Dans le cadre de l’appel d’offres portant sur le renouvellement du contrat de fourniture des classements et indicateurs officiels en Radio, TV et Clubs, les producteurs membres du SNEP ont choisi le projet porté par YACAST.

L’offre YACAST a notamment été retenue en raison de leur intérêt pour Muzicast V2, la nouvelle interface de consultation des résultats, entièrement interactive et personnalisable au besoin de chaque utilisateur.

Cette application permet en un clic de croiser sur un même tableau l’ensemble des données promotionnelles et marketing d’un artiste. Il s’agit d’un progrès significatif en termes d’usage. Les utilisateurs au sein d’un label vont désormais pouvoir réunir sur un même écran l’ensemble des informations stratégiques sur un projet.

« Le  Snep  se  félicite  du  nouvel  accord  conclu  avec  Yacast,  qui  permettra  aux  producteurs d’agréger  des  informations  cruciales  pour  le  développement  des  projets  artistiques.  A travers innovants  indispensables  pour  ses  membres  »,  indique David El Sayegh, Directeur Général du SNEP.

« Il  s’agit  d’une  victoire  importante  pour  Yacast.  Le  renouvellement  de  nos  accords  avec  le SNEP vient confirmer notre leadership dans le domaine des études musicales et conforte nos orientations un  signe  d’encouragement  supplémentaire  à  poursuivre  nos  investissements  à  destination des producteurs de musique», indique Ali Mouhoub, Directeur Général adjoint de YACAST.

Par ailleurs, YACAST et le SNEP annoncent la mise en ligne début juillet du service Muzicenter la plateforme d’envoi dématérialisé des nouveautés à destination des médias. Cette nouvelle interface permettra aux programmateurs radio et aux journalistes, la consultation et le téléchargement de singles et d’albums promotionnels. S’agissant des vidéoclips, le service est d’ores-et-déjà opérationnel et permet à travers un partenariat avec IMD l’envoi de masters en qualité broadcast à destination des chaînes de télévisions musicales.


A propos de Yacast
Yacast est un institut d’étude spécialisé dans la veille des médias. La société compte plus de 120 salariés dont une vingtaine d’ingénieurs Recherche & Développement, entièrement dédiés aux besoins de l’entreprise et de ses clients. En termes de périmètre d’activité, Yacast couvre l’ensemble de l’offre de programmes en média : Musique, Publicité, Sponsoring, Habillage d’antenne, Pige Editoriale sur tous supports de diffusion : Radio, TV, Discothèques, Internet, Presse, Affichage, Cinéma.

 

Pour tout renseignement complémentaire :

SNEP
Patricia SARRANT

Directrice

Email : patricia.sarrant@snepmusique.com
Tel : 01 47 38 04 04

YACAST
Ali MOUHOUB

Directeur

Email : ali.mouhoub@yacast.fr
Tel : 01 56 28 59 00

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L’association Tous Pour La Musique (TPLM) et l’Education Nationale, mettent  en place le site internet Musique Prim, outil pédagogique novateur à destination de l’école primaire.

 

Ce partenariat entre l’école et la filière musicale donne aux professeurs des écoles un accès privilégié à une centaine d’œuvres et des ressources audiovisuelles pour accompagner l’enseignement des programmes « éducation musicale ».

Au programme :

 La possibilité pour les enseignants de télécharger pour une écoute en classe, 90 œuvres musicales représentatives de toutes les époques de l’Histoire de la musique, à découvrir dans les rubriques « Se construire une culture musicale » et « La chanson dans tous ses états » ;

 La mise à disposition de fiches pédagogiques pouvant être illustrées de partitions, réalisées par le CNDP (Centre national de documentation pédagogique) ;

La mise en avant de la diversité des catalogues et des services de musique accessibles sur Internet grâce au lien présent sur chaque fiche pédagogique vers l’ensemble des offres légales disponibles en France ;

 Des ressources pour expliquer aux enfants la valeur de la création et leur faire découvrir les métiers de la musique (kit de vidéos/interviews sur les métiers, la chaîne de création – production – diffusion, film « Les mille et un métiers de la musique »).

UN PLUS : Le double CD Chansons Prim, répertoire pour l’école primaire

Chansons Prim est un double CD distribué gratuitement dans toutes les écoles de France qui rassemble 30 titres de styles variés destinés aux élèves de maternelle et de l’élémentaire. Les titres sont proposés dans leurs versions chantée et instrumentale avec les partitions, pour aider les enseignants dans le travail du chant avec les élèves.

L’ensemble de ce matériel est également disponible sur le site Musique Prim.

