TNT & MUSIQUE
Les producteurs phonographiques sont très satisfaits de voir que le projet de loi sur la communication audiovisuelle et le nouveau service public de la télévision voté par l’Assemblée Nationale contient une disposition favorable au placement de produits autorisé dans les programmes audiovisuels et notamment les vidéomusiques. A l’heure où le secteur musical, à l’aune de la révolution numérique, doit trouver de nouvelles ressources de financement de la création, cette législation est particulièrement opportune.
Le SNEP s’étonne et  regrette cependant, malgré les efforts de certains parlementaires, notamment de Frédéric Lefebvre, l’opposition qu’a exprimée le Gouvernement à toute disposition visant à garantir la place de la musique sur les télévisions numériques terrestres à dominante ou majoritairement musicales.
C’est un signe contradictoire avec les engagements que le Président de la République a pris dès son élection en faveur de la filière musicale et la mise en œuvre d’un plan de soutien à un secteur particulièrement fragilisé.
Il est en effet indispensable que la lutte contre les téléchargements illégaux, défendue avec courage par les pouvoirs publics, s’accompagne de mesures de nature à dynamiser la diffusion de la musique, à préserver l’emploi et à maintenir les investissements dans la création.
 Contacts : Hervé RONY/Patricia SARRANT – 01 44 13 66 62
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SNEP-UPFI, UNE ALLIANCE DE TOUS LES PRODUCTEURS POUR ATTEINDRE DES OBJECTIFS COMMUNS
Le SNEP et l’ UPFI, en signant lors de ce Midem un contrat d’objectifs communs, ont convenu de développer un partenariat pour renforcer leur capacité à développer des dossiers qui sont des enjeux professionnels essentiels, pour préserver l’ équilibre et le développement de la production phonographique, ainsi que la diversité culturelle dans le domaine musical.

Une mobilisation autour de trois axes pour construire un environnement équilibré, qui permette la diffusion et l’ exploitation de la musique enregistrée : 

flechesnep1   DEVELOPPER L’OFFRE LEGALE DE MUSIQUE EN LIGNE ET LUTTER ACTIVEMENT CONTRE LA PIRATERIE.

Le SNEP et l’ UPFIi considèrent que la piraterie musicale en ligne, via les pratiques d’ échanges de fichiers illégaux est la cause majeure de la crise que connaît la production phonographique.

Ils entendent articuler la lutte contre la contrefaçon en ligne autour d’une triple démarche :

  • La création d’un marché légal, payant et sécurisé, tant sur Internet que pour la téléphonie mobile.
  • L’information et l’éducation du grand public.
  • La répression.
Le SNEP et l’ UPFI, signataires de la charte d’ engagements du 28 juillet 2004 conclue sous l’ égide des pouvoirs publics, ont décidé d’ accentuer leur collaboration sur la base des trois volets évoqués ci-dessus. Ils s’engagent à coordonner leurs actions et leurs prises de parole afin de mieux lutter contre la piraterie numérique de la musique.

flechesnep1  L’EXPOSITION DE LA MUSIQUE ET DES NOUVEAUX TALENTS A LA RADIO : UN ENJEU ESSENTIEL DU DEVELOPPEMENT DE LA PRODUCTION MUSICALE.

Les deux syndicats de producteurs partagent la même inquiétude sur l’évolution de la programmation musicale dans les radios privées au cours de ces dernières années. Celle-ci reset marquée par une concentration excessive des playlists et par une forte rotation des titres les plus diffusés ; un phénomène qui nuit gravement à la diversité musicale. Le SNEP et l’UPFI vont mobiliser tous leurs efforts auprès des pouvoirs publics et du CSA pour que soit modifiée la loi du 30 septembre 1986. Il s’agit d’instaurer un critère de diversité de diversité musicale, notamment lors d’une demande d’octroi ou de renouvellement de fréquence radiophonique.

flechesnep1  L’EXPOSITION DE LA MUSIQUE ET DES NOUVEAUX TALENTS A LA TELEVISION.

