EUROPEAN COMMISSION COPYRIGHT PROPOSAL IS A GOOD FIRST STEP

 London, 14th September 2016 – The European Commission today adopted its proposal to address copyright in the Digital Single Market. IFPI welcomes this initiative, which attempts to address the “value gap”, the most important issue facing the music sector in  Europe and worldwide.

The “value gap” is the massive mismatch between the growing consumption of music worldwide and the disproportionately small revenues that are returned to rights holders.  It is caused by a market distortion allowing some major digital services to circumvent the normal rules of music licensing. This denies musicians, artists, composers and investors fair compensation for their work; lowers investment in and diversity of new music; and skews competition among digital services.

IFPI sees today’s proposal as a good first step in the process. Notably, the proposal confirms that user uploaded content services that promote and monetise music should be covered by the same copyright rules as other on-demand services.

Commenting on the proposal, IFPI Chief Executive, Frances Moore said: “The music industry has transformed itself in recent years, licensing hundreds of services, widening choices for consumers and investing in new, creative ways to bring artists to a global audience.  But to achieve sustainable growth, the music sector needs a level playing field. This means creating an environment where copyright rules are correctly applied so that creators and producers can be confident to invest and license.  It also means allowing digital services to compete on fair terms and enabling consumers to enjoy access to diverse sources of licensed music.

“Today’s proposal is a good first step towards creating a better and fairer licensing environment in Europe. Importantly, it confirms that user uploaded content services such as YouTube, which are the largest source of on-demand music, should not be able to operate outside normal licensing rules.  However, there is a lot more to do to make this a workable proposal. We look forward to working on this in the coming months with the Parliament and Member States.”

For further information please contact

Adrian Strain or John Blewett, IFPI – 

Tel.  +44 (0)20 7878 7935

adrian.strain@ifpi.org john.blewett@ifpi.org

 Notes to editors:

About IFPI

IFPI is the organisation that promotes the interests of the international recording industry worldwide. Its membership comprises some 1,300 major and independent companies in 60 countries. It also has affiliated industry national groups in 57 countries.  IFPI’s mission is to promote the value of recorded music, campaign for the rights of record producers and expand the commercial uses of recorded music in all markets where its members operate.

L’IFPI présente aujourd’hui une nouvelle étude réalisée par Ipsos qui donne un coup de projecteur sur les nouveaux modes de consommation de la musique dans le monde et les tendances qui se dessinent. Cette enquête a été menée dans 13 marchés majeurs de la musique enregistrée auprès d’internautes âgés de 13 à 64 ans, offrant ainsi une perspective unique sur l’engagement du public pour la musique.

La Musique a un impact considérable dans nos pays et nos cultures. L’enquête montre que 7 internautes sur 10 dans le monde, âgés de 16 à 64 ans  consomment de la musique légalement : ils achètent des CDs et des vinyles, des fichiers numériques, ils utilisent des services de streaming, regardent des vidéos musicales. En fait, près de la moitié des internautes (48%) ont payé pour la musique qu’ils consomment, d’une manière ou d’une autre.

Le streaming fait son entrée dans les certifications

Après l’inclusion du streaming dans les classements des meilleures ventes d’albums en juillet dernier, c’est au tour des disques d’or, de platine et de diamant d’intégrer les performances en streaming  des titres et des albums.

Les certifications décernées pour les enregistrements commercialisés  depuis le 1er janvier 2016 intègrent le streaming et sont donc le juste reflet du succès   des titres et des albums.

Pour les singles : streaming + téléchargements

Les téléchargements d’un titre sont convertis en équivalent streams (sur la base de 1 téléchargement = 150 streams) et sont ensuite ajoutés aux volumes de streaming de ce titre.

Le classement s’opère sur la base décroissante des volumes calculés.

Pour les albums : streaming + téléchargements + physique

Les écoutes en streaming sont converties en équivalent-ventes et ajoutées aux ventes physiques (CD & Vinyles) et aux ventes en téléchargement.

Méthode de conversion streaming/ ventes d’album : On additionne les volumes d’écoutes en streaming de tous les titres d’un album – le titre le plus écouté est divisé par 2- et on divise ces volumes par 1000 pour obtenir l’équivalent-ventes.

Tous les albums et singles  commercialisés depuis le 1er janvier 2016 ayant atteint les seuils habituels  sont disponibles sur www.snepmusique.com

Par ailleurs, les certifications seront désormais décernées à partir des ventes détail, comptabilisées et publiées par GFK chaque semaine

Les seuils de ventes des certifications SNEP
Les seuils de ventes des certifications SNEP

 

 

Twitter : @SNEP / Tags : #snep –  #musique – #numérique

A l’occasion de l’Assemblée Générale annuelle du SNEP qui s’est tenue ce jeudi 23 juin, Stéphane Le Tavernier, Président de Sony Music Entertainment France, a été réélu à l’unanimité Président du Syndicat pour un mandat de deux ans. Par ailleurs, Bertrand Burgalat a également été réélu Vice-Président pour un mandat d’un an, au terme duquel Mehdi El Jaï lui succèdera jusqu’en 2018.

Le Conseil Syndical du SNEP, renouvelé pour 2 ans également est composé de :

  • Bertrand Burgalat                     Tricatel
  • Thierry Chassagne                    Warner Music
  • Rodolphe Dardalhon               Roy Music
  • Mehdi El Jaï                                 Verycords
  • Stéphane Le Tavernier             Sony Music
  • Olivier Nusse                              Universal Music

Les producteurs de musique membres du SNEP affichent une détermination sans faille à construire un environnement favorisant le développement des carrières des artistes qu’ils accompagnent. La nécessaire correction du transfert de valeur qui s’opère au bénéfice de certaines plateformes, la concrétisation des accords Schwartz, la présence et la diversité des artistes dans les médias traditionnels et la poursuite d’une lutte efficace contre les contenus illicites sur Internet, sont autant d’enjeux qui mobilisent toute leur attention.

