titredossiers2007

LA LOI SUR LES DROITS D’AUTEUR
ET
DROITS VOISINS DANS LA SOCIETE
DE L’INFORMATION (DADVSI)
DU 1ER AOUT 2006

 

Le SNEP demande une application rapide et effective de la loi concernant tout particulièrement la question des DRM et de l’interopérabilité

L’adoption de décrets d’application est urgente :

puceorange  Concernant la mise en place effective de la nouvelle Autorité de régulation des mesures techniques, , pour favoriser l’interopérabilité prévue par la loi et permettre le jeu de l’exception pour copie privée dans le respect des conditions d’exploitation des enregistrements. Tout retard en ce domaine est préjudiciable aux ayants droit et risque de provoquer la plus grande confusion quant à l’avenir des modalités d’exploitation en ligne

Et aussi pour :

puceorange  Préciser le régime de sensibilisation et de responsabilisation contraventionnelle des abonnés à l’Internet au titre de la sécurisation contre les usages illicites  de leur accès au réseau,

puceorange et la mise en place de messages d’avertissement par les FAI à l’intention des internautes pour le respect de la propriété littéraire et artistique.


POUR EN SAVOIR PLUS SUR LA DADVSI

Le SNEP approuve les principales dispositions de la DADVSI 
 

flechesnep1  La licence globale a été rejetée avec succès.

flechesnep1 Les sanctions pénales contre le contournement des DRM ont été adoptées tout comme celles contre les éditeurs de logiciels manifestement destinés à l’échange illicites d’œuvres en « peer-to-peer » ; des mesures civiles larges sont venues compléter le dispositif pour permettre au juge d’ordonner à tout intermédiaire technique de prendre les mesures nécessaires en l’état de l’art pour respecter le droit d’auteur.

flechesnep1 Une responsabilité de l’abonné a été prévue en cas d’absence de sécurisation de son accès contre un usage illicite (typiquement : responsabilité des parents au titre de l’usage irrégulier par leurs enfants de leur abonnement à l’Internet).

Une circulaire du 3 janvier 2007 adressée par la Chancellerie aux parquets tient compte du degré de gravité des pratiques constatées pour appliquer des sanctions adaptées à chaque situation.

Par ailleurs :

flechesnep1 la copie privée a été maintenue sans que cela soit un droit pour le consommateur mais une exception dont le bénéfice est garanti par une nouvelle autorité administrative indépendante (l’Autorité de régulation des mesures techniques) dans le respect des conditions d’exploitation des œuvres;

flechesnep1 un mécanisme en faveur de l’interopérabilité des mesures techniques de protection des œuvresavec les appareils de lecture a été assurée par l’intervention de cette nouvelle autorité, sur saisine des professionnels concernés ; le logiciel libre pourra bénéficier de cette procédure pour autant que, conformément au droit européen, la protection des œuvres assurée par ces mesures techniques soit conservée ;

flechesnep1 la loi a prévu une obligation d’information sur les DRMs, d’une part, auprès des artistes et des auteurs dans les contrats qu’ils concluent avec les producteurs et, d’autre part, auprès des consommateurs.

Il faut aussi souligner l’apport de la décision du Conseil constitutionnel du 27 juillet 2006 confirmant la validité des orientations prises à l’origine affirmant sans ambiguïté que :

  Le droit d’auteur et les droits voisins font partie intégrante du droit de propriété, protégé comme tel par la Constitution ;

puceorange  il sanctionnera toute violation manifeste d’une directive européenne qu’une loi a pour objet de transposer.

Le Conseil a ainsi censuré la loi sur trois points, dans le sens d’une plus grande rigueur dans le respect de la propriété littéraire et artistique en supprimant :

puceorange l’exonération aux sanctions pénales pour contournement des DRM qui avait été prévue au titre de l’interopérabilité ; en effet, cette notion n’était pas définie ce qui annulait de fait les sanctions ;

puceorange l’exonération aux sanctions pénales contre les éditeurs de logiciels manifestement destinés à la contrefaçon, qui avait été prévue au bénéfice du « travail collaboratif » ce qui n’avait pas non plus été défini ;

puceorange la « contraventionnalisation » (régime d’amendes) des échanges illicites d’œuvres via le « peer-to-peer », au titre notamment de la rupture du principe d’égalité devant la loi, car rien ne justifie de moins punir certains actes (échanges entre particuliers) par rapport à d’autres actes de contrefaçon.