Le SNEP et l’ UPFI coopèreront également ensemble pour améliorer tant d’ un point de vue quantitatif que qualitatif, la programmation de la musique (variété, jazz, classique etc…) sur les chaînes de télévision, en particulier les chaînes généralistes. Les producteurs réaffirment leur attachement à voir aboutir les demandes qu’ ils ont exprimées par écrit à l’ occasion des travaux du groupe de travail présidé par Madame Cayla.

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POUR QUE LA MUSIQUE SOIT AU CŒUR DES ENJEUX
ET DES MUTATIONS DES MEDIAS

La place de la musique dans les médias à l’heure où ceux-ci traversent une nouvelle phase de mutation n’est jamais acquise comme en témoigne la décision du CSA approuvant la diminution sur M6 de la durée des programmes consacrée à la musique sans véritable contrepartie. Cette décision n’est pas un signe positif. Il importe donc de rester très vigilant sur les dossiers qui vont dominer l’année 2008.

I. LA SUPPRESSION DE LA PUBLICITE SUR LE SERVICE PUBLIC

La suppression de la publicité sur le service public de la télévision et corrélativement de Radio France aura pour effet induit un très probable surenchérissement du coût des messages publicitaires sur les medias privés. Intervenant en pleine crise du disque, cette réforme peut donc avoir des effets indirects défavorables à la promotion de la production phonographique.

Il importe que le SNEP puisse avoir sur ce point tant avec le Gouvernement qu’avec le CSA une concertation visant à examiner quelles mesures peuvent être prises : maintien de messages publicitaires pour les biens culturels, mécénat, sponsoring etc… …

II. LA RADIO NUMERIQUE TERRESTRE (RNT)

Après le déploiement réussi de la TNT, il importe de réussir celui de la RNT dont le lancement effectif aura lieu en 2008.

Le SNEP a eu, à différentes reprises, l’occasion d’adresser au CSA ses souhaits en ce domaine, plus particulièrement sur les points suivants :

assurer la couverture nationale la plus complète possible des offres musicales,
au sein de l’offre musicale, et dans une mesure compatible avec l’objectif à terme de basculer l’analogique en numérique, favoriser la diversité et la complémentarité de cette offre par rapport aux services existants,
préserver l’existence d’un format radiophonique fondé notamment sur la variété des émissions constituant le programme diffusé sur un même canal (ce qui induit la nécessité d’éviter des programmations fondées par exemple sur la simple diffusion à la suite des titres d’un album du commerce) la présence d’un animateur à l’antenne et la qualité du programme,
établir un équilibre entre le programme sonore et les données associées, tout particulièrement la faculté de télécharger les titres au moment de leur diffusion ; ces données devront venir au soutien du programme sonore et non l’inverse,
prévoir des garde-fous adaptés aux possibilités d’associations de données de diffusion.

Le SNEP fera valoir au CSA qu’il importe de délivrer les autorisations, sur la base de ces principes afin que la RNT soit un vecteur supplémentaire et innovant pour l’exposition de la musique.

III. LA TELEVISION MOBILE PERSONNELLE (TMP)

2008 sera l’année de lancement de la TMP par le Conseil Supérieur Audiovisuel avec les normes DUB-H.

16 chaînes sont appelées à être diffusées selon ce mode dont trois préemptes par France Télévisions.

Selon le Cabinet NPA, en 2012, 5,6 millions de clients devraient être connectés à la TMP, soit 10 % de pénétration.

Il est évidemment souhaitable que la musique qui reste avec le sport un contenu parmi les plus attractifs puisse avoir toute sa place sur la TMP.

IV. RECOMANDATION DE LA COMMISSION EUROPEENNE SUR LES CONTENUS EN LIGNE

Sous l’égide de la Commissaire Viviane Reding, la Commission, pour la première fois, marque l’importance qu’elle attache au développement des offres légales numériques dans le secteur culturel dans un projet de recommandation :

1. Rendre les contenus davantage encore disponibles,
2. Mettre en place des licences multi-territoriales,
3. Instaurer des mécanismes rendant les systèmes de DRM interopérables,
4. Mettre en place des « codes de bonne conduite » entre FAI, consommateurs et propriétaires de contenus, les accords signés sous l’égide de Denis Olivennes en France ayant eu un écho très positif.