Lancement officiel du site MUSIQUE PRIM : MARDI 3 AVRIL 2012 à 17h30

Maison de Radio France – Studio 106
(Entrée Porte C – Face au 9 bis rue des Boulainvilliers – 75016 Paris –  Sur invitation)

En présence d’une classe de CM1 du 15e arrondissement de Paris
Avec le soutien de Radio France

 

Tous Pour La Musique (TPLM)

La filière musicale regroupée au sein de l’association Tous Pour La Musique s’est fédérée en 2009, afin de travailler à la mise en valeur des métiers de la musique et promouvoir la création musicale dans toute sa diversité.

Les initiatives pédagogiques de TPLM s’adressent tout particulièrement au jeune public, qu’il s’agisse de la promotion des nouveaux usages légaux de la musique numérique, ou de la diversité des métiers qui composent cette filière.

 

Contacts TPLM

 Patricia Sarrant –  01 47 38 04 04 – 06 46 39 40 31 / patricia.sarrant@snepmusique.com

 Presse/Elisabeth Anselin – 01 47 15 45 32 – 06 07 35 67 91 / Cécile Waechter – 01 47 15 45 35

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Retrouver les vidéos de la rencontre organisée par l’association « Tous pour la musique » autour de l’avenir de la musique entre la filière musicale et les politiques – 

Avec la participation de Représentants des partis politiques :

  • Christophe Girard (PS)
  • Jean-Michel Gremillet (FG)
  • Franck Riester (UMP)
  • Corinne Rufet (EELV)

Les trois tables rondes animées par Bertrand Dicale, journaliste, qui ont eu lieu le Mercredi 11 avril à 9h30 à l’Alhambra, étaient articulées autour des thèmes :

La musique dans les médias : comment favoriser la diversité musicale ?

Le développement de l’offre légale de musique : comment assurer la protection des droits et la rémunération de la création dans un monde dématérialisé ?

CNM : un outil d’aide à la création et à la production musicales

Filière musicale :
Etaient présents : Cathy Bitton (Manager), Stéphan Bourdoiseau (Producteur de musique), Alain Chamfort, (Auteur, compositeur, interprète), Daniel Colling (Entrepreneur de spectacles), Vincent Frèrebeau (Producteur de musique), Jules Frutos, (Entrepreneur de spectacles), Michel Joubert (Artiste interprète), Denis Ladegaillerie (Distributeur digital, producteur ), Bruno Lion (Editeur), Pascal Nègre (Producteur de musique), Laurent Petitgirard (Compositeur, Chef d’Orchestre), Marc Thonon (Producteur de musique), Jean-Luc  Treutenaere (Distributeur détaillant).

Clôture par Catherine Morin-Desailly, Présidente du Groupe d’Etudes Médias et Nouvelles Technologies du Sénat.


Pour mémoire, TPLM rassemble toute la filière musicale :
Les membres qui la composent sont : ADAMI, CSDEM, MMFF, PRODISS, SACEM, SCPP, SDLC, SFA, SNAC, SNAM, SNEP, SPPF, UNAC, UPFI, BUREAU EXPORT, CNV, FCM, FRANCOPHONIE DIFFUSION,IRMA.
L’association fédère les professions de la musique : auteurs, compositeurs, artistes interprètes et musiciens, éditeurs, producteurs, managers, entrepreneurs de spectacles, disquaires et diffuseurs, afin de promouvoir la création musicale en France dans toute sa diversité, en particulier les nouveaux talents.

Contacts :
 Presse/Elisabeth Anselin – 01 47 15 45 32 – 06 07 35 67 91 / elisabeth.anselin@sacem.fr
 Patricia SARRANT – 01 47 38 04 04 – 06 46 39 40 31 / 
patricia.sarrant@snepmusique.com

 

Les producteurs de musique saluent la création de l’association de préfiguration du CNM qui témoigne de la mise en œuvre d’un outil vital pour l’avenir de la production musicale en France.


La mise en place de ce dispositif de soutien à la production française est en effet la condition indispensable au maintien d’une production locale, riche et diversifiée, dans un univers en pleine mutation technologique et économique.

Les producteurs du SNEP, qui participent activement depuis plusieurs mois à la concertation organisée entre les pouvoirs publics et l’ensemble des acteurs de la filière musicale, n’ont cessé de faire valoir l’urgence d’instaurer un dispositif constituant un véritable « new deal » destiné à dynamiser la production locale sous peine sinon de la voir se réduire comme une peau de chagrin.

La création d’un établissement public destiné à soutenir le financement de la production locale répond à ce besoin d’accompagnement de tout l’écosystème musical en France.


