L’annonce vient d’être faite via l’IFPI : Les classements des ventes et certifications anglaises comptabiliseront les chiffres issus du streaming à partir du mois prochain. Face à l’augmentation du nombre de streams, passant de 100 millions à plus de 200 millions par semaine entre 2012 et 2013 – des chiffres qui devraient doubler à nouveau en 2014 – la UK Official Charts Company a décidé de comptabiliser les écoutes en streaming dans le calcul des Tops et des Certifications.

Selon quelle règle seront convertis les stream ?

Pour tenir compte de la différence entre une écoute en stream et un téléchargement ou une vente physique, le BPI comptabilisera 100 écoutes en stream comme un téléchargement.

Les plateformes concernées.

Les certifications et tops se doivent de coller au plus près de la réalité du marché, en prenant en compte un maximum d’acteurs. De fait, on retrouve dans la liste des plateformes du panel toutes celles qui composent le marché britannique d’aujourd’hui :

Bientôt en France

En France, ce système sera disponible dès la rentrée.

uk-charts-growth-streaming Télécharger l’infographie « Growth Of Music Streaming » [Eng]
official-charts-company Télécharger le dossier de presse [Eng]

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Paris, le 20 juin 2014

Twitter : @SNEP / Tags : #snep –  #FDLM

 

Pour fêter vraiment la musique, Madame la Ministre,

 prenez 3 mesures urgentes et qui ne coûtent rien à l’Etat !

 

En cette veille de la Fête de la Musique, les producteurs membres du SNEP interpellent la ministre de la Culture et de la Communication sur la nécessité d’agir d’urgence en faveur de la filière musicale.

Depuis le début du quinquennat, on peine à distinguer la véritable politique de Madame Filippetti en faveur la musique. Nous n’avons cessé d’être ballotés entre les promesses d’un acte 2 de l’exception culturelle sans véritable ligne directrice, les atermoiements sur la réponse graduée ou encore le projet de centre national des variétés élargi à de nouvelles ressources, dont personne n’entend aujourd’hui plus parler.  Et maintenant ?

Pourtant, dans un contexte politique et budgétaire délicat, des mesures simples et consensuelles existent ! Le temps n’est plus à la parole mais à l’action. Pour le SNEP, trois mesures essentielles et sans impact pour les finances de l’Etat doivent être engagées par la ministre.

Premièrement, la copie privée ne peut demeurer plus longtemps otage de l’attitude inadmissible des importateurs qui ont démissionné de la commission de la rémunération pour copie privée en novembre 2012. Celle-ci ne s’est plus réunie depuis dix-huit mois. Sans attendre davantage, la nomination de nouveaux membres et la convocation de cette commission pour la rémunération  de la copie privée sont une exigence de premier ordre.

En second lieu, la commission ad hoc sur la rémunération équitable doit être recréée. La précédente commission a pris fin en février 2012, et n’a pas été recréée par le ministère de la Culture et de la Communication malgré les multiples demandes des représentants des producteurs et des artistes-interprètes. Pendant de trop nombreuses années, les barèmes de la rémunération équitable ont été figés sans aucune justification, pénalisant les revenus des producteurs et des artistes. Leur réévaluation progressive entamée il y a quelques années doit à présent se poursuivre.

Enfin, il est urgent de rétablir la diversité musicale dans les médias. Le constat est connu de tous et sans appel : aujourd’hui, sous l’effet conjugué de la concentration massive de quelques titres en radio et de la disparition de la musique à la télévision, nos jeunes talents n’ont plus les moyens de rencontrer leur public. La solution pour remettre de la diversité en radio existe : la proposition du rapport Bordes en ce sens doit être implémentée sans délai par voie règlementaire.

Le temps politique doit absolument se mettre au diapason de la réalité économique des producteurs, des créateurs et des artistes.