Sur cette base de réflexion, intéressante et positive, le SNEP et sa fédération, l’IFPI, souhaitent que l’Union Européenne puisse créer un cadre favorable aux offres légales, l’action contre le peer-to-peer ne pouvant être enfermée dans les frontières étatiques.

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POUR UNE TVA REDUITE
SUR LA MUSIQUE ENREGISTREE

Satisfaits que le Parlement français ait accepté, à l’initiative du Président de la République et du Gouvernement, d’améliorer le crédit d’impôt phonographique institué en 2006, les membres du SNEP estiment impératif d’aller plus loin, en particulier au niveau européen pour instituer un véritable plan de soutien à l’industrie musicale à caractère fiscal.

Or, le Président de la République s’est déclaré favorable à l’application d’un taux de TVA réduit et de son côté la commissaire européenne Viviane Redding, dans le cadre de la publication d’un projet de recommandation ayant trait au développement des contenus créatifs en ligne, se dit favorable à la diminution de la TVA sur les biens et produits culturels vendus en ligne.

Dans ce cadre, le SNEP soutient l’idée de l’établissement d’un taux de TVA qui serait spécifique à l’ensemble des biens culturels vendus « off line » ou « on line ».

Toutefois, les producteurs de phonogrammes ne sauraient se contenter de pures pétitions de principe et attendent du Gouvernement français et des Instances européennes des résultats concrets en la matière.

Les principales raisons incitant à une révision à la baisse de la TVA sur la vente de musique enregistrée peuvent se résumer de la manière suivante :

puceorange  la musique enregistrée est, à l’évidence, un produit culturel au même titre que le livre et sa consommation légale doit être encouragée par des prix plus bas,

puceorange la baisse du taux de TVA, en réduisant les prix de vente permettra de favoriser l’accès à ce bien culturel et constitue ainsi un facteur de développement de la diversité culturelle,

puceorange la vente de musique enregistrée, en Europe et notamment en France, représente un secteur économique important mais fragile. Une baisse des prix de vente ne peut que faciliter son développement et contribuant ainsi à endiguer ce phénomène de masse que constitue la piraterie en ligne.

En outre, le coût de cette mesure pour les finances publiques sera compensé par l’augmentation des ventes liées à la baisse des prix.

A cet égard, il convient de rappeler que la dernière baisse de TVA en France en 1987 sur le disque a , d’une part, été répercutée par les producteurs de phonogrammes en entraînant une baisse des prix au public de 8 % en 1988 et, d’autre part, a largement participé à la progression des ventes de phonogrammes de 35,7 % en 1988 , la progression cumulée des ventes entre 1988 et 1990 ayant été de 91 %.

Communiqué de presse

Le SNEP se félicite que le projet de loi « Création et Internet » soit débattu au Sénat en première lecture.

Il espère que ce texte pourra entrer en vigueur dès le début de l’année prochaine en intégrant les principales dispositions des accords de l’Elysée du 27 novembre 2007 signés sous l’égide du Président de la République, à la suite de la mission conduite par Denis Olivennes. Il est indispensable que les mécanismes d’avertissements et de sanctions éventuelles puissent être efficaces, dissuasifs et massifs. Le SNEP rappelle que les accords de l’Elysée reposent sur ce point sur un consensus qu’il est opportun de ne pas rompre.

A l’occasion de ce débat, il est important aussi de rappeler que les engagements des producteurs phonographiques en faveur du développement et du succès des offres légales seront tenus.

Ces offres sont multiples et facilement accessibles : des sites en ligne qui permettent de télécharger à l’unité des titres ou des albums aux abonnements illimités en passant par les plateformes d’écoute en streaming, c’est désormais une palette extrêmement variée d’accès à la musique qui s’offre au public.

Le nombre d’œuvres musicales disponibles n’a jamais été aussi important qu’aujourd’hui. Aucun magasin de disques n’a jamais été en mesure de proposer une gamme aussi étendue que celle accessible par les services en ligne ou de téléphonie mobile.

