ses revenus. Dans la continuité de cette tendance, l’Asie représente également une part importante des revenus physiques mondiaux (49,6 %).
  • Hausse de 4,1% des revenus pour l’Océanie. L’Australie (+3,4 %) reste l’un des dix premiers marchés mondiaux et en Nouvelle Zélande la hausse du chiffre d’affaires généré par le streaming a fait progresser le marché global de 8,2 %.
  • Les revenus en Europe, deuxième marché de la musique enregistrée dans le monde, ont augmenté de 15,4 %, une forte hausse comparée au +3,2 % de l’année précédente. Les plus grands marchés de la région ont tous connu une croissance à deux chiffres : Royaume-Uni (+13,2%), Allemagne (+12,6%) et France (+11,8%).
  • L’Amérique latine a connu une croissance de 31,2%, soit l’un des taux de croissance les plus élevés au monde. Le streaming a représenté 85,9% du marché, l’une des proportions les plus élevées de toutes les régions.
  • Le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, qui apparaissent pour la première fois comme une région distincte dans le Global Music Report, ont enregistré une croissance de 35 %, soit le taux de croissance régional le plus élevé au monde. Le streaming a été un moteur particulièrement puissant dans la région, avec une part de marché de 95,3 %.
  • L’Afrique subsaharienne – également présentée pour la première fois dans un rapport de l’IFPI – a vu ses revenus augmenter de 9,6 % en 2021, en grande partie grâce au streaming. Les offres financées par la publicité ont suscité un engouement particulièrement fort dans cette région, les revenus de ce format ayant augmenté de 56,4 %.
  • La région États-Unis et Canada a connu une croissance de 22% en 2021, dépassant le taux de croissance mondial. Le marché américain à lui seul a progressé de 22,6 % et les revenus canadiens de la musique enregistrée ont augmenté de 12,6 %.

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IFPI Global Music Report 2022 : rapport complet – avec données et analyse : Achetez le rapport complet ici.

À propos de l’IFPI : avec plus de 8 000 labels et producteurs membres, L’IFPI représente l’industrie du disque dans le monde. Nous nous efforçons de promouvoir la valeur de la musique enregistrée, de faire campagne pour les droits des producteurs de musique enregistrée et de développer les utilisations commerciales de la musique enregistrée dans le monde.

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Avec 861M€ de chiffre d’affaires, le marché français de la musique enregistrée affiche une progression de 14,3%. C’est une 5ème année consécutive de hausse, avec en 2021 un résultat largement positif qui confirme la dynamique de croissance enregistrée depuis 2017.

Les ventes de musique en France retrouvent ainsi un niveau de chiffre d’affaires équivalent à plus de 50% de son niveau historique de 2002. La page de l’épisode hors norme de la pandémie s’est tournée en 2021 pour les supports physiques, alors que l’économie des concerts a continué d’être sérieusement affectée.

Cette 1ère croissance à 2 chiffres depuis 20 ans s’explique par 2 éléments moteurs :

La hausse toujours soutenue des revenus générés par le streaming, conjuguée à une résistance remarquable des ventes physiques. En effet, au-delà de la reprise spectaculaire suivant une année 2020 atypique avec la fermeture des points de ventes 3 mois sur 12, CD et vinyles font preuve d’une résilience notable avec des revenus stables comparés à ceux de 2019.

Ces chiffres sont les indicateurs de l’évolution toujours constante des modes de consommation de la musique, avec désormais des usages franchement mixtes, entre une pratique assidue du streaming et en même temps, l’achat de supports, CD et vinyles, dont l’attractivité s’affirme de nouveau sans équivoque, y compris auprès de la jeune génération.

Le streaming consolide ses performances, porté par les abonnements, en hausse de 15% et qui restent la dynamique majeure de croissance et de création de valeur, avec une progression de l’usage chez les consommateurs, toutes classes d’âge confondues et tout particulièrement chez les plus de 50 ans.

Autre point saillant de l’année 2021 : le rebond de 21% des revenus générés par les supports physiques, qui étaient en baisse de 10% avant la pandémie. En hausse significative pour la première fois en 20 ans (+10%), les ventes de CD sont encore la 2ème source de chiffre d’affaires du marché.