 

Contact : Guillaume LEBLANC : 01 47 38 04 04

 

SNEP 2014 GUIDE ECO

Télécharger L’Economie de la Production Musicale – Edition 2014

Sommaire

Chapître 1 : Le marché français en 2013

Chapître 2 : Le partage des revenus de la musique enregistrée

Chapître 3 : Le marché mondial en 2013

Chapître 4 : La consommation de musique

Chapître 5 : Musique et médias

Chapître 6 : Les acteurs de la distribution de la musique

Chapître 7 : Les artistes qui ont marqué l’année 2013

Télécharger le Guide : SNEP 2014 GUIDE ECO WEB

Le 12 juin dernier, nous étions invités dans les locaux de Qobuz à Paris. L’occasion de découvrir les coulisses de cette société française dont l’ADN, qui se définit entre avance technologique, accompagnement des utilisateurs et passion pour la musique, la démarque de tous ses concurrents. Comment Qobuz crée de la valeur autour de la musique ? La réponse en trois temps.

En proposant une technologie unique au service des audiophiles

Ce n’est un mystère pour personne, l’une des particularité de Qobuz est d’être le seul service de streaming HD. Véritable spécialiste du son Haute Définition, l’entreprise nous propose de juger par nous-même. Dans son studio, nous découvrons les joies de la HD lors d’un blind test grandeur nature. C’est ainsi que six adultes, avec un émerveillement non dissimulé, découvrent ce que peut offrir la musique … et les capacités de leurs oreilles par la même occasion. Dès les premières notes, on ressent un son mieux définit, sans plafonnement. Dans le jargon, on parle de « dynamique ». Ce sont les différences de volume entre les sons les plus bas et les sons les plus forts. En d’autre terme, tout ce qui fait la beauté, la richesse, la profondeur d’un son.

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Sur « Thriller » de Michael Jackson, les effets sont plus réalistes. L’introduction, où l’on entend une porte se refermer, prend toute sa dimension cinématographique. Côté musique, les bas plus profonds et mieux définit honorent le travail des producteurs sur ce morceau légendaire.

Sur de la musique classique, on distingue clairement tous les instruments, le frottement des cordes et tous ces détails qui donnent de la vie à l’expérience d’écoute.

Bref, nous sommes conquis.

En accompagnant l’auditeur dans sa relation avec la musique

Mark ZISMAN, responsable du pôle éditorial, a pris quelques minutes pour nous faire découvrir sa boite à outil. Qobuz dispose de toute une équipe en interne, l’équivalent d’un petit magazine spécialisé. Des journalistes, des bloggers, un photographe et un studio d’enregistrement sont mis à profit pour créer des contenus de qualité : interviews d’artistes, podcasts audio et vidéo, sessions live et acoustiques.

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Sur le site et l’appli’, les albums se dévoilent à travers des chroniques originales et leurs livrets numériques haute définition, créant une expérience proche voir meilleure que celle du CD : nous accédons à tous les objets, vidéos, photos ou textes permettant une immersion complète dans l’œuvre. Un bonheur pour les fans et une vraie plus-value pour les artistes dont l’histoire est contée.

Son équipe conseille, déniche les talents et nouveautés obscures, sans négliger les classiques et les incontournables à connaître – à travers leur concept de « discothèque idéale » notamment. L’éditorialisation « humaine » de Qobuz permet de retrouver cette proximité qu’on pouvait avoir avec un disquaire passionné.

L’équipe a même créé les « Qobuzissime » pour mettre en avant ses coups de cœurs. Réservée aux nouveaux talents (premier ou deuxième album), cette distinction s’accompagne d’une interview à la sortie de l’album – en version master évidemment. Une préconisation qui fonctionne, puisqu’à chaque fois, les ventes d’albums décollent.

Mark fustige également le mythe des auditeurs de jazz, rappelant que la meilleure vente du moment est Led Zeppelin. Les « têtes de gondole », comme Bruel ou Lady Gaga, ne sont pas en reste, une grande partie de leur public souhaites écouter ces artistes avec la meilleure qualité possible.

Cette stratégie d’identification se remarque dans les ventes : en téléchargement, les charts Qobuz se démarquent fortement. Alors qu’iTunes est représentatif du marché, Qobuz « fait aimer aux gens la musique » déclare Mark, avec une certaine satisfaction.

L’utilisateur peut jouer le jeu en recommandant et commentant ses écoutes, faisant de Qobuz un réseau social à part entière.