titredossiers2006

Le marché de la musique enregistrée 2006 (GROS, HT, net de remises)

 

Ventes éditeurs de CD/DVD musicaux (nettes de remises) et revenus numériques

10.7% en valeur dont :
12.4% pour les ventes physiques
+42% pour les ventes numériques

En 2006, le marché de gros de la musique enregistrée a représenté 862.7 millions d’euros, en baisse de 10.7 % par rapport à  2005.

3puces le marché physique à  819.2 millions d’euros est en baisse de 12.4% soit une perte de chiffre d’affaires de 116 millions d’euros,
3puces le marché numérique à  43.5 millions d’euros est en hausse de 42% soit un gain de chiffre d’affaires de 13 millions d’euros.

Au cours de ces 4 dernières années, le marché physique a perdu 37% de sa valeur soit 440 millions d’euros (862.7 millions en 2006 vs 1302 millions en 2002). Cette perte de chiffre d’affaires n’a été que très partiellement compensée par l’apparition des revenus numériques en (43 millions d’euros en 2006 vs 9 millions d’euros en 2004).

Le marché de la musique enregistrée a donc perdu 34% de sa valeur soit 440 millions d’euros depuis 2002. En 2006, les ventes numériques représentent 5% du chiffre d’affaires des éditeurs phonographiques contre 3% en 2005 et 1% en 2004.

Les ventes éditeurs de CD/DVD musicaux en 2006 (nettes de remises et retours)

 

En 2006, les ventes éditeurs de CD/DVD musicaux ont représenté 819.2 millions d’euros en baisse de 12.4 % par rapport à  2005;
Le marché de la musique enregistrée a donc perdu 34% de sa valeur soit 440 millions d’euros depuis 2002.
En 2006, les ventes numériques représentent 5% du chiffre d’affaires des éditeurs phonographiques contre 3% en 2005 et 1% en 2004.

Le marché du disque enregistre donc une nouvelle baisse pour la quatrième année consécutive : -13.6 % en 2003 et 2004, -3% en 2005 et -12.4 % en 2006.

Entre 2002 et 2006, le marché du disque sera passé de 1 302 millions d’euros à  819.2 millions soit une chute de 37 % en quatre ans et une perte cumulée de 483 millions d’euros.

Le marché audio chute de 9.8% dont -24% pour les singles et -8.6% pour les albums

  Le marché des singles est en baisse de 24%.

En 2006, le marché des singles a représenté 46.4 millions d’euros contre 61.3 millions en 2005 et 134 millions en 2002.

A quatre années d’intervalle, le marché des singles aura donc été divisé par 3, la perte cumulée de chiffre d’affaires représente 88 millions d’euros.

 

3puces  Le marché des albums est en baisse de 8.6%

En 2006, le marché des albums a représenté 701 millions d’euros contre 767 millions en 2005.

En 4 ans, le marché des albums a perdu 36% de sa valeur soit 395 millions d’euros.

 

Le marché des vidéomusicales chute de 31.5%.

Le marché des vidéomusicales, jusqu’à  présent épargné par la crise, chute cette année de faà§on très significative. Néanmoins, cette évolution ne tient pas compte des ventes de la vidéomusicale du « Roi Soleil » distribuée par TF1 Vidéo, non membre du SNEP. Le « Roi Soleil » étant la meilleure vente de vidéomusicale de l’année, cette baisse est donc en réalité un peu plus modérée.

 

Répertoires : les ventes du répertoire classique progressent de façon significative (+13.3%), le répertoire francophone résiste mieux que le répertoire international.

L’évolution 2006/2005 du marché (-12.4%) se répartit entre le répertoire classique +13.3%, le répertoire francophone -12% et le répertoire international -18%.

