ALL ACCESS : LA RELEVE

8 Mars 2023 : Journée internationale du droit des femmes
L’égalité Femmes Hommes, c’est l’affaire de tous, tous les jours.
C’est un enjeu collectif de réussite.
C’est l’ambition quotidienne d’All Access.

Ce 8 mars, Journée internationale des droits des femmes nous offre un portevoix pour faire entendre les projets, les idées et les ambitions que les producteurs portent pour faire bouger les lignes et faire grandir plus vite les femmes dans les entreprises de la musique.

All Access est un de ces jeunes réseaux qui met tout en œuvre pour les rendre :
+ Fortes
+ Visibles
+ Nombreuses

Pour faire monter le son des femmes de la musique : nous sommes fiers d’accueillir pour la quatrième saison des Master class ALL ACCESS, 50 professionnelles remarquables, enthousiastes, qui rêvent en grand et changent le monde.

Grâce au soutien du Centre National de la Musique, l’association a mis en place des comptes dédiés sur les réseaux sociaux, et communiqué régulièrement sur les activités d’All Access. Les participantes au programme de mentorat bénéficient aussi d’un kit de communication pour leur assurer une meilleure visibilité.

Avec le cofinancement du CNM et du Fonds de Justice de Sony Music International un séminaire de deux jours tourné vers le développement du leadership est proposé à l’ensemble des participantes

En partenariat avec Audiens depuis la création d’All Access Musique, les jeunes femmes qui participent au programme de mentorat ont accès à des séances de coaching individuel prodiguées par des coachs certifiés.

Merci aux mentors, aux coachs, aux partenaires !

Palmarès des 38èmes Victoires de la Musique

FÉLICITATIONS À TOUS LES LAURÉATS DES VICTOIRES DE LA MUSIQUE 2023 ET AUX ÉQUIPES DE PASSIONNÉS QUI LES ONT ENTOURÉS ET AIDÉS À PORTER LEURS PROJETS  LE PLUS LOIN POSSIBLE.

Artiste masculin
Stromae
Polydor / Universal Music

Artiste féminine
Angèle
Romance Musique / Universal Music

Révélation masculine
Pierre De Maere
CINQ 7 / Wagram

Révélation féminine
november ultra
Virgin Records / Universal Music

Album
« Multitude » – Stromae
Polydor / Universal Music

Chanson originale
« La quête » – OrelSan – Auteur : OrelSan/Compositeurs : Phazz – Skread

Concert
OrelSan – « Civilisation tour » – Production : Astérios Spectacles/Strong Ninja/7TH Magnitude

Création audiovisuelle
« La quête » – OrelSan – Réalisateur : Victor Haegelin

Album le plus streamé d’une artiste
« Nonante-Cinq » – Angèle
Romance Musique / Universal Music

Album le plus streamé d’un artiste
« Jefe » – Ninho
Rec. 118 / Warner Music

 

L’accord conclu ce jour entre le SNEP et NJJ est le plus ambitieux jamais signé entre les producteurs de musique et un service de télévision : le projet SIX entend présenter au public la richesse et la diversité de la production musicale française dans son ensemble, des labels TPE aux grandes entreprises.

En assurant une exposition optimale de la musique aux heures de grande écoute et dans les programmes d’information, en œuvrant à une représentation équilibrée des artistes féminines et des artistes masculins, en faisant toute leur place aux jeunes talents dans tous les genres musicaux, cet accord vient compléter les engagements pris par NJJ dans le cadre de sa candidature à l’obtention d’une fréquence TNT. A cet égard, NJJ surclasse très nettement les annonces faites par son concurrent direct.

La musique a toute sa place au sein de l’offre de télévision, elle est l’art fédérateur par excellence et doit permettre aux médias linéaires de renouer avec tous leurs publics. Cette ambition partagée avec Xavier Niel et son équipe ne se traduit pas par des promesses mais par des actes et des engagements concrets.

Dans ces conditions, les producteurs de musique du SNEP ont fait savoir à l’Arcom qu’ils soutenaient sans réserve le projet SIX proposé par NJJ, qui laisse entrevoir la possibilité d’un retour à l’esprit de la loi de 1986 et d’un dialogue respectueux.

 

 

La prolongation des accords en cours concernant la musique sur les chaines du groupe M6, bien que tardive, est un pas dans le bon sens pour la place de la musique sur la TNT dans les années à venir. Ces accords ne sauraient toutefois constituer un blanc-seing donné à M6 dans le cadre du renouvellement éventuel de sa fréquence par l’ARCOM.