La prochaine étape de cet accompagnement de l’auditeur est en route. A partir du 1er août, les sites européens seront différenciés avec une mise en avant plus marqué des artistes locaux. Les consommateurs auront ainsi accès à un contenu spécialisé en fonction de leur localisation.

En développant les contenus audio HD

Sébastien CATTANT, audio content manager est, entre autre mission, responsable de l’évangélisation auprès des producteurs. « Le contenu HD est un contenu premium, donc plus cher. De fait, il rapporte plus d’argent au producteur, sans nécessairement lui couter plus cher » nous confie-t-il. « La plupart des albums sont déjà produits en HD, ou pourrait l’être pour le même coût. Mais comme personne ne proposait ces contenus avant nous, tous ces fichiers haute qualité ne bénéficiaient à personne ».

Comme le vinyle, la HD est un excellent levier de visibilité pour les artistes. Le marché étant plus petit et le nombre de références réduit, sortir son album en HD donne une certaine exclusivité et différencie le produit.

Qui dit musique HD, dit bien sûr lecteur et matériel HD. Pour accompagner ses utilisateurs, Qobuz possède donc son propre labo. Banc d’essais, comparatif et autre crash-test sonore : les dernières nouveautés hardware sont littéralement mises à nue pour conseiller les meilleurs achats aux membres de Qobuz.

En accompagnant l’utilisateur, de la découverte de musique à la procuration de matériel de qualité, Qobuz a créé une véritable communauté d’audiophile, qui grandit de jour en jour. Un petit acteur face à des géants, mais qui réussit à se développer grâce à un modèle et un état d’esprit unique.

La 12ème édition des Victoires du Jazz ont eu lieu jeudi 12 et vendredi 13 juin au Parc Floral de Paris, dans le cadre des 20 ans du Paris Jazz Festival et dans le Jazz à fip spécial Victoires le 15 juin à 20h30. Voici le palmares de cette année.

 

LES 12èmes VICTOIRES DU JAZZ (2014)

PALMARES

Artiste de l’année

Emile PARISIEN

Révélation de l’année

(Prix Frank Ténot)

Vincent PEIRANI

Album de l’année

“Play Sun Ra” – Thomas de POURQUERY & SUPERSONIC

PLÁCIDO DOMINGO ADDRESSES INTERNATIONAL IP ENFORCEMENT SUMMIT

 

London, 11th June 2014 – Plácido Domingo, the world renowned artist and chairman of IFPI, has addressed the International IP Enforcement Summit being held in London.

 

Domingo urged governments not to allow copyright to be eroded in the digital age and highlighted the importance of intellectual property enforcement for protection of creators and culture.

 

He told the meeting of international IP experts that protecting and enforcing intellectual property rights “is one of the most important missions in our society and for our culture today.”

 

Domingo added: “There is a view – mistaken in my opinion – that in the digital world copyright matters less than in the physical world.  It is emphatically not so.  In fact, copyright needs protecting as vigorously – if not more vigorously – on the internet.”

 

He addressed the debate around copyright reform in the EU.  “Europe will this year have new Commissioners and a new Parliament.  I urge them, in their review of copyright, to promote and protect copyright, not to weaken it.  Please, do not allow artist and producers’ rights to be eroded.  Rather, look at how they can be better enforced.”

 

Domingo stressed the need for collaboration to protect intellectual property rights in the online world.  “We, in the creative world, cannot protect our rights alone.  We need help from the bigger actors.  The search engines, for example. When someone uses a search engine to find music, they should not be directed to illegal sources of music. This directly hurts artists and other creators.”

 

He also called for help from governments.  “Enlightened governments will understand that strong, properly-enforced intellectual property rights lead to a rich culture and economic prosperity.”

The International IP Enforcement Summit is backed by the European Commission, the Office for Harmonisation in the Internal Market (OHIM) and the UK’s Intellectual Property Office.  The summit aims to provide an effective forum for discussion and debate on crucial international IP enforcement matters; increase engagement between national and international partners in combating counterfeiting and piracy; and support interaction and sharing of successful examples of international best practice strategies and techniques.