Contact : David El Sayegh, Directeur Général
Tél : 01 47 38 04 04

Après plusieurs années de procédure, la SPEDIDAM a été déboutée de l’ensemble de ses demandes par la Cour d’appel de Paris dans six contentieux l’opposant aux plateformes de téléchargement et aux producteurs de phonogrammes.
La SPEDIDAM avait assigné en 2006 les six principales plateformes de téléchargement au motif d’une prétendue violation des droits des artistes-interprètes.
En réalité, la SPEDIDAM entendait par ces actions entraver le développement de l’offre légale pour tenter d’imposer la licence globale alors débattue par le Parlement. Elle est en outre condamnée à verser aux plateformes et aux producteurs plus de 550 000 euros au titre des frais de procédure.
Le SNEP et les producteurs se félicitent de ces décisions qui viennent consacrer la validité de l’offre légale de musique et celle des contrats d’autorisation conclus entre producteurs et artistes musiciens, ainsi qu’entre producteurs et plateformes.
La décision rappelle également qu’on ne saurait confondre l’intérêt de la SPEDIDAM et celui des artistes que cette société de gestion collective prétend défendre.
Ces jugements balaient d’un revers de la main toutes les contre-vérités et pétitions de principe entretenues par certains, dont la SPEDIDAM, au sujet de l’absence de rémunération des artistes interprètes sur Internet.
A cette occasion, le SNEP réaffirme que la rémunération des artistes reste une préoccupation majeure pour les producteurs, comme en témoigne la mise en place de la convention collective de l’édition phonographique négociée avec les syndicats d’artistes.
En 2011, les artistes interprètes ont reçu de leurs producteurs plus de 15 millions d’euros au titre de l’exploitation de leurs droits sur Internet.
  

Contact : David El Sayegh, Directeur Général
Tél : 01 47 38 04 04

La SCPP se réjouit de la décision du Conseil constitutionnel  rendue ce jour qui valide la loi du 20 décembre 2011 sur la copie privée.

En effet, le Conseil  constitutionnel a jugé ce que l’article 6-1 de la loi du 20 décembre 2011, qui poursuit un but d’intérêt général suffisant et a une portée strictement définie, est conforme à la constitution.

Cette décision a été rendue suite à une saisine des représentants des industriels (SIMAVELEC, Syndicat de l’industrie des technologies de l’information, Nokia France, Motorola Mobility France, Sony Mobile Communications, Acer Computer France) qui tentaient une nouvelle fois de remettre en cause la loi qui fixe le régime de la copie privée et la rémunération due à ce titre aux représentants des ayants-droits (auteurs, producteurs et artistes-interprètes).

Compte-tenu de cette décision, la SCPP souligne qu’il serait tout à fait anormal que les redevables de la rémunération pour copie privée, qui auraient suspendu leurs paiements, ne régularisent pas très rapidement leur situation en acquittant les rémunérations dues aux ayants-droit auprès de Copie France, en charge de la perception de ces paiements.


La SCPP, société civile des producteurs phonographiques, est une société de perception  et  de  répartition des rémunérations perçues pour le compte de ses  membres  auprès  des utilisateurs de phonogrammes et de vidéomusiques.
Plus de 1500 producteurs sont actuellement membres de la SCPP qui réunit de nombreux  producteurs  indépendants  et  les sociétés internationales comme Sony  Music  France,  EMI,   Universal et Warner. Aussi, la SCPP défend les droits de ses membres, lutte contre la piraterie et aide la création musicale.

14, Boulevard du Général Leclerc
92527 Neuilly-sur-Seine Cedex
Tél : 01 41 43 03 03
www.scpp.fr

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La SCPP se réjouit de la décision du Conseil constitutionnel  rendue ce jour qui valide la loi du 20 décembre 2011 sur la copie privée.

En effet, le Conseil  constitutionnel a jugé ce que l’article 6-1 de la loi du 20 décembre 2011, qui poursuit un but d’intérêt général suffisant et a une portée strictement définie, est conforme à la constitution.

Cette décision a été rendue suite à une saisine des représentants des industriels (SIMAVELEC, Syndicat de l’industrie des technologies de l’information, Nokia France, Motorola Mobility France, Sony Mobile Communications, Acer Computer France) qui tentaient une nouvelle fois de remettre en cause la loi qui fixe le régime de la copie privée et la rémunération due à ce titre aux représentants des ayants-droits (auteurs, producteurs et artistes-interprètes).