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Entre 2002 et 2006, le marché a perdu 37 % de sa valeur soit 446 millions d’euros. Cette perte de chiffre d’affaires est essentiellement imputable au répertoire variété : -490 millions d’euros dont :

variété francophone : -270 millions d’euros soit -35% de sa valeur
variété internationale : -221 millions d’euros soit -47% de sa valeur

Le répertoire classique est donc le seul répertoire en progression. A cet égard, une évolution importante doit àªtre relevée :
la société Abeille Musique, membre du SNEP, a été intégrée pour la première fois à  l’échantillon statistiques du SNEP,
Les ventes du répertoire classique connaissent structurellement depuis deux/trois ans, une meilleure situation que les autres répertoires. Ce dernier a été, en 2006, particulièrement dynamique en raison des succès populaires des coffrets Mozart et Bach distribués par Abeille Musique.

 

La part de marché du répertoire francophone au sein des ventes de disques de variété a donc progressé de plus de 4 points au cours des ces quatre dernières années passant de 62% en 2202 à  66.6% en 2006.

Les ventes numériques des éditeurs phonographiques

En 2006, les revenus numériques des éditeurs phonographiques ont représenté 43.5 millions d’euros, en progression de 42 % par rapport à  2005.

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Au sein des revenus numériques, la part du téléchargement progresse de 22 % en 2004 à  39 % en 2006 alors que celle de la téléphonie mobile passe de 78 % en 2004 à  61 % en 2006.

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*les données en volume ne sont  pas encore disponible
**Ce montant est légèrement inférieur au chiffre annoncé au Midem 2006. Ce dernier était une estimation, les chiffres définitifs n’étaient pas disponibles en janvier 2006. Figure donc ici le montant définitif 2005 soit 30.66 millions d’euros

A deux années d’intervalle :
3puces  les revenus du téléchargement ont été multiplié par 9 (x par 5 en 2005 puis par 1.8 en 2006),
3puces  les revenus de la téléphonie mobile ont été multipliés par 4 (x par 3 en 2005 puis par 1.2 en 2006).

 

titredossiers2006

LE MARCHE DE DETAIL DE LA MUSIQUE ENREGISTREE EN 2006

 

Ventes en magasins TTC et téléchargement légal sur internet hors mobile

11.2% en valeur dont :
11.8% pour les ventes en magasins
+44.6% pour les ventes en téléchargement

En 2006, le marché de détail de la musique enregistrée a représenté 1 310 millions d’euros en baisse de 11.2% par rapport à 2005.

Le marché de détail de la musique enregistrée en 2006 (valeur TTC)

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En volume (audio, hors vidéo), ce sont 70.6 millions d’albums et 28.8 millions de singles/titres qui ont été vendus.

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Le nombre d’albums vendus a donc chuté de 13 millions d’unités : la baisse des ventes d’albums en magasins (-13.4 millions d’unités) n’a pas été compensée par la hausse des ventes d’albums en téléchargement (+0.4 million d’unités).
Le nombre de singles vendus chute de 4.3 millions d’unités dont -7.4 millions pour les singles vendus en magasins et +3.1 millions pour les titres téléchargés.

En 2006 :
 2% des albums vendus sont téléchargés (1% en 2005)
 40% des titres vendus sont téléchargés (25% en 2005)

 

LES VENTES DE DISQUES ET VIDEOMUSIQUES EN MAGASINS :
11.8% en valeur et -20% en volume

Les données communiquées sont relevées par IFOP TITE LIVE à partir d’un échantillon d’environ 3 000 points de vente, représentatifs à la fois de la structure et de l’exhaustivité des ventes de détail en France (hors clubs, hors e-commerce).

 Evolution par support

En 2006, les ventes de disques et de vidéomusicales en magasins ont représenté 1 287 millions d’euros en baisse de 11.8% par rapport à 2005 et de 19.4% par rapport à 2004.
Cette baisse touche l’ensemble des supports : -30% pour les singles (-41% en deux ans), -11% pour les albums (-19% en deux ans), -6% pour les vidéomusicales (-8% en deux ans).

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 Evolution par canal de distribution

La baisse du marché (-19% en deux ans) s’est plus fortement ressentie dans les grandes surfaces alimentaires (le chiffre d’affaires a chuté de 25 % en deux ans) que dans les grandes surfaces spécialisées (le chiffre d’affaires a chuté de 14% en deux ans).