For further information please contact Alex Jacob

Tel.  +44 (0)20 7878 7940

 

Notes to editors:

 

About IFPI

IFPI is the organisation that promotes the interests of the international recording industry worldwide. Its membership comprises some 1,300 major and independent companies in 66 countries. It also has affiliated industry national groups in 55 countries. IFPI’s mission is to promote the value of recorded music, safeguard the rights of record producers and expand the commercial uses of recorded music in all markets where its members operate.

 

Twitter handle: @IFPI_org

About Plácido Domingo

Plácido Domingo became honorary chairman of IFPI in July 2011.  He is a world-renowned artist.

 

Recognised as one of the finest and most influential singing actors in the history of opera, he is also a conductor and a major force as an opera administrator in his role as general director of the LA Opera.

 

As a singer, his repertoire encompasses 134 roles, a number unmatched by any other tenor in history, with more than 3,500 career performances. His more than 100 recordings of complete operas, compilations of arias and duets, and crossover discs include DG’s anthology of the complete Verdi arias for tenor and EMI’s albums of Wagnerian roles that he has not sung on stage: Siegfried in both Siegfried and Götterdämmerung, and Tristan in a complete recording of Tristan und Isolde.  His work in the recording studio has earned him 12 Grammy Awards, three of which are Latin Grammys, and he has made more than 50 music videos.

 

In addition to three feature opera films-Carmen, La Traviata and Otello-he voiced the role of Monte in Disney’s Beverly Hills Chihuahua, played himself on The Simpsons, and his telecast of Tosca from the authentic settings in Rome was seen by more than one billion people in 117 different countries.  He has conducted more than 450 opera performances and symphonic concerts with the Metropolitan Opera, Covent Garden, Vienna Staatsoper, LA Opera, Chicago Symphony, Vienna Philharmonic, Montréal Symphony, National Symphony, London Symphony, Los Angeles Philharmonic and Berlin Philharmonic, among others.  In 1993, he founded the international voice competition Operalia.

 

 

Le Midem déménage en juin

L’édition 2015 du Marché international de la musique (Midem), organisé chaque année au mois de janvier à Cannes, se déroulera du 5 au 8 juin. Une révolution de calendrier qui va permettre de bénéficier d’une météo plus clémente, avec le Brésil comme pays invité.

Après avoir subi les affres d’une météo capricieuse au fil de ses dernières éditions à Cannes, le Midem, marché international de l’industrie musicale, qui se déroule chaque année vers la fin du mois de janvier, a décidé de révolutionner son calendrier. L’édition 2015 se déroulera du 5 au 8 juin prochain. Désormais, la musique envahira la Croisette quelques semaines à peine après le cinéma et son festival de Cannes. « Nous nous attendons à accueillir plus de participants du monde entier au mois de juin, quand l’atmosphère de Cannes est idéale », confie Bruno Crolot, le directeur des Marchés Musique chez Reed Midem, la société qui organise la manifestation.

Alors que l’industrie musicale s’enfonçait dans la crise, le Midem a beaucoup perdu de son lustre au cours des années 2000, et a vu sa fréquentation s’étioler, pour passer plus de 10 000 participants à 6400 cette année, au début du mois de février 2014. Mais le salon a gardé sa dimension internationale, avec le Brésil comme pays invité en 2015. Depuis le début des années 2010, le Midem a pris résolument le virage du numérique, sous la direction de Bruno Crolot. De plus en plus de start-up ou d’entreprises du secteur numérique sont présentes au Palais des festivals à Cannes au moment de la manifestation, et de nouveaux espaces de conférence comme les Midemnet Labs ou Innovation Factory ne désemplissent pas.

Dès la première édition qu’il a dirigée, Bruno Crolot a également  tenté d’ouvrir le Midem – qui s’adresse d’abord, historiquement, aux producteurs et distributeurs de musique enregistrée – au spectacle vivant et à la musique live : avec l’organisation d’un Midem Festival ouvert pour partie au public et d’un Midem-off, avec des concerts de découvertes dans les bars de la ville. Mais les artistes sont rarement en tournée au mois de janvier et difficiles à « booker » pour l’occasion. Le mois de juin, en revanche, est une période idéale.