Compte-tenu de cette décision, la SCPP souligne qu’il serait tout à fait anormal que les redevables de la rémunération pour copie privée, qui auraient suspendu leurs paiements, ne régularisent pas très rapidement leur situation en acquittant les rémunérations dues aux ayants-droit auprès de Copie France, en charge de la perception de ces paiements.


La SCPP, société civile des producteurs phonographiques, est une société de perception  et  de  répartition des rémunérations perçues pour le compte de ses  membres  auprès  des utilisateurs de phonogrammes et de vidéomusiques.
Plus de 1500 producteurs sont actuellement membres de la SCPP qui réunit de nombreux  producteurs  indépendants  et  les sociétés internationales comme Sony  Music  France,  EMI,   Universal et Warner. Aussi, la SCPP défend les droits de ses membres, lutte contre la piraterie et aide la création musicale.

14, Boulevard du Général Leclerc
92527 Neuilly-sur-Seine Cedex
Tél : 01 41 43 03 03
www.scpp.fr

A la suite de l’adoption par le Parlement d’une mesure visant à réduire le taux de TVA applicable au livre numérique, les producteurs de musique membres du Snep et de l’Upfi tiennent à réagir.
S’ils se félicitent de la mise en œuvre d’un taux réduit de TVA pour les achats de livres en ligne, ils déplorent que ce dispositif, qui selon M. Barouin, « s’inscrit pleinement dans la politique de défense d’une certaine exception française en matière culturelle », se limite au seul livre et ne prenne pas en compte la distribution de musique sur Internet.

La persistance d’une distorsion de taux de TVA en France selon la nature des biens culturels est profondément injuste et dommageable à la croissance du marché de la musique digitale : le livre, le cinéma, la télévision payante et le spectacle vivant bénéficient de taux de TVA réduits, alors que la musique (physique ou numérique) reste cantonnée au taux le plus élévé (19,6%).
A cette distorsion de TVA entre biens culturels, s’ajoute une autre distorsion entre les différents pays y compris au sein de l’Union Européenne.
A titre d’illustration, les plateformes américaines bénéficient d’un moratoire sur la TVA fédérale, instauré par l’administration Clinton en février 1998, qui signifie que l’Etat américain a renoncé à percevoir une taxe sur la vente dématérialisée de biens culturels sur Internet.
Par ailleurs, pour ce qui concerne l’Europe, ces mêmes acteurs ont choisi de s’implanter au Luxembourg où le taux de TVA est sensiblement inférieur à celui pratiqué en France.
Ces distorsions font du taux de TVA pratiqué en France une discrimination majeure pour les plateformes situées sur notre territoire.
Afin de créer les conditions d’un marché pérenne de la musique numérique pour l’ensemble des acteurs français, qu’ils soient producteurs ou plateformes de distribution, il est urgent que les pouvoirs publics étudient la mise en œuvre d’un taux de TVA réduit appliqué à la distribution de musique sur Internet.
L’application d’une telle mesure permettrait de rendre les plateformes françaises plus compétitives face à leurs homologues américains et créer ainsi le socle d’une véritable diversité culturelle en matière de distribution de musique sur Internet.
Les producteurs de musique membres du Snep et de l’Upfi sollicitent le Gouvernement pour que cesse la discrimination fiscale que subit la filière musicale (producteurs et plateformes).

CONTACTS :
 SNEP : David El Sayegh / 01 44 13 66 66
 UPFI : Jérôme Roger   / 01 53 77 66 40
Les producteurs de musique membres du Snep sont heureux de s’associer au lancement du dispositif de la Carte Musique à destination du jeune public (12-25 ans). Cette opération, issue du rapport Création & Internet, très attendue par la filière musicale, est un encouragement  à la découverte des offres légales de musique en ligne disponibles en France, qui sont aujourd’hui multiples, simples d’utilisation et proposent une grande diversité de répertoires (8 millions de titres).
Les producteurs se sont engagés aux cotés des éditeurs de services en ligne pour proposer des offres spécifiques aux bénéficiaires de la Carte Musique afin de la rendre encore plus attractive, et vont relayer ce dispositif à travers les campagnes  publicitaires de leurs artistes à la télévision, pour en accroitre la visibilité. Ils contribueront ainsi  avec les plateformes à hauteur de 20% à l’ensemble de l’opération .
L’enjeu est essentiel : donner aux jeunes l’envie d’utiliser à des tarifs très accessibles les services légaux proposant une grande diversité d’offres , qu’il s’agisse de téléchargement, d’abonnement , de streaming, et de les inciter à délaisser les usages illicites.

Contact :
 David El Sayegh : 01 44 13 66 66