Le vinyle confirme cette année encore avec plus de 5 millions d’unités vendues, son succès auprès de tous les publics, pour les nouveaux répertoires comme pour le back catalogue, et se place en 3ème position des revenus, en hausse de plus de 50%. Il représente 33% du chiffre d’affaires physique.

Quant aux droits voisins et aux revenus générés par la synchronisation, ils ont regagné une tendance positive en 2021, après les circonstances exceptionnelles de l’année précédente et affichent respectivement une progression de 7,3% et 11%.

L’autre constante des résultats de l’année écoulée, c’est le plébiscite du public français pour les artistes produits dans l’hexagone. Score remarquable, 18 albums du TOP 20 sont des productions françaises, chantées en français, comme d’ailleurs 83% des 200 meilleures ventes. Loin d’être ponctuelles, ces performances décrivent une tendance de fond : depuis 7 ans, 17 à 19 productions françaises figurent systématiquement dans le Top 20 de l’année.

Derrière ces résultats, un autre indicateur du dynamisme de la production musicale :  celui de l’émergence de nouveaux artistes. Aux côtés des artistes confirmés, 28 jeunes talents placent un premier album dans le Top 200.

Avec plus de la moitié des 200 meilleures ventes d’albums, les productions françaises de rap et de musiques urbaines affichent encore en 2021 un franc succès. La chanson et la pop françaises sont aussi au rendez-vous, tant avec les jeunes talents qu’avec les artistes déjà populaires. Le classique et le jazz ne sont pas en reste avec une part également prépondérante de productions made in France dans les meilleures ventes de ces répertoires.

L’adoption croissante du streaming audio poursuit elle aussi son élan : on recense désormais près de 10 millions d’abonnements payants, qui avec les comptes familles rassemblent 14 millions d’utilisateurs des offres premium. Avec les 8 millions d’utilisateurs des offres gratuites, ce sont 22 millions de Français qui écoutent aujourd’hui la musique en streaming audio.

Si l’écoute hebdomadaire de musique a globalement progressé en France, de près de 3H en 2 ans, la durée d’écoute via le streaming par abonnement a pour sa part doublé dans le même temps, illustrant la pratique intense des abonnés à partir de leur service de streaming audio.

A la progression ininterrompue du streaming audio et vidéo, s’ajoute désormais l’utilisation de services de vidéos courtes comme TikTok qui s’est développée de façon spectaculaire au début de la pandémie pour devenir aujourd’hui un mode de consommation à part entière. 2021 dresse donc un tableau très varié des usages, avec l’émergence rapide de nouvelles pratiques au cœur desquelles se trouve la musique, qu’il s’agisse de ces vidéos courtes, des livestreams ou de l’intégration dans les jeux vidéo.

 

Alexandre Lasch, directeur général, déclare : « La capacité des producteurs à conclure sans cesse de nouveaux accords pour développer des expériences innovantes et immersives est un levier majeur de la croissance du marché de la musique enregistrée. Ils travaillent activement à multiplier les partenariats avec les plateformes, investissent dans les nouvelles technologies, les nouvelles applications et développent l’expertise de leurs équipes pour offrir au public les solutions de connexion et d’engagement les plus diverses avec la musique et l’univers des artistes. »

À propos du SNEP : Le SNEP, syndicat national de l’édition phonographique, est la principale organisation patronale regroupant les producteurs, éditeurs et distributeurs de musique enregistrée, partenaires des artistes de la musique. Il représente les intérêts de l’ensemble des labels français, de toutes tailles et de tous horizons musicaux, dont le chiffre d’affaires s’est élevé en 2021 à 861 millions d’Euros. Le SNEP est membre de la Fédération internationale de l’industrie phonographique (IFPI), du MEDEF, de l’UNIFAB et de la Fédération des entreprises du spectacle, de la musique, de l’audiovisuel et du cinéma (FESAC). Son conseil d’administration est composé des dirigeants des sociétés ARB Music, Sony Music France , Tricatel, Universal Music France, Verycords et Warner Music France.

 

Contact: Patricia Sarrant : 01 47 38 04 04