« Nouveau look, nouveaux contenus et formats, ouverture partielle au grand public, le Midem 2015 fait peau neuve pour une expérience unique et encore plus dynamique. », promet Bruno Crolot. Si le soleil, la plage et la musique sont de la partie, toutes les conditions seront réunies. »

Startup Assembly 2014
Une matinÉe chez Qobuz
Le 12 Juin 2014, de 9 heures à 13 heures

Au cœur de la fabrique d’un service
de musique en ligne unique au monde !

Télécharger le communiqué de presse complet

Du 12 au 14 juin 2014, Startup Assembly, le festival des startups, ouvre les portes au grand public de plus de 500 entreprises innovantes partout en France. L’événement est organisé en partenariat avec la French Tech, avec le soutien de Google for entrepreneurs, Orange et l’Afic.


A l’occasion de “Startup Assembly 2014”, QOBUZ vous ouvre ses portes jeudi 12 juin, de 9h00 à 13h00, pour une matinée au cœur de ce service de musique en ligne 100% français, unique au monde.

La matinée sera ponctuée de trois temps forts auxquels vous êtes convié :

1) Les mystères de la musique en ligne révélés ! Comment fonctionne un service de musique en ligne en général, et Qobuz en particulier ?

– Rencontre avec l’équipe technique Qobuz
– Présentation de la chaîne de fabrication du service
– Les différents départements en action

2) Comment écouter et apprécier la musique en ligne Haute-Fidélité proposée par Qobuz ?

– Séance d’écoute en Haute-Fidélité dans l’auditorium Qobuz, équipé d’une installation Hi-Fi d’exception
– Démonstration du service de streaming Haute-Fidélité Qobuz (16 bits / 44.1 kHz)
– Démonstration du service de téléchargement en Studio Masters (24 bits jusqu’à 192 kHz) et comparaison des fichiers de différentes qualités
– Avant-première exclusive : démonstration-mystère d’une innovation technologique Qobuz qui sera implantée sur le service dans les prochains mois

3) Encore des questions sur Qobuz ?

– Questions et réponses avec les fondateurs de QOBUZ : Yves Riesel et Alexandre Leforestier

4) Jeu-concours ouvert à tous les visiteurs

Répondez à quelques questions savantes sur la musique en ligne et le son à l’issue de votre visite, et gagnez un abonnement d’un an à Qobuz HiFi.

Pour participer à cet événement, le nombre de places étant limitées, veuillez envoyer une confirmation par email à : pr@qobuz.com.


À PROPOS DE QOBUZ:

Le but de QOBUZ est de proposer le meilleur service de musique au monde et, de fait, sur un grand nombre de points, QOBUZ propose des services exclusifs qui ne sont pas disponibles ailleurs. Qobuz est le premier et le seul service de musique en ligne Haute Fidélité qui donne accès à tous les labels (majors ou indépendants) et à tous les artistes dans tous les genres musicaux en Qualité HiFi et en qualité HD.

QOBUZ propose:

  • des abonnements illimités en qualité 16 bits / 44,1 kHz, “Vraie Qualité CD”
  • du téléchargement « à l’acte » 16 bits / 44,1 kHz sur l‘ensemble de son catalogue : plus de 20 millions de titres
  • du téléchargement « à l’acte » jusqu’à 24 bits / 192 kHz sur une large sélection de titres “QOBUZ Studio Masters” (plus de 12 000 albums en Studio Masters à ce jour)

Qobuz propose, en outre, une abondante documentation sur les albums incluant des dizaines de milliers de livrets numériques et des contenus rédactionnels exclusifs de grande qualité.

Les services de Qobuz sont disponibles, outre le Web, à travers les applications Desktop pour Windows et Mac OS et sur les applis mobiles pour iOS, Android et Windows 8.

Le service Qobuz est désormais intégré par les plus grandes marques de constructeurs de matériels audio, grâce à l’API Qobuz.

