Les producteurs de musique membres du Snep sont heureux de s’associer au lancement du dispositif de la Carte Musique à destination du jeune public (12-25 ans). Cette opération, issue du rapport Création & Internet, très attendue par la filière musicale, est un encouragement  à la découverte des offres légales de musique en ligne disponibles en France, qui sont aujourd’hui multiples, simples d’utilisation et proposent une grande diversité de répertoires (8 millions de titres).
Les producteurs se sont engagés aux cotés des éditeurs de services en ligne pour proposer des offres spécifiques aux bénéficiaires de la Carte Musique afin de la rendre encore plus attractive, et vont relayer ce dispositif à travers les campagnes  publicitaires de leurs artistes à la télévision, pour en accroitre la visibilité. Ils contribueront ainsi  avec les plateformes à hauteur de 20% à l’ensemble de l’opération .
L’enjeu est essentiel : donner aux jeunes l’envie d’utiliser à des tarifs très accessibles les services légaux proposant une grande diversité d’offres , qu’il s’agisse de téléchargement, d’abonnement , de streaming, et de les inciter à délaisser les usages illicites.

Contact :
 David El Sayegh : 01 44 13 66 66
Le SNEP se réjouit de l’envoi par l’HADOPI des premiers messages d’avertissement en application de la loi Création & Internet qui désormais devient effective. Il salue le travail accompli par cette autorité indépendante qui, malgré les critiques injustifiées, a démontré sa capacité à agir.
La mise en œuvre de la loi Création et Internet permettra ainsi de responsabiliser les internautes sur les dangers de la piraterie et de les sensibiliser sur l’existence d’une alternative légale de qualité.
Cependant, le SNEP déplore l’attitude inadmissible de Free qui, selon ses déclarations, n’entend pas répercuter auprès de ses abonnés les messages d’avertissement de l’HADOPI.
Cette attitude témoigne d’une volonté de la part de Free de ne pas respecter la loi, en mettant en avant des arguties juridiques, qui ne sauraient masquer sa volonté de « racoler » des internautes qui se livrent à des actes de piraterie. 
Une telle conduite est d’autant plus déplorable qu’elle crée des distorsions de concurrence au détriment des autres fournisseurs d’accès, qui eux respectent la loi. Or la loi ne vaut qui si elle est respectée par tous, y compris par Free.
Le SNEP demande donc aux pouvoirs publics d’agir afin que Free respecte ses obligations, comme tout fournisseur d’accès, vis-à-vis de l’HADOPI.

Contacts :
 David El Sayegh : 01 44 13 66 66
 
 
Les producteurs de musique se félicitent du vote largement majoritaire du Parlement Européen intervenu hier à Strasbourg  procédant à l’adoption du rapport  Gallo, qui  réaffirme l’importance  du renforcement de l’application des droits de propriété intellectuelle pour toute une filière économique.
Par ce vote, les eurodéputés appellent la Commission à préconiser des sanctions en cas de téléchargement illégal, ouvrant ainsi la voie à une lutte efficace contre le piratage en ligne à l’échelle européenne.
« Les producteurs de musique se réjouissent de l’adoption du rapport Gallo par le parlement européen, signal d’une véritable prise de conscience des enjeux culturels et économiques liés à la protection de la propriété intellectuelle en Europe. Il conforte la pertinence et la modernité de la loi Hadopi et de la carte musique en France et renforce encore l’importance qui doit être attachée à leurs mises en oeuvre pour développer avec succès la consommation légale de musique sur internet », déclare Denis Ladegaillerie,  président du SNEP.
« L’attachement marqué par le Parlement Européen au respect de la propriété intellectuelle est à saluer dans un contexte de remise en cause permanent  des droits d’auteurs et des droits voisins. Le rapport Gallo propose des solutions équilibrées entre le développement de l’offre légale et la nécessité de sensibiliser les internautes » déclare Stephan Bourdoiseau, Président de l’UPFI.
Contacts :
 SNEP : David El Sayegh / 01 44 13 66 66
 UPFIJérôme Roger   / 01 53 77 66 40