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 Evolution par genre musical

Avec 33.1% de part de marché, la variété francophone reste le genre musical le plus vendu. Viennent ensuite la variété internationale (23.4%) et les compilations/best of (22.8%). A noter la sensible progression du classique (5.8% contre 4% en 2001).

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 Evolution des meilleures ventes d’albums

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Entre 2003 et 2006
3pucesle marché des albums a perdu 19% de ses volumes
3puces le marché s’est déconcentré : les 200 meilleures ventes d’albums ont représenté 30% du marché en 2006 contre 33% en 2003.
3puces au sein des 200 meilleures ventes d’albums, les ventes des 10 premiers titres se sont maintenues : les ventes du TOP n’ont baissé que de 6% entre 2003 et 2006 quand le marché global a chuté de 19%.

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3puces Pour les titres/singles : le marché est plus concentré dans les magasins (le Top 20 représente 29% des ventes) que sur les plateformes de téléchargement (le Top 20 représente 6% des ventes).
3puces Pour les albums : la concentration des ventes est relativement homogène : le Top 20 représente 8% des ventes dans les magasins et 10% des ventes sur les plateformes de téléchargement.

LES VENTES DE TITRES ET D’ALBUMS EN TELECHARGEMENT
+45% en valeur et + 50.5% en volume

Information méthodologique :
Depuis juin 2005, IFOP / TITE LIVE collecte auprès des plateformes de téléchargement légal (I-tunes, E-compil, Virgin Méga, Fnacmusic, Starzik, Connect) les chiffres de vente de la musique en ligne.

En 2006, 28.8 millions de titres ont été achetés sur les plateformes de téléchargement légal dont 11 millions de titres à l’unité et 1.1 million d’albums téléchargés dans leur totalité. C’est 50 % de plus qu’en 2005.

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*équivalent de 15 titres pour un album.

En valeur, le marché TTC du téléchargement légal a représenté 22.7 millions d’euros soit une progression de 44.6 % par rapport à 2005.

Les priorités des producteurs phonographiques au 1er semestre 2006

Assurer un environnement favorable au développement du marché numérique de la musique : application de la loi Dadvsi, actions de sensibilisation, implantation du nouvel outil Easyrights,

Conclure la convention collective de l’édition phonographique.

Définir la plate forme de propositions en faveur de la production musicale pour les élections de 2007 : droits, médias, nouvelles technologies…

Mettre en place le crédit d’impôt en faveur des entreprises phonographiques et optimiser la sécurité économique des entreprises.

Les faits marquants du 1er semestre 2006

BILAN ECONOMIQUE DU 1er SEMESTRE 2006
Les faits marquants
Les ventes physiques représentent 95 % du marché avec 353 millions d’euros, en baisse de 11 %,
Les ventes numériques représentent 5 % du marché avec 20 millions d’euros en progression de 79 %.

le chiffre d’affaires des singles baisse de 8.7 %,
le chiffre d’affaires des albums baisse de 9.4 %,
le chiffre d’affaires des vidéos musicales baisse de 25.5 %,
le répertoire classique progresse de 5 %, le répertoire francophone régresse de 13 % et le répertoire international de 11 %,
le poids du répertoire francophone au sein des disques de variété reste stable à 65 %.

Au sein des ventes numériques :

Le chiffre d’affaires numérique représente 20 millions d’euros, 36 % proviennent du téléchargement (contre 14 % au premier semestre 2004) et 64 % proviennent des revenus de la téléphonie mobile (contre 86 % au premier semestre 2004).

le chiffre d’affaires du téléchargement est multiplié par 1.9,
le chiffre d’affaires de la téléphonie mobile progresse de 73 %.
Le nombre de titres téléchargés sur les plateformes de téléchargement légal a doublé par rapport au premier semestre 2005 passant de 6.6 à 13.3 millions de titres,
40 % des titres achetés sont téléchargés (contre 25 % au premier semestre 2005).
La part des ventes physiques de singles dans la consommation de titres musicaux perd donc 15 points passant de 75 % à 60 % à une année d’intervalle.
12 millions de sonneries téléphoniques ont été achetées (contre environ 6.5 millions au premier semestre 2005),
A deux années d’intervalle, le marché du numérique a été multiplié par 3.5 et la progression des ventes en téléchargement (x par 8.7) a été trois fois plus importante que celles des revenus de la téléphonie mobile (x par 2.6).
 Meilleures ventes (source Ifop Tite Live)

Le marché de gros de la musique enregistrée représente ainsi 373 millions d’euros contre 409 millions au premier semestre 2005 (-8.8 %).