S’agissant plus particulièrement des mesures techniques de protection (MTP), sujet auquel les sénateurs se montrent à juste titre sensibles, les membres du SNEP rappellent qu’ils n’ont eu de cesse de réclamer des industriels qu’ils mettent eux-mêmes en place des systèmes de lecture de fichiers interopérables. Force est de constater qu’il n’en est rien. On a fait ainsi peser sur les ayants droit une responsabilité qui n’est pas la leur.

Quoiqu’il en soit, un certain nombre de producteurs ont retiré toute ou partie de ces MTP. Chaque société phonographique agit en ce domaine comme elle l’entend.

Mais d’une manière générale, les producteurs qui n’ont pas retiré les MTP sur l’ensemble de leurs répertoires ou pour l’ensemble des services en ligne disponibles, soucieux de voir effectivement mis en place le système proposé par les accords de l’Elysée, ont accepté de rendre disponibles sans mesures techniques de protection les fichiers musicaux vendus à l’acte dans un délai maximal d’un an à compter du fonctionnement effectif de la Haute Autorité, l’HADOPI, et ce tant que ces mesures ne permettent pas l’interopérabilité.

Ils réaffirment donc solennellement cet engagement et assurent être disposés à toute accélération du calendrier et cela, le cas échéant, dans le cadre d’une concertation, notamment avec les opérateurs, qu’ils appellent depuis toujours de leurs vœux.

 Contacts : Hervé RONY/Patricia SARRANT – 01 44 13 66 62
Communiqué de presse

L
es Arènes de l’indépendance, organisées sous l’égide du Ministère de la Culture, ont pour objectif de mettre en avant le rôle et l’avenir des entreprises culturelles indépendantes en général, des producteurs de musique indépendants en particulier.
A cette occasion, le SNEP, qui regroupe à la fois des dizaines de labels indépendants et les quatre «majors» compagnies tient à souligner que le dynamisme musical de notre pays, malheureusement mis à mal par la dérégulation sauvage d’Internet, repose très largement sur la complémentarité et le partenariat entre les différents types de producteurs.
Le marché musical français est fondé pour une grande part sur une collaboration quotidienne des labels indépendants et des majors : contrats de licence et / ou de distribution avec des avances importantes consenties par les majors aux labels pour la production et la promotion de leurs enregistrements. Les productions de centaines de labels indépendants sont distribuées par les majors.
L’année dernière, les  majors ont versé 143.3 millions d’euros aux entreprises phonographiques indépendantes. S’ajoutent à ce chiffre les dépenses de marketing, de communication et de promotion.
Dans le respect de l’identité de chacun, c’est ainsi que nombre de productions peuvent voir le jour et que les carrières des artistes français peuvent se développer harmonieusement.
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La loi « création et Internet », toujours pertinente, malgré le vote du Parlement Européen
Dans le cadre du réexamen du « paquet Télécom », le Parlement Européen a voté ce matin un amendement destiné à garantir aux internautes l’intervention du juge en cas de mesure visant à restreindre leur accès à internet,
Les producteurs phonographiques soutiennent pleinement l’analyse et les orientations de la Ministre de la Culture et de la Communication à propos de cet amendement.
A cet égard, il importe de  souligner plusieurs éléments :
  le texte voté ce matin n’a aucun caractère définitif;
  la Commission Européenne qui, au travers de Mme Redding s’est montrée favorable au système de réponse graduée proposée par le projet de loi « Création et internet, puis le Conseil auront le dernier mot;
  le texte en lui-même n’interdit pas un système de réponse graduée.
 Dans ces conditions, le projet de loi « création et internet » conserve toute sa pertinence.
Contacts : Hervé RONY/Patricia SARRANT – 01 44 13 66 62