LES CHIFFRES CLES DE LA RADIO EN 2009
Bilan réalisé par YACAST

Numéro 1 du classement général de l’année 2009
Black Eyed Peas  – « I gotta feeling » (Polydor/Universal)
 17.963 diffusions / 1,2 milliard de contacts*
* audience accumulée sur la période basée sur les enquêtes Médiamétrie (126.000 Nationale, IDF et Médialocales)

Artiste le plus diffusé
Black Eyed Peas (Polydor/Universal)
40 994 diffusions / 31 titres différents
2.9 milliards de contacts

Nombre total de diffusions musicales
 3.682 373  (contre 3 786 163 en 2008)

Part des diffusions francophones sur l’ensemble des diffusions
 (24h/24h) : diffusions : 32.5% / audience* : 42.7 %
Rappel 2008 : diffusions : 34.1 % / audience : 44.4 %
* diffusions pondérées par l’audience par quarts d’heure. Source Médiamétrie (126.000 + Médialocales)

Part des diffusions de nouveautés (titres de moins de 12 mois)
 (24h/24h) : diffusions : 53.7% / audience* : 49.8 %
Rappel 2008 : diffusions : 58.8 % / audience : 50.3 %

Rotation moyenne hebdomadaire par titre (24h/24h)
 International : 3.9 diffusions (4 en 2008, 4.7 en 2007, 4.8 en 2006, 4.4 en 2005, 4.5 en 2004)
 Francophone : 5.4 diffusions (5.8 en 2008, 6.3 en 2007 et 2006, 6.6 en 2005 et 2004)

Part des diffusions francophones parmi les 100 plus fortes rotations :
34 % (38% en 2008, 42% en 2007, 40% en 2006)

Nombre de nouveaux talents francophones classés parmi les 100 plus fortes rotations :
25 singles (27 en 2008, 31 en 2007, 40 en 2006)

Radio la plus éclectique : FIP
29 013 titres différents (FIP 2008, en 2007, 2006 et 2005  avec respectivement 26 402 titres, 24 525 titres, 23 520 titres et 22 064 titres)

Radio la plus francophone : France Bleu
56.5 % des diffusions (France Bleu en 2008 et 2007 avec 60.3% et 59.3%, MFM en 2006 et 2005 avec 60.8% et 62,5% des diffusions, France Bleu en 2004 avec 65% des diffusions).

Radio la plus « nouveautés » : Champagne Fm
87.7 % des diffusions (Contact FM en 2008 avec 89.9% et 2007 avec 90.5%, Champagne FM en 2006 et 2005 avec 88% et 94% , NRJ en 2004 avec 88%)

L’ANNEE 2009 EN RADIO

 La part des titres francophones en radio représente 32.5 % des diffusions, soit une chute de 4.5 points par rapport à 2003.

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La présence francophone au sein des plus fortes rotations baisse sensiblement. Cette baisse est accompagnée de celle des nouveaux talents.

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La part des diffusions consacrées aux nouveautés est en baisse : elle atteint 57.3 % contre 58.8 % en 2008.

Phénomène plus inquiétant, les nouveautés ont représenté cette année moins de la moitié des contacts musicaux des radios (49.8 % contre 50.3 en 2008).

 Le nombre de titres différents diffusés est en hausse de près de 2 %.

En 2009, 74 193 titres différents ont été programmés, chiffre en hausse de près de 2 % par rapport à 2008.

Ces 74 193 titres comportent :
 30 368 nouveautés, stable par rapport à 2008,
 8 195 nouveautés francophones, en hausse de 9 % par rapport à 2008.

 Le nombre d’entrées en programmation baisse de 3.8 %

2 987 titres sont entrés en programmation cette année soit 119 titres de moins qu’en 2008 : progression du répertoire international au dépens du répertoire francophone.

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Le Top 40 représente plus de la moitié des diffusions pour 14 des 36 radios du panel et notamment :

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Le TOP 100 RADIO 2009

Classement des titres les plus écoutés en radio –  diffusions pondérées partir de l’audience des stations (source Médiamétrie) : Télécharger le TOP 100

Voir aussi :

 Les ventes de disques gros 2009

 Les ventes de disques détail 2009

 Les tableaux de bord de la production 2009

 Les classements des meilleures ventes

 La diffusion des vidéomusiques à la télévision en 2009 

 Le Digital Music Report 2010 de l’IFPI

LES CLASSEMENTS DES MEILLEURES VENTES
REALISES PAR GFK
LES CHIFFRES CLES DE L’ANNEE 2009

VENTES EN MAGASINS

 Meilleure vente de singles en 2009 :
Helmut FRITZ – « Ca m’énerve »
Sony Music Strategic Marketing/Sony Music Entertainement

 Meilleure vente d’albums en 2009  :
Les Enfoirés – « Font leur cinéma »
UMSM/Universal Music France

 Meilleure vente de compilations en 2009  :
Michael JACKSON – “The Essential”
Sony Music Catalogue/Sony Music Entertainment

 Meilleure vente de vidéomusicales  en 2009 :
Les Enfoirés – « Font leur cinéma »
UMSM/Universal Music France

CLASSEMENTS THEMATIQUES

 Meilleure vente d’album classique en 2009 :
Cécilia BARTOLI & Giovanni ANTONINI – « Sacrificium »
Universal Classique/Universal Music France

 Meilleure vente d’album jazz en 2009 :
Melody GARDOT – « My one and only thrill »
Universal Jazz/Universal Music France

VENTES EN TELECHARGEMENT

 Titre le plus téléchargé en 2009 :
Helmut FRITZ – « Ca m’énerve »
Sony Music Strategic Marketing

 Album le plus téléchargé en 2009 :
BLACK EYED PEAS – « The E.N.D »
Universal Music Division Polydor

LES CHIFFRES CLES DU CLASSEMENT DES MEILLEURES VENTES

 

 

En 2009, sur les 10 meilleures ventes de singles 5 sont francophones (5 en 2008, 9 en 2007, 10 en 2006 et 8 en 2005). Il s’agit de : Helmut Fritz, Mikelangelo Loconte, Jena Lee, Pitbull et Tom Frager.

En 2009, sur les 10 meilleures ventes d’albums, 5 sont francophones (5 en 20088 en 2007, 10 en 2006, 8 en 2005). Il s’agit de : Les Enfoirés, Mozart l’Opéra Rock, Grégoire, Calogero et David Guetta.

 

 

 

Voir aussi :

 Les ventes de disques gros 2009

 Les ventes de disques détail 2009

 Les tableaux de bord de la production 2009

 Les chiffres clés de la Radio en 2009

 La diffusion des vidéomusiques à la télévision en 2009 

 Le Digital Music Report 2010 de l’IFPI

Bilan économique 2009

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UN NET RALENTISSEMENT DE LA CHUTE
DU MARCHE DE LA MUSIQUE EN 2009 :

Ventes éditeurs de CD/DVD musicaux (nettes de remises) et revenus numériques
587.8 millions d’euros et 133.1 millions d’unités vendues
3.2 % en valeur dont :
3.4 % pour les ventes physiques
1.9 % pour les ventes numériques

En 2009, le marché de gros de la musique enregistrée a représenté 587.8 millions d’euros, contre 607.2 millions d’euros en 2008 soit une baisse de 3.2 % par rapport à 2008 (contre -15% en 2008).

symbolencoche1 le marché physique : 512 millions d’euros, en baisse de 3.4 % (contre -19.5 % en 2008).
symbolencoche1 le marché numérique : 75.8 millions d’euros, en baisse de 1.9 %.

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En 2009, les ventes numériques représentent 12.9 % du chiffre d’affaires des éditeurs phonographiques (contre 12.7% en 2008).
Le chiffre d’affaires numérique 2009 est en pleine mutation : hausse du téléchargement internet (+56 %), baisse des sites de téléphonie mobile (-41 %) et fort développement des revenus du streaming qui ont plus que doublé.

Par ailleurs, le net ralentissement de la baisse du marché en 2009 est le résultat d’une double évolution :

symbolencoche1  une baisse de 17.8% sur le premier semestre 2008,
symbolencoche1 une hausse de 9.2 % sur le second semestre 2009.

LE MARCHE DE LA MUSIQUE ENREGISTREE

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symbolfleche1 LES VENTES DE SUPPORTS : UN NET RALENTISSEMENT DE LA BAISSE DU MARCHE
512.1 millions d’euros : -3.4%

Les ventes de supports réalisées par les éditeurs phonographiques ont représenté en 2009 un chiffre d’affaires de 512.1 millions d’euros en baisse de 3.4 % par rapport à l’année 2008.

Pour la première fois depuis 2003, on constate un ralentissement dans la chute du marché des supports.

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symbolencoche1 L’évolution du chiffre d’affaires (-3.4 %) des supports se décompose en :
symbolrect21 -34% pour les ventes de singles,
symbolrect21 -4% pour les ventes d’albums,
symbolrect21 +16% pour les ventes de vidéomusicales.

symbolencoche1 L’évolution du chiffre d’affaires des supports se décompose également en :
symbolrect21 -14.7% pour le répertoire classique,
symbolrect21 -6.7% pour le répertoire francophone,
symbolrect21 +5.2% pour le répertoire international.

La crise touche les répertoires de façon inégale.
Le répertoire local, assis sur un marché plus restreint, souffre davantage que le répertoire international.
Depuis le début de la crise en 2003, le marché physique a chuté de plus de 60% dont -30% pour le classique, -63% pour le répertoire francophone et -60% pour le répertoire international.

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Aujourd’hui, le répertoire francophone représente 60 % des ventes de disques de variété, contre 62 % en 2002.

LES VENTES DE SUPPORTS PHYSIQUES EN FRANCE  (ventes gros H.T. nettes de remises) – ANNÉE 2009

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symbolfleche1LES VENTES NUMERIQUES DES EDITEURS PHONOGRAPHIQUES : -1.9 % EN VALEUR
Un marché qui se restructure.

Après quatre années de progression, le marché numérique enregistre une très  légère régression en 2009.
Il s’établit à 75.8 millions d’euros contre 77.2 millions en 2008.
Historiquement axé sur la sonnerie téléphonique, le marché numérique se repositionne sur le téléchargement (d’albums notamment) et sur le streaming.

symbolencoche1 Le téléchargement internet progresse fortement : +56%
Cette progression concerne à la fois le téléchargement de titres à l’unité (+38 %) et le téléchargement d’albums (+60 %). Le téléchargement internet représente aujourd’hui plus de la moitié des revenus numériques.

symbolencoche1 Les revenus des sonneries et de la téléphonie mobile chutent de 41.5 %

symbolencoche1 L’émergence du streaming dont le chiffre d’affaires est multiplié par 2.4
Apparu en 2008, le chiffre d’affaires du streaming a plus que doublé en 2009, passant de 3.6 à 8.8 millions d’euros. Sa part de marché s’établit aujourd’hui à 11.6 % des revenus numériques.

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La structure de ces revenus est donc aujourd’hui très différente de celle des débuts de l’offre légale.

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Voir aussi :

 Les ventes de disques détail 2009

 Les tableaux de bord de la production – Année 2009 

 Les classements des meilleurs ventes 

 Les chiffres clés de la Radio en 2009

 La diffusion des vidéomusiques à la télévision en 2009 

 Le Digital Music Report 2010 de l’IFPI

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Les producteurs de musique tiennent à exprimer leur profonde consternation à la suite  des déclarations de la Ministre de la Culture concernant l’abandon du projet de Centre National de la musique.

En sacrifiant le CNM, qui avait pourtant fait l’objet d’un consensus au sein de toute la filière musicale, Madame Filippetti trahit sa propre parole, alors même qu’elle avait affirmé aux professionnels en juillet dernier vouloir soutenir cette initiative.

La Ministre trahit également l’engagement de campagne du Président de la République, qui avait clairement affirmé son intention  de poursuivre le chantier du CNM.

Les producteurs de musique enregistrée, rappelons-le, ont perdu plus de 60% de leur chiffre d’affaires ces dix dernières années, et sont atterrés de la volte face de la Ministre, qui feint d’ignorer la crise profonde qui frappe ce secteur.

Les producteurs de musique ne sauraient accepter comme mesure  compensatoire  à cet abandon, le renforcement d’un crédit d’impôt au profit des seuls producteurs indépendants.

Il s’agit d’une discrimination inacceptable pour les artistes produits par les majors qui participent tout autant à la diversité culturelle que ceux développés par les producteurs indépendants.

Les producteurs de musique en appellent au Président de la République et au Premier Ministre pour que soit revue la position de la rue de Valois, à la lumière du travail déjà accompli, de la pertinence d’un projet porté par l’ensemble d’une filière et des engagements de soutien pris pendant la campagne présidentielle.


Contact : David El Sayegh 01 47 38 04 04

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Le Conseil Constitutionnel : plus sévère que le Parlement

Les producteurs membres du SNEP et de la SCPP ont pris connaissance de la décision du Conseil Constitutionnel rendue cet après-midi sur la loi « Création et Internet ». Ils se réjouissent de la mise en place d’une Haute Autorité dédiée à la défense de la propriété intellectuelle sur Internet et du dispositif pédagogique destiné aux internautes grâce à l’envoi de messages d’avertissement.

En renvoyant au juge la responsabilité de prononcer des sanctions, le Conseil Constitutionnel replace les téléchargements illégaux sur Internet dans le champ des sanctions applicables à la contrefaçon et renforce ainsi le caractère dissuasif des messages envoyés par l’Hadopi.

Le juge suprême reconnaît ainsi la gravité de la violation des droits d’auteur et des droits voisins.

Le dispositif d’avertissements de l’Hadopi et l’intervention de l’autorité judiciaire constitueront ainsi un cadre efficace contre les pratiques illicites sur Internet.

Le SNEP et la SCPP attendent que les décrets d’application puissent être publiés le plus rapidement possible et que la Chancellerie puisse désigner dans les meilleurs délais les magistrats spécialisés en la matière.

Contacts :

 SCPP : Marc GUEZ 01 41 43 03 03
 SNEP : Hervé RONY 01 44 13 66 66

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COMMUNIQUE DE PRESSE DU SNEP DU 13/05/2009

Les membres du SNEP ont appris avec une profonde satisfaction l’adoption définitive par le parlement français du projet de loi « Création & Internet ».

Ils tiennent à remercier le Président de la République, le gouvernement tout particulièrement la Ministre de la Culture, les rapporteurs du projet et tous les parlementaires qui ont soutenu ce texte.  Ils saluent tous les professionnels, tous les artistes et créateurs qui depuis dix huit mois se sont mobilisés pour proposer une règle du jeu pour l’accès aux œuvres musicales et audiovisuelles sur Internet.

Cette loi est issue d’un long processus de réflexion et de concertation, qui depuis la mission Olivennes et la signature des accords de l’Elysée en novembre 2007 a permis d’aboutir à la protection de la création à l’heure du numérique.

Pour l’avenir, il faut souhaiter que l’Hadopi puisse rapidement se mettre en place et que sa mission pédagogique fasse son œuvre.