A cet égard, notre organisation sera extrêmement attentive aux engagements musicaux que les deux candidats à l’attribution de cette fréquence défendront le 15 février prochain devant l’Autorité. Le SNEP soutiendra le projet qui présentera les meilleures garanties à long terme en faveur de la création musicale et du public.

Le choix de l’attributaire par l’ARCOM dans les semaines à venir doit être guidé par un mieux-disant culturel. Alors que les producteurs de musique réaffirment le rôle majeur des médias traditionnels dans le développement de la carrière des artistes, ce choix est l’opportunité unique d’assurer aux téléspectateurs une offre télévisuelle ambitieuse, diverse et de nature à préserver l’attrait des programmes linéaires.

Deux candidatures ont été déposées auprès de l’ARCOM dans le cadre du renouvellement de l’autorisation d’émettre de M6. Deux candidatures et de toute évidence deux projets éditoriaux qui seront de nature à se différencier fortement.

C’est l’occasion pour les acteurs de la filière musicale de rappeler que la musique est un élément constitutif de l’ADN de cette chaîne depuis sa création en 1987 à partir de la chaîne musicale TV6. Le renouvellement de sa fréquence, ne doit pas être l’occasion d’une remise en cause des engagements actuels de M6 en faveur de la musique qui occupe 20 % de sa programmation.

Les auteurs-compositeurs, les artistes interprètes, les managers, les éditeurs de musique, les producteurs phonographiques, et les producteurs de spectacles, considèrent que c’est au contraire, l’occasion d’un renforcement du montant des investissements consacrés à la production d’émissions musicales sur M6. Le montant actuel de 19 M€, mutualisable avec l’ensemble des autres chaînes du groupe, ne représente que 3,7 % du coût total de la grille du groupe M6, ce qui est parfaitement dérisoire, au regard notamment des obligations musicales de M6 et de W9. Par ailleurs, M6 assure aujourd’hui 29 000 diffusions de vidéomusiques par an. Ce dispositif doit être maintenu au cours des prochaines années car complémentaire avec les vidéomusiques accessibles sur les sites de partage de vidéos.

L’exposition des nouveaux talents, des nouvelles productions et le bon équilibre entre les diverses esthétiques musicales sur les chaînes de la TNT constituent un enjeu important pour la diversité musicale et le développement de la notoriété d’un artiste. Les fortes audiences générées par certaines émissions musicales en prime-time restent à cet égard incomparables par rapport aux réseaux sociaux. Cette dimension fédératrice conjuguée au rôle éditorial et de prescription des chaînes hertziennes, en font un maillon toujours fondamental de la réussite de la scène française.

Les acteurs de la filière musicale seront extrêmement attentifs aux engagements souscrits par chacun des deux candidats en matière de programmation musicale et d’investissements, à l’occasion de leur audition le 15 février prochain. Ils soutiendront auprès de l’ARCOM le projet qui leur paraîtra le plus ambitieux en matière de programmation musicale et de niveau d’investissement dans ce domaine.

Tous Pour La Musique (TPLM) fédère l’ensemble des professionnels de la musique en France : auteurs, compositeurs, artistes interprètes, musiciens, éditeurs, producteurs, managers, entrepreneurs de spectacles (producteurs de spectacles, diffuseurs, festivals, exploitants de salles), les distributeurs de musique physique et numérique, les fabricants d’instruments de musique, les attachés de presse, et agit en faveur de la création musicale en France dans toute sa diversité.

Les 100 titres les plus diffusés en radio ont cumulé plus de 3,8 millions de diffusions sur l’ensemble de l’année, soit 20% du total de l’offre musicale du média radio et un quart du nombre total des contacts musicaux.

Le single de Camila Cabello feat. Ed Sheeran « Bam Bam » (RCA) décroche la 1ère place du Top 100. Le tube aux sonorités latines a été joué près de 90.000 fois sur les stations du panel et a généré, en termes d’audience, 1,3 milliard de contacts.

Rema « Calm down » (Virgin Records) occupe la 2ème place du Top avec quelque 82.000 diffusions et 1,2 milliard de contacts suivi de très près par The Weeknd classé 3ème avec « Sacrifice » (Island-Def Jam). On soulignera que l’artiste canadien est un habitué du classement radio. Il est le seul artiste à avoir réussi l’exploit du figurer, pour la 3ème année consécutive, dans le haut des Tops annuels. Classé N°1 l’an passé avec « Save your tears », The Weeknd a surtout réussi l’exploit de se positionner, en 2020, aux 2 premières places du Top 100 radio avec « Blinding lights » et « In your eyes ». Une performance jamais observée depuis la mise en place des bilans radio.