Stéphane Le Tavernier déclare : « Nous sommes encore dans une période de transition, mais le développement rapide du streaming et de l’abonnement nous ouvrent des perspectives très encourageantes. A l’aube de ce troisième mandat en tant que Président du SNEP, je me réjouis  de voir tous les producteurs de notre syndicat, majors et indépendants, mobilisés pour bâtir ensemble les conditions d’une production musicale dynamique  et performante. Cette diversité est une chance pour notre syndicat et l’évolution pérenne de notre métier de producteur ».

Contact : Guillaume LEBLANC – 01 47 38 04 04

Le SNEP présente la première vague du Baromètre MusicUsages, un nouveau tableau de bord réalisé en partenariat avec GFK pour observer l’évolution de la consommation de la musique en ligne.

Le focus de cette première édition est consacré aux usages et attitudes des français consommateurs de musique en streaming, audio et vidéo, gratuit et payant.

Un panel de 2 017 consommateurs français de musique de 15 ans et plus pratiquant le streaming a été interrogé en avril/mai 2016.

Un nouveau TOP Albums en phase avec la consommation

À compter de cette semaine, le classement des meilleures ventes d’albums réalisé par GFK intègre les écoutes en streaming des titres des albums, les ventes physiques (CDs, Vinyles) et les ventes par téléchargements.

Les écoutes en streaming sont converties en « équivalent ventes » qui sont ensuite ajoutés aux ventes physiques et en téléchargement.

Les albums streamés sont convertis en  » équivalents ventes  » sur la base suivante :

Somme de tous les streams des titres de l’album (Abonnement et freemium confondus)

– Retrait de 50% des volumes du titre de l’album le plus streamé

– Division du résultat par 1 000 → Obtention du nombre d’équivalent-album

– Rajout du nombre d’équivalent-albums obtenu aux ventes physiques et en téléchargement

Désormais, les certifications Albums délivrées par le SNEP tiendront également compte des écoutes en streaming.

Les résultats de l’année 2015 ont confirmé l’engouement des français pour l’usage du streaming. Le succès de ce nouveau mode de consommation de la musique qui permet d’accéder à plus de 30 millions de titres, de composer et de partager ses playlists, se traduit par une progression spectaculaire des écoutes : 17,7 milliards de streams pour l’année 2015, soit une hausse de 50% par rapport à l’année 2014.

Aujourd’hui, ce sont 500 millions de titres qui sont écoutés chaque semaine sur les plateformes de streaming audio. 

Le TOP streaming est le premier indicateur de cette évolution de la consommation de musique en ligne :

Ce classement des 200 meilleures écoutes hebdomadaires a cumulé 2,8 milliards de streams en  2015.

Les volumes du top 200 sont passés de 41 millions d’écoutes hebdomadaires pour la première semaine de janvier à 55 millions pour la dernière semaine de juin, et à 88 millions pour la dernière semaine de décembre.     

TOP 10 des titres en streaming

24 titres ont généré plus de 20 millions de streams  en 2015 et 100 titres ont dépassé les 10 millions de streams.

Lean on (Major Lazer feat DJ Snake &No), prend la tête de ce classement 2015 des titres les plus écoutés avec 54 millions d’écoutes.

 

10ers Top Global 2015

Google a la capacité et les ressources de faire beaucoup mieux pour réduire la quantité considérable de musique mise à disposition et accessible depuis ses plateformes sans autorisation des ayants-droit.

Le retour d’expérience des maisons de disques membres de l’IFPI atteste de l’inefficacité de son outil « Content ID », censé empêcher la présence de contenus illicites sur YouTube.

Les producteurs et les éditeurs estiment que 20 à 40% de leurs enregistrements échappent à l’identification par ce Content ID.

Quant au moteur de recherche de Google, il continue de diriger très largement ses utilisateurs vers des liens de musique illicite. Plus de 300 millions de notifications ont été adressées en ce sens à Google par les groupes nationaux de l’IFPI du monde entier. Pour autant, le volume du trafic vers les sites contrefaisants, à partir de requêtes spécifiques de musique faites sur Google est aujourd’hui plus élevé qu’il n’était, avant que celui-ci ne change son algorithme de recherche pour soi-disant répondre au problème de piraterie.

Google peut et doit faire plus et mieux  pour lutter contre ce préjudice et pour restituer un revenu équitable aux ayants-droit.

Economie de la Production Musicale – Edition 2016

L’édition 2016 de « l’économie de la production musicale » est disponible !

Découvrez la  synthèse des chiffres du marché de la musique enregistrée, en France et dans le monde, enrichie des données inédites sur la consommation et la distribution de musique physique et numérique, les meilleures ventes, les meilleures diffusions, les certifications.

1ere de couv Guide Eco 2016

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L’Economie de la Production Musicale – Edition 2016

Sommaire

Chapître 1 : Le marché français en 2015

Chapître 2 : La production francophone

Chapître 3 : Le marché mondial en 2015

Chapître 4 : La consommation de musique

Chapître 5 : Musique et médias

Chapître 6 : Les acteurs de la distribution de la musique

Chapître 7 : Les artistes qui ont marqué l’année 2015