Communiqué du 8/07/2008

Le SNEP a décidé de lancer son propre blog :
Un an après l’expérience de notre forum Faceface, pourquoi cette initiative ?
Les raisons ne manquent pas :
Il est aujourd’hui aussi important de communiquer sur le net que par les voies traditionnelles de la presse écrite et de l’imprimé. 
La parole des producteurs est souvent, bien trop souvent, inaudible, et à tout le moins pas assez visible sur Internet où de nombre de forums, de sites informatifs, de blogs débattent âprement de notre actualité, de nos métiers, de notre avenir.
Le sujet de la musique et du numérique mérite un espace d’information et de dialogue avec nos amis comme avec nos détracteurs, dédié à nos préoccupations.
L’actualité immédiate, celle du projet de loi « Création et internet » va nous amener à devoir expliquer régulièrement notre point de vue.
Mais ce blog est aussi un espace pour trouver une information sur l’industrie phonographique centrée sur l’essentiel, par rapport à notre site DisqueenFrance qui dispose d’une masse d’informations exhaustives et qui continuera à remplir le même rôle qu’aujourd’hui. A ce titre nous ouvrirons volontiers notre blog à celles et ceux qui souhaiteront donner leur point de vue pourvu qu’il s’agisse de respecter la propriété littéraire et artistique et nos métiers.
Nous serons heureux si demainlamusique.com devient l’un de vos favoris.
 
COMMUNIQUE DE PRESSE
Les signataires des accords de l’Elysée sur « le développement et la protection des œuvres culturelles dans les nouveaux réseaux de communication » se félicitent de l’adoption ce jour par le Conseil des Ministres du projet de loi « Création et Internet ».
S’inscrivant dans la démarche initiée par Denis Olivennes à laquelle se sont associées 45 des entreprises et organisations professionnelles les plus importantes de l’audiovisuel, des industries culturelles, du monde de la création et de l’accès à internet, l’adoption de ce texte par le Gouvernement constitue un pas important en vue de jeter les bases d’une nouvelle économie des échanges culturels sur Internet.
Alors que la France doit faire face au développement continu des téléchargements et mises en ligne illicites de contenus protégés, le projet de loi « Création et Internet » offre une opportunité pour confirmer la collaboration entamée entre les acteurs de la culture, de l’audiovisuel et d’Internet et pour disposer d’une réponse adaptée et pédagogique à ce phénomène, respectueuse de la vie privée des internautes et susceptible de faciliter le développement des offres légales de musique, de films et de programmes audiovisuels qu’attendent les consommateurs.
Les signataires souhaitent que le Parlement examine rapidement ce projet de loi afin de permettre l’entrée en application rapprochée des solutions justes et équilibrées contenues dans les accords de l’Elysée.
 À l’heure où nos partenaires européens observent avec attention l’issue du processus législatif qui s’ouvre en France pour envisager à leur tour de proposer de nouvelles régulations de l’offre culturelle sur Internet, l’adoption de ce projet de loi, qui assure un juste équilibre entre le droit à la vie privée et le droit à la création, entre la protection des œuvres et le développement des offres, nous semble d’autant plus indispensable. 

 Contacts : Hervé RONY/Patricia SARRANT – 01 44 13 66 62

Les signataires réitèrent leur confiance en ce projet et appellent les parlementaires à prendre leurs responsabilités pour aboutir au plus vite à la mise en œuvre de mesures favorisant l’essor de l’économie numérique dans un cadre respectueux de la propriété intellectuelle. 

Le SNEP annonce de nouvelles conditions d’accès aux classements hebdomadaires des meilleurs ventes de musique
Depuis 1994, le SNEP a développé avec l’IFOP un outil de mesure des meilleures ventes de disques en France. Cet outil a connu de constantes améliorations depuis 15 ans :
  Extension du panel de 500 à 1300 points de vente,
   Intégration du marché des ventes réalisées par les plateformes de téléchargement légal
   Etablissement de classements thématiques : classique, jazz, musiques du monde.
 Depuis leur origine, ces informations ont été gracieusement mises à disposition de tous.
Aujourd’hui, compte tenu de la conjoncture très dégradée de notre secteur, la diffusion des Tops, à l’instar du système britannique devient un service payant.
 Néanmoins, l’accès à ce service sera gratuit pour les journalistes qui souhaitent le recevoir à des fins rédactionnelles et non de publication. Ces derniers recevront dans les prochains jours un login et un mot de passe de la société IFOP.
 A compter du 23 septembre prochain, les classements seront disponibles à partir du site musiqueautop.com.
Le SNEP souligne que ces informations sont strictement personnelles à l’abonné et ne pourront être transférées.
 Contacts : Hervé RONY/Patricia SARRANT – 01 44 13 66 62