S’agissant des artistes francophones, la meilleure performance revient à Stromae classé 6ème du Top avec « L’enfer » (Polydor). Le titre cumule plus de 66.000 diffusions et 1 milliard de contacts. Mis en radio début janvier, « L’enfer » s’est positionné directement à la 42eme place de l’airplay lors de sa sortie. Le single de Stromae, très attendu par les programmateurs, a été joué par la quasi-totalité des stations du Panel. Une vingtaine de radios, essentiellement des stations locales, ont joué le titre plus de 1.000 fois sur l’ensemble de l’année dont Lorfm, la radio lorraine qui a programmé « l’enfer » 1.350 fois sur son antenne. Europe 2 est le réseau national qui a le plus joué le titre de Stromae avec 1.134 passages. La station a, à elle seule, contribué à 10% de l’audience totale du titre en radio.

Sur l’ensemble du Top 100, la performance globale des titres francophones progresse à nouveau cette année pour représenter 40% de l’audience totale du classement radio. Une progression continue amorcée depuis 2018. En 5 ans, la part de marché des titres francophones dans le Top 100 a gagné +10 points (40% vs 30% en 2018). On compte cette année 43 titres francophones classés dans le Top 100 radio dont 16 dans les 50 premiers. Parmi les meilleures performances, Amir (Parlophone) se distingue avec 2 tubes classés dans le Top 30, « Ce soir » 11ème et « Rétine » 28ème.

S’agissant des artistes internationaux, Imagine Dragons (Polydor) signe la meilleure performance avec 4 tubes classés dans le Top 100 « Enemy » 25ème , « Sharks » 29ème , « Bones » 30ème et « Wrecked » 86ème. Ed Sheeran (Wea) s’illustre également avec 3 tubes classés « 2step » 10ème , « Shivers » 21ème et « Bad habits » 80ème. En comptabilisant les duos, Ed Sheeran compterait 2 tubes de plus dont le duo avec Camila Cabello « Bam Bam » N°1 du Top 100 et celui avec Vianney « Call on me » (Tôt ou tard) classé 52ème.

Après la signature – sous l’impulsion de l’IFPI – d’un premier code international de bonnes pratiques par l’industrie mondiale de la musique enregistrée en 2019, l’étude « manipulation de streams » publiée aujourd’hui par le Centre National de la Musique marque une avancée décisive pour stopper ces comportements illicites.

A l’échelle française, le SNEP s’est mobilisé dès 2017 sur ce sujet et a multiplié les alertes auprès des pouvoirs publics, notamment lors des débats du projet de loi ARCOM, alertes qui ont conduit à la mise en œuvre de l’étude réalisée par le CNM.

Les manipulations en ligne affectent l’ensemble de l’économie : fausses informations, faux avis, faux likes, faux abonnés… et la musique n’échappe pas à ces usages déviants qui viennent déséquilibrer un environnement attractif mais encore fragile. Augmentant artificiellement les écoutes en ligne d’un titre ou du répertoire d’un artiste sur les plateformes de streaming, ils visent à fausser la visibilité et la rémunération des projets artistiques.

Cette première étude montre que les répertoires sont concernés dans toute leur profondeur ; sur Spotify comme sur Deezer, plus de 80% des détections concernent la « longue traîne », soit les titres au-delà du Top 10.000 des meilleures écoutes.

Face à ce constat, les producteurs du SNEP se félicitent que la plupart des acteurs du marché de la musique en France aient pris la juste mesure de ce phénomène nuisible à tous. En ce qui les concerne, ils se sont dotés d’importants moyens techniques et d’équipes dédiées pour y répondre.

Le panel des distributeurs ayant participé à cette étude (Sony Music, Universal Music, Warner Music, Wagram et Believe) représente ainsi plus de 75% des volumes de streams sur Deezer, mais une part significativement moindre de l’activité frauduleuse.

Après avoir ouvert une première voie, ils expriment une volonté sans faille et appellent de leurs vœux la mise en œuvre d’actions systématiques de la part de tous les distributeurs, agrégateurs et plateformes pour appréhender plus largement ces pratiques et en intensifier la répression.

En effet, si l’étude donne à voir qu’entre 1 et 3% des volumes de streams en France sont générés artificiellement, il s’agit uniquement des comportements anormaux détectés par les plateformes  et non de la réalité effective des manipulations de streams, qui est nécessairement supérieure.

Chaque plateforme ayant sa propre méthodologie de détection, les résultats ne sont pas comparables d’un service de streaming à l’autre. Cette étude appelle donc des suites pour dégager une vision plus complète, réunissant tous les acteurs concernés et unifiant leurs méthodologies avec l’appui d’un tiers de confiance indépendant.