Au sein des ventes physiques :

Les ventes de disques en magasins (marché de détail TTC) ont chuté de 10.5 % en valeur et de 21.5 % en volume.
Le marché de détail des albums continue de se déconcentrer : si globalement, les ventes d’albums en magasins baissent de 21 %, le volume des 200 meilleures ventes d’albums du semestre chute de 32 %.
Ainsi la part du TOP albums (200) ne cesse de se réduite passant de 45.7 % au premier semestre 2003 à 32 % au premier semestre 2006.
 Les sorties commerciales d’albums francophones restent stables alors que les sorties d’albums internationaux chutent de 36 %.La part des artistes francophones dans la commercialisation d’albums a gagné 13 points en cinq ans passant de 19 % en 2001 à 32 % en 2006. Le solde des nouvelles signatures d’artistes poursuit sa reprise après la chute de 2003 et 2004 : 34 nouveaux artistes francophones signés au premier semestre 2006 contre 24 en 2005 mais 68 en 2002.Dans le domaine de la diffusion musicale en radio, le nombre d’entrées en play list est en baisse pour la troisième année consécutive : 1 388 titres sont entrés en play list au cours de ce semestre soit 9 % de moins qu’en 2003. Ce sont les titres francophones qui ont souffert de ce resserrement. Aujourd’hui, 2 % des titres totalisent 65 % des diffusions.

L’Actualité du Disque 2006

En vente au prix de 20 euros
A la librairie de l’IRMA – 20 rue Soleillet –
75020 PARIS
Tél : 01 43 15 11 19
SOMMAIRE
Le Marché Français de la musique enregistrée
• Les évolutions significatives de l’année 2005
• Le marché français de la musique enregistrée
• Les meilleures ventes de l’année 2005
• La saisonnalité des ventes de disques
• La production musicale en 2005
• Dix ans de production musicale
• La musique francophone à l’étranger
• L’offre de musique numérique : panorama et perspectives
Le Marché Mondial
• Panorama de l’offre numérique mondiale
• Le marché mondial de la musique enregistrée
• La mise à disposition et les téléchargements illicites sur Internet
• La mise à disposition et les téléchargements illicites sur Internet : quelques chiffres
• L’action de la SCPP
• Education et sensibilisation du public : l’action de la filière musicale
Musique et médias
• Musique et radio
• Musique et télévision
• Musique et publicité
La distribution
• Analyse de l’évolution des ventes audio par circuit de distribution
• Analyse de l’évolution des ventes vidéo par circuit de distribution
La consommation
• L’évolution des principaux marchés de biens culturels
• L’évolution du prix du disque
• L’évolution du comportement des consommateurs de musique
Les palmarès
• Les Victoires de la musique
• Les Victoires de la musique classique
• Les Victoires du Jazz
• Le Prix Constantin 2005
Les certifications décernées en 2005• Les seuils de certifications dans les principaux marchés

Le SNEP
• Missions et organisation
Nos membres

Bilan économique de l’année 2005

Bilan économique de l’année 2005
Les tableaux de bord de la production 1995-2005 TABLEAUX DE BORD DE LA PRODUCTION 2005
Les classements des meilleures ventes 2005 Les classements des meilleures ventes 2005 (IFOP-TITE LIVE)
Les certifications de l’année 2005 Les certifications de l’année 2005
Les chiffres clés de la radio (Yacast) Les chiffres clés de la radio et de la télévision 2005 (Yacast)
Les chiffres clés de la télévision (Yacast) Les chiffres clés de la télévision 2005 (Yacast)
Les performances à l’export en 2004 – Performances a l’export 2004

Bilan économique 9 premiers mois 2005

Bilan économique au premier semestre 2005
Le marché du disque au premier semestre 2005
Le Classement des meilleures ventes IFOP/TITE LIVE – Chiffres clés du premier semestre

Synthèses thématiques 2005
Rapport IFPI sur la musique en ligne – 2005