Retrouvez tout Qobuz sur : www.qobuz.com

Facebook : https://www.facebook.com/qobuz

Twitter : @qobuz

La santé florissante des sites pirates s’explique par les profits qu’ils génèrent, titre le Mercury News. En se basant sur les résultats de l’étude réalisée par l’association Digital Citizen’s Alliance, une association basée à Washington qui se bat pour un Internet plus respectueux et plus sûr, le Mercury News soulève le voile sur un réseau de plus de 590 sites pirates bénéficiant des publicités de très grandes marques comme Walmart, McDonalds, Google ou Microsoft.
L’article livre une analyse pertinente et sans tabous d’une triste réalité : en mettant en ligne des contenus illégalement – films, séries télés et bien sûr musiques – ces sites attirent de nombreux visiteurs qu’ils convertissent ensuite en prospects potentiels pour les annonceurs.

En masquant parfois leurs activités derrière des sites en apparence légaux, ils attirent chaque année plusieurs millions de dollars d’investissements publicitaires.
Un article qui témoigne que le fléau du piratage a les mêmes causes et les mêmes conséquences partout dans le monde et qui confirme la pertinence  du  constat et des préconisations du rapport de Mireille Imbert-Quaretta sur les outils opérationnels de prévention et de lutte contre la contrefaçon en ligne .

Pour lire l’article en entier : cliquez-ici.
Pour lire le rapport Mireille Imbert-Quaretta : cliquez-ici.

Mutation à l’Irma : l’association Tous Pour La Musique
sera attentive à l’évolution de la fonction ressource de l’Irma

 

Le conseil d’administration de l’Irma (Centre d’information et de ressources pour les musiques actuelles) vient d’entériner l’arrêt de ses missions spécifiques aux esthétiques (centres d’information spécialisée pour le jazz, le rock, les musiques du monde…). Cette décision fait suite aux difficultés financières et structurelles rencontrées par cet organisme d’économie mixte dans sa fonction d’édition commerciale d’annuaires et de guides valorisant les métiers de la musique. Elle se place également dans une logique d’adaptation des outils d’intérêt général de la filière musicale pour renforcer l’accompagnement à la mutation numérique.

Soutenu par le ministère de la Culture et de la Communication et les organismes professionnels, l’Irma construit des services mutualisés (information, édition, formation, plateforme d’emploi, bases de données, rencontres, veille, prospective, orientation…) utilisés par les acteurs de la musique dans toute leur diversité. Ce rôle structurant, propice aux synergies, reste plus que jamais indispensable, a fortiori dans cette période de fragilité et d’incertitude pour les professionnels et les entreprises.

Fédérant l’ensemble des professions, l’association Tous Pour La Musique (TPLM) compte sur l’Irma pour poursuivre et développer son action dans une logique transversale adaptée aux nouveaux usages et dans un souci de soutien à la filière musicale.

« Je tiens à saluer l’action réalisée par les centres d’information spécialisée qui ont largement contribué à l’identification de secteurs artistiques constitutifs de la diversité et de la dynamique des musiques actuelles. Il est essentiel qu’un temps de travail concerté, associant filière et pouvoirs publics, sur les fonctions de ressource et d’action professionnelle, puisse s’organiser au plus vite. Entamée à l’occasion de la préfiguration du Centre National de la Musique (CNM), cette réflexion a, d’ores et déjà, amené à repositionner les missions pour l’export. Elle doit permettre de moderniser un dispositif d’intérêt général commun mis en œuvre il y a une trentaine d’années grâce aux capacités d’intervention des sociétés d’ayants droit. L’Irma est un élément moteur pour cette évolution ».

Bruno Lion, Président de Tous pour la Musique

Contacts Presse :

ADAMI / Benjamin Sauzay : 01 44 63 10 12

CSDEM / Angélique Dascier : 01 48 74 09 29

GAM / Suzanne Combo : 09 70 26 12 35

MMF / Virginie Borgeaud : 01 40 16 46 52

PRODISS / Aline Renet : 01 42 65 73 17

SACEM / Catherine Boissière : 01 47 15 45 21

SCPP / Anouchka Roggeman : 01 41 43 03 07

SNAM / Marc Slyper : 06 07 61 51 69

SNEP / Patricia Sarrant : 01 47 38 04 04

UPFI SPPF / Valérie Thieulent : 01 53 77 66 53