Cette étude se limitant par ailleurs aux écoutes générées en France, elle ne reflète pas le niveau des manipulations de streams ailleurs dans le monde.

Alexandre Lasch, directeur général du SNEP, déclare : « Il est nécessaire de parcourir rapidement le chemin qui permettra de gagner en exhaustivité et en efficacité dans la lutte contre les écoutes artificielles, en s’appuyant notamment sur le développement d’une pédagogie en direction de l’ensemble des protagonistes, des structures les plus installées jusqu’aux artistes autoproduits. »

A cet égard, le SNEP souscrit pleinement aux recommandations de l’étude. En particulier, l’appui de l’Etat via le Pôle d’Expertise de la Régulation Numérique (PEReN) et la répression des fraudes (DGCCRF) serait extrêmement utile pour aller plus loin et plus vite dans les processus mis en œuvre.

Cette mobilisation des pouvoirs publics et des acteurs du marché français de la musique enregistrée doit s’inscrire dans la durée. Elle vient s’ajouter aux actions judiciaires passées ou en cours menées par l’IFPI et d’autres organisations, en Europe et sur d’autres continents.

A propos du SNEP www.snepmusique.com :

Le SNEP, syndicat national de l’édition phonographique, est la principale organisation professionnelle regroupant les producteurs, éditeurs et distributeurs de musique enregistrée, partenaires des artistes de la musique. Il représente les intérêts de l’ensemble des labels français, de toutes tailles et de tous horizons musicaux. Le SNEP est membre de la Fédération internationale de l’industrie phonographique (IFPI), du Mouvement des entreprises de France (MEDEF) et de la Fédération des entreprises du spectacle, de la musique, de l’audiovisuel et du cinéma (FESAC). Son conseil d’administration est composé des dirigeants des sociétés Antipodes, Sony Music France, Tricatel, Universal Music France, Verycords et Warner Music France.

 

Télécharger ici le communiqué de presse et l‘étude sur la manipulation des écoutes en ligne du CNM

 

 

 

38èmes Victoires de la musique

Rendez -vous sur France 2 le 10 février en live et en direct de la Seine Musicale, avec France Inter et France Bleu

Les nominations

Artiste masculin :

– BigFlo & Oli

– Grand Corps Malade, Ben Mazué & Gaël Faye

– Stromae


Artiste féminine :

– Angèle
– Izïa
– Pomme


Révélation masculine :

– Pierre de Maere
– Jacques
– Lujipeka
– Tiakola

Révélation féminine :

– Mentissa
– november ultra
– Emma Peters

Album :

– « By your side » – Jeanne Added
– « Consolation » – Pomme
– « Éphémère » – Grand Corps Malade, Ben Mazué & Gaël Faye
– « Multitude » – Stromae
– « Nonante-cinq la suite » – Angèle

Chanson originale :

Pour la catégorie « Chanson originale » soumise au vote du public, rendez-vous ici du lundi 9 janvier 20h00 au jeudi 9 février 20h00

« Coeur » – Clara Luciani – Auteur : Clara Luciani / Compositeurs : Clara Luciani – Sage

« Flamme » – Juliette Armanet – Auteurs : J. Armanet – David Numwami – Diane Jacqus / Compositeurs : J. Armanet – Victor Le Masne

« L’enfer » – Stromae – Auteur/Compositeur : Stromae / Arrangeurs : Stefka Miteva – Alfredo Coca – Bruno Letort

« La quête » – OrelSan – Auteur : OrelSan / Compositeurs : Phazz – Skread

« Un jour je marierai un ange » – Pierre de Maere – Auteur/Compositeur : P. de Maere / Arrangeurs : Xavier de Maere – Valentin Marso

Concert :

– Juliette Armanet – Production : Corida

– Clara Luciani – « Respire encore tour » – Production : Romance Musique

– OrelSan – « Civilisation tour » – Production : Astérios Spectacles/Strong Ninja/7TH Magnitude

Création audiovisuelle :

– « Coup de vieux » – BigFlo & Oli feat. Julien Doré – Réalisateur : Brice Vdh

– « Fils de joie » – Stromae – Réalisateurs : Henry Scholfield – Luc Van Haver – Coralie Barbier – Paul Van Haver

– « La quête » – OrelSan – Réalisateur : Victor Haegelin

Les albums les plus streamés d’une artiste et d’un artiste en 2022 :

– « Nonante-Cinq » – Angèle

– « Jefe » – Ninho

10 productions françaises au Top 10 des meilleures ventes d’albums de l’année

Avec 17 des 20 meilleures ventes d’albums 2022, les projets des artistes produits en France – et chantant en français – confirment cette année encore leur succès auprès des fans, toutes générations et toutes esthétiques musicales confondues.

Bravo à eux, à toutes les équipes qui les entourent et merci au public!

Décryptage de ces performances remarquables à travers les 200 meilleures ventes

  • 17 albums du TOP 20 sont des productions françaises.
  • 154 productions françaises sont classées dans les 200 meilleures ventes 2022, soit 77%

Ces scores confirment une tendance forte constatée dans la durée : depuis près de 10 ans, 17 à 19 productions françaises figurent systématiquement dans les 20 meilleurs scores annuels. 

Indicateur de la vitalité de la production française : la jeune génération toujours très présente aux côtés des artistes confirmés.

  • 32 premiers albums se classent au TOP 200, -dont 26 productions françaises.

Des artistes encore peu connu(e)s du grand public il y a encore 3 ans sont à fin décembre bien installé(e)s au TOP :

  • Une douzaine de ces jeunes artistes placent même 2 albums dans le classement annuel: Gazo, Harry Styles, Soolking, Laylow, SDM, Timal, Dinos, ZKR, Pomme, Sofiane Pamart, Franglish et Enhypen.

Les artistes féminines classent 29 albums au TOP 200 dont 17 sont des productions Françaises

La présence des femmes en tête des meilleures performances musicales de l’année n’est certes toujours pas à l’image du potentiel des artistes féminines mais elles sont bien là, les jeunes talents côtoyant les artistes confirmées (Angèle, Clara Luciani, Juliette Armanet, Pomme, Ronisia, Amel Bent, Hoshi, Zaz, Mylène Farmer, Adèle, Beyonce, Billie Eilish, Taylor Swift, Doja Cat, Aya Nakamura, Camelia Cabello, Ava Max, Dua Lipa, Rosalia, Imen es etc.)

3 artistes féminines figurent parmi les 20 meilleures ventes: Angèle avec Nonante cinq, Clara Luciani avec Cœur et Mylène Farmer avec L’emprise. 

Les répertoires

Les musiques urbaines dans toute leur diversité se taillent encore la part du lion dans le classement annuel. Pour ne citer que le TOP 20 :  Orelsan, Ninho, Gazo, Lomepal, Vald, Tiakola, Jul (avec 2 projets), Niska, Bigflo & Oli, Tayc et PLK s’imposent en tête des meilleurs scores de l’année.

Pour autant, la chanson et la pop, avec les jeunes talents comme avec les artistes consacrés rencontrent également un franc succès : Stromae, Angèle, Clara Luciani, Mylène Farmer, Vianney, Grand corps malade, Indochine, Renaud, Juliette Armanet, Patrick Bruel, Julien Doré, Keen V, Ben Mazué ou Michel Polnareff ont été parmi bien d’autres, au rendez-vous.

Enfin, les productions françaises dominent aussi dans le classement des meilleures ventes pour les répertoires classique et Jazz avec en tête du premier, Sofiane Pamart – également en 2° position – Gautier Capuçon à la 3° place, tandis que les albums de Melody Gardot & P. Baden Powell, de Gregory Porter ou d’Ibrahim Maalouf tiennent la tête du second.

 

Radio Nova & Les Inrockuptibles présentent une série de podcasts en cinq épisodes originaux, conçue et imaginée par Isadora Dartial de Radio Nova et Franck Vergeade des Inrockuptibles pour le SNEP, à l’occasion des « 100 ans de la musique enregistrée » :  Partez à la rencontre de celles et ceux qui permettent à la magie d’opérer et aux disques d’être conçus, produits et écoutés. Vous croiserez des directeurs de labels (Pauline Duarte et Marc Lumbroso), des ingénieurs du son (Dominique Blanc-Francard & Bénédicte Schmitt), des musiciens de studio (Édith Fambuena & Slim Pezin), des arrangeurs et compositeurs (Bertrand Burgalat & Gabriel Yared) et bien sûr des artistes (Alain Chamfort & La Grande Sophie)

Avec la complicité de Radio Nova et des Inrocks, découvrez le 5ème et dernier épisode, sur les artistes, avec La Grande Sophie et Alain Chamfort dès aujourd’hui : écouter ici  

Ne manquez pas l’exposition « En avant la musique : du phonographe au numérique » qui a pris ses quartiers au musée en herbe à Paris !

Et pour écouter une sélection de 100 ans de musique enregistrée proposée par  What the France : c’est ici  une playlist exclusive regroupant une sélection de 100 succès emblématiques de la production musicale française produits entre 1922 et 2022.

100 ans de musique enregistrée : un partenariat CNM et Crédit Mutuel