Overall music sales in Sweden in 2012 showed an increase of 14 percent, from just over SEK 829 million in sales in 2011 to over SEK 943 million in 2012, according to the Swedish Recording Industry Association (GLF).
Digital sales continue to increase and now account for 63 percent of total music sales, up by 12 percentage points compared to last year. A total of 90 percent of the digital sales come from streamed music services (82 percent in 2011) while 10 percent are from other internet services (18 percent in 2011). Continue reading « IFPI SUEDE : +14% pour le marché de la musique enregistrée en 2012 »
Catégorie : Communiqués & dossiers de presse
Les perceptions, les répartitions, les aides pour l’année 2012 et les priorités de la SCPP présentées à la mission Lescure: http://bit.ly/13HsKPP Continue reading « Chiffres clés 2012 et priorités 2013 de la SCPP »

CEMF Chambre syndicale des Editeurs de Musique de France |
CSDEM Chambre Syndicale De l’Edition Musicale |
PRODISS Syndicat national des Producteurs, Diffuseurs et Salles de spectacles |
SACEM Société des Auteurs Compositeurs et Editeurs de Musique |
SCPP Société Civile des Producteurs de Spectacles |
SNAC Syndicat National des Auteurs et Compositeurs |
SNEP
Syndicat National de l’Edition Phonographique
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SPPF Société des Producteurs de Phonogrammes en France |
UNAC Union Nationale des Auteurs et Compositeurs |
UPFI
Union des Producteurs Phonographiques Indépendants
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Les producteurs du Snep demandent au CSA de protéger la diversité musicale à la radio en préservant la spécificité de SKYROCK |
Les producteurs manifestent depuis plusieurs jours leur vive inquiétude suite au changement annoncé à la direction à Skyrock. Indépendamment des questions d’actionnariat, l’enjeu pour la filière musicale est clairement celui de la diversité musicale à la radio : les producteurs tiennent à réaffirmer leur attachement à la pérennité d’un format très spécifique et précieux pour la diffusion d’un répertoire rarement exposé ailleurs.
Jusqu’à présent, Skyrock a mené une véritable politique éditoriale en exposant des genres musicaux, le rap français et les musiques urbaines, alors que ceux-ci sont bannis de la plupart des ondes.
Priver les musiques urbaines de cette fenêtre d’exposition serait catastrophique.
Les producteurs interpellent donc le CSA pour savoir quelles seront les mesures prises pour préserver la diversité musicale sur les ondes à laquelle Skyrock contribue activement depuis 15 ans.
Il est fondamental aux yeux des producteurs que, à l’instar des pratiques ayant cours en Grand Bretagne, un style musical précis soit inscrit dans le cahier des charges des radios musicales lors de l’attribution des fréquences par le CSA.
Plus que jamais l’exposition de la musique française à la radio, dans toute sa diversité, constitue un enjeu majeur pour la filière musicale.
à œuvrer, à l’échelle européenne, en faveur de l’instauration d’un taux de TVA réduit pour les services de musique en ligne,
à accompagner les producteurs dans cette période de transition vers l’économie numérique par l’adaptation et la véritable mise en œuvre du crédit d’impôt en faveur de la production phonographique.


Les priorités des producteurs phonographiques au 1er semestre 2006 |
Assurer un environnement favorable au développement du marché numérique de la musique : application de la loi Dadvsi, actions de sensibilisation, implantation du nouvel outil Easyrights,
Conclure la convention collective de l’édition phonographique.
Définir la plate forme de propositions en faveur de la production musicale pour les élections de 2007 : droits, médias, nouvelles technologies…
Mettre en place le crédit d’impôt en faveur des entreprises phonographiques et optimiser la sécurité économique des entreprises.

BILAN ECONOMIQUE DU 1er SEMESTRE 2006 Les faits marquants |

Les ventes numériques représentent 5 % du marché avec 20 millions d’euros en progression de 79 %.
le chiffre d’affaires des singles baisse de 8.7 %,
le chiffre d’affaires des albums baisse de 9.4 %,
le chiffre d’affaires des vidéos musicales baisse de 25.5 %,
le répertoire classique progresse de 5 %, le répertoire francophone régresse de 13 % et le répertoire international de 11 %,
le poids du répertoire francophone au sein des disques de variété reste stable à 65 %.
Au sein des ventes numériques :
Le chiffre d’affaires numérique représente 20 millions d’euros, 36 % proviennent du téléchargement (contre 14 % au premier semestre 2004) et 64 % proviennent des revenus de la téléphonie mobile (contre 86 % au premier semestre 2004).
le chiffre d’affaires du téléchargement est multiplié par 1.9,
le chiffre d’affaires de la téléphonie mobile progresse de 73 %.
Le nombre de titres téléchargés sur les plateformes de téléchargement légal a doublé par rapport au premier semestre 2005 passant de 6.6 à 13.3 millions de titres,
40 % des titres achetés sont téléchargés (contre 25 % au premier semestre 2005).
La part des ventes physiques de singles dans la consommation de titres musicaux perd donc 15 points passant de 75 % à 60 % à une année d’intervalle.
12 millions de sonneries téléphoniques ont été achetées (contre environ 6.5 millions au premier semestre 2005),
A deux années d’intervalle, le marché du numérique a été multiplié par 3.5 et la progression des ventes en téléchargement (x par 8.7) a été trois fois plus importante que celles des revenus de la téléphonie mobile (x par 2.6).
Le marché de gros de la musique enregistrée représente ainsi 373 millions d’euros contre 409 millions au premier semestre 2005 (-8.8 %).
Au sein des ventes physiques :

Le marché de détail des albums continue de se déconcentrer : si globalement, les ventes d’albums en magasins baissent de 21 %, le volume des 200 meilleures ventes d’albums du semestre chute de 32 %.
Ainsi la part du TOP albums (200) ne cesse de se réduite passant de 45.7 % au premier semestre 2003 à 32 % au premier semestre 2006. Les sorties commerciales d’albums francophones restent stables alors que les sorties d’albums internationaux chutent de 36 %.La part des artistes francophones dans la commercialisation d’albums a gagné 13 points en cinq ans passant de 19 % en 2001 à 32 % en 2006. Le solde des nouvelles signatures d’artistes poursuit sa reprise après la chute de 2003 et 2004 : 34 nouveaux artistes francophones signés au premier semestre 2006 contre 24 en 2005 mais 68 en 2002.Dans le domaine de la diffusion musicale en radio, le nombre d’entrées en play list est en baisse pour la troisième année consécutive : 1 388 titres sont entrés en play list au cours de ce semestre soit 9 % de moins qu’en 2003. Ce sont les titres francophones qui ont souffert de ce resserrement. Aujourd’hui, 2 % des titres totalisent 65 % des diffusions.

Bilan économique du 1er semestre 2006 |

Bilan économique du 1er trimestre 2006 |

A la librairie de l’IRMA – 20 rue Soleillet –
75020 PARIS
Tél : 01 43 